Mouv’ (rebaptisée ainsi le 2 février après s’être appelée Le Mouv’) est une radio dépendant de Radio France et menant donc une mission de service public. Le jour de son changement, le directeur de la radio se vantait que ses animateurs adopteraient désormais un « ton inédit et singulier » pour « parler le langage des jeunes et employer leurs codes ». Les auditeurs n’ont pas été déçus.
Mercredi, l’Africain Jean-Pascal Zadi « rappeur » et « réalisateur » y donne une chronique. Il y affirme :
« Dernièrement, Manuel Valls a parlé d’apartheid en parlant de la banlieue. Et avec cette affaire, on en a la preuve : quand Dominique fait des partouzes avec ses potes avocats, anciens keufs, patrons, on appelle ça des parties fines, alors que quand les petits frères font les mêmes choses dans les cités on appelle ça des tournantes… »
dans une tirade si conforme à la pensée des occupants selon lesquels les impostures et les crimes de quelques-uns justifient ceux de tous.
« Non ! Non ! Là je ne peux pas te laisser dire ça, parce que, sérieusement, la différence c’est quand même que les tournantes ce n’est pas consenti. C’est un crime. »
réagit alors Nour-Eddine Zidane, le rédacteur en chef de la radio qui gère le créneau horaire.
« Ça dépend, ça dépend… »
réplique Jean-Pascal Zadi visiblement sûr de lui sans, cette fois, être repris.
De nombreux viols collectifs – dit de façon insultante pour les victimes « tournantes » par les occupants – se sont produits dans les cités envahies de France depuis de nombreuses années. De nombreuses Blanches en ont été victimes les « petits frères » de Jean-Pascal Zadi – qui était jeune il n’y a pas si longtemps – choisissant des jeunes filles fragiles pour ensuite leur faire subir des horreurs et souvent les traumatiser à vie. Le phénomène a été largement nié non seulement par les occupants, bien entendu, les médiats bien-pensants, mais encore souvent par la justice, refusant de voir souvent ces crimes pour ce qu’ils étaient : des crimes racistes antiblancs.
Aucun politicien n’a dénoncé cette apologie du viol, dont ont été victimes de nombreuses Européennes livrées par le gouvernement d’occupation à l’invasion et diffusé sur une radio publique.