Les pédérastes comme sommet de l’évolution égoïste bourgeoise
S’il fallait une preuve que l’homosexualisme est une maladie des sociétés dégénérées et « l’apogée » de l’égoïsme bourgeois, l’agitation des déviants sexuels pour obtenir le « droit » (sic) de donner leur sang est exemplaire. Il ne faut pas s’y tromper : bien loin d’avoir pour objet la satisfaction d’une volonté altruiste, il s’agit de continuer à occuper le devant de la scène médiatique, de montrer que bien loin d’être des « gens comme les autres », les malades se sentent au contraire supérieurs, l’élite de leur société décadente. Leur moindre caprice, quel qu’en soit le coût social, humain, culturel, civilisationnel, doit être satisfait par le gouvernement libéral.
Alors qu’ils représentent une minorité insignifiante de donneurs de sang potentiels, les déviants sexuels s’agitent depuis des années pour obtenir le « droit » de donner leur sang. Bien loin de tout esprit social ou charitable, il s’agit, pour les plus extrémistes des associations homosexualistes, de faire « tomber une barrière », comme ils ont obtenu la destruction du mariage, de la paternité, de la filiation, de l’adoption, en attendant pire.
La dangerosité du don du sang des déviants sexuels mille fois démontrée
Les très nombreuses études médicales sur le sujet prouvent pourtant l’extrême dangerosité de ces populations à risque. Il n’est pas utile de rappeler leur participation déterminante à la propagation du SIDA dans les pays européens.
Actuellement, la très grande majorité des pays occidentaux interdisent le don du sang pour les déviants sexuels. C’est le cas de l’Allemagne, de l’Autriche, de la Belgique, de la Croatie, du Danemark, de l’Estonie, de la Grèce, de l’Islande, de l’Ireland, de Malte, des Pays-Bas, de la Norvège, de la Slovénie ou de la Suisse, mais aussi de l’Algérie, de la Chine, du Costa Rica, de Hong Kong ou des Philippines. Plusieurs autres pays exigent que les déviants sexuels n’aient pas participé à des saillies pendant au moins un an : l’Argentine, l’Australie, le Canada – qui exige 5 ans –, la Finlande, la Hongrie, le Royaume-Uni, la Suède, la Tchéquie, les États-Unis, mais aussi le Brésil, le Japon ou la Nouvelle-Zélande.
Très rares sont les pays qui, malgré les risques, autorisent les dons du sang pour les déviants sexuels : en Europe, il y a l’Espagne, l’Italie, la Pologne et le Portugal ainsi que l’Afrique du Sud, la Russie, le Mexique et la Thaïlande.
Une réalité reconnue par le gouvernement
Pour se rendre compte de la terrible réalité de l’inconscience des derniers produits dégénérés de la société moderne, il suffit de se rendre sur les sites gouvernementaux :
« En 2011, 2 400 hommes [déviants] ont découvert leur séropositivité, ce qui représente 40 % de l’ensemble des découvertes. Il s’agit de la seule population dans laquelle le nombre de découvertes a régulièrement augmenté après 2003 avec une stabilisation toutefois depuis quelques années. Ces hommes sont le plus souvent diagnostiqués suite à une prise de risque. Ils sont âgés de 37 ans en moyenne, mais la part de ceux de moins de 25 ans augmente également depuis 2003 ».
Ces gens sont un danger, ils le savent, le revendiquent, s’en plaignent, mais refusent d’en assumer les conséquences et souhaitent faire peser le risque de leur anormalité sur les populations affaiblies. Les multiples campagnes de publicité gouvernementales, les innombrables émissions, spécifiquement et quasi exclusivement à destination des pervers, n’ont eu aucun écho chez ceux qui pensent que leur personne vaut plus que tout et que rien ne doit entraver leur marche au « plaisir ».
Les pervers font d’un don, d’une action sociale désintéressée, un argument d’action communautariste. C’est l’abjecte instrumentalisation d’un acte charitable et remarquable transformé en revendication individualiste, comme s’il y avait un droit à ne pas avoir d’accident sur les routes ou un droit à n’apparaître pas comme un ignoble ramas de folles au teint cadavérique suintant la dépravation et l’abjection.
Une offensive de Marisol Touraine et de l’extrême gauche
Or, le 17 mars, au premier jour de l’examen du projet de loi santé à la commission des affaires sociales de l’Assemblée antinationale, Marisol Touraine a annoncé une modification du questionnaire préalable au don du sang, qui vise à éviter l’accumulation de sang contaminé à cause des personnes à risque, notamment les pédérastes.
Une fois encore, le bien social, les intérêts de toute la communauté sont sacrifiés aux revendications d’un groupe de pression ayant l’oreille du gouvernement d’occupation, comme le grand patronat et l’extrême gauche – toujours – ont obtenu l’ouverture des frontières au détriment de l’emploi, de la sécurité et de l’existence même des Français, ou que l’Éducation nationale est devenue un centre de propagande juive déversant d’innombrables mensonges historiques pour satisfaire les prétentions territoriales, financières et de pouvoir d’une petite secte ethnico-religieuse.
Ce 17 mars, elle annonçait que le Comité consultatif national d’éthique (CCNÉ) était saisi et qu’il devait faire connaître son avis dans les prochains jours.
Le CCNÉ demande le statu quo
Les pervers, chez qui le virus du SIDA est 65 fois plus répandu que parmi les hommes (hétérosexuels) et chez lesquels le nombre de nouvelles infections enregistrées chaque année est 200 fois plus élevé que parmi la population normale, ne pourront cependant pas compter sur la lâcheté du CCNÉ.
Dans une courageuse décision, rendue publique hier, le comité a demandé à la ministre de la Santé un peu de bon sens et le maintien des restrictions existantes.
« Au stade actuel des connaissances, et tant que les réflexions, évolutions et recherches demandées n’auront pas abouti, toute modification des contre-indications exposerait à des risques médicaux qui doivent être pris en considération d’un point de vue éthique »,
ont rappelé les scientifiques, précisant encore que ces risques étaient « liés aux incertitudes scientifiques actuelles mais aussi à une absence d’évolution des campagnes d’information qui permette une véritable responsabilisation [sic] des personnes qui ont eu des comportements à risques récents ».
– On touche le font !!
– Je pense que l’on peut encore avancer, passe moi une pelle…
Non mais sérieux » les deviants », « pervers »…