Les provocations de Fatou Diomé
Sur le plateau de France 3 vendredi dernier, un débat réunissait, entre autres, l’Africaine haïssant l’Europe Fatou Diomé, le Juif et franc-maçon ennemi de nos peuples Alain Bauer, ou encore un Suisse venus parler, justifier plus exactement, sur le plateau d’une télévision publique française l’invasion de nos terres. L’« intellectuelle » (sic) Fatou Diomé y rappela que l’invasion était fondamentalement liée au projet mondialiste, affichant par ailleurs toute la morgue de l’occupant. Malgré les menaces contenues dans les propos de cette dernière, elle recueillit les applaudissements, les sourires et l’assentiment de l’assistance, y compris quand elle lança que les Européens devront quitter leur terre s’ils n’acceptent pas l’invasion.
« [Acceptez-nous] ou bien déménagez d’Europe parce que j’ai l’intention de rester. […] Vous ne resterez pas comme des poissons rouges dans la forteresse européenne.[…] L’Europe ne sera plus jamais épargnée ! »
Plusieurs passages, notamment celui présenté ci-dessous ont depuis été diffusés depuis par les patriotes qui commencent à comprendre l’étendue du problème comme des nationalistes.
Immigration africaine en Europe : Il serait temps que l’on se regarde dans une glace
Il y a eu également une réponse africaine aux délires mondialistes de Fatou Diome : après la polémique déclenchée par les propos de Fatou Diome, Kémi Séba a publié un texte sur le sujet invitant les Africains à se « regarder dans une glace » et à bâtir leur propre avenir plutôt que de se dissoudre dans le mondialisme destructeur.
« On pourra accuser ad vitam aeternam les élites occidentales de piller nos richesses avec la complicité de nos dirigeants.On pourra aussi condamner nos présidents qui ne font rien pour développer nos nations. Mais il y a une vérité indéniable que l’on ne pourra plus cacher longtemps. Tant qu’une partie de la diaspora africaine viendra en Afrique le temps des vacances , vendant du rêve alors qu’elle vit en réalité l’enfer en Occident, elle trompera nos frères et sœurs sur le continent et sera en priorité responsable des désillusions de ces derniers.
Chaque nation voit une partie de sa jeunesse émigrer, puis rentrer quelques années après apporter ce qu’elle a intégré comme connaissances à l’étranger. À nous de nous inspirer des nations qui avancent. Tout est à construire chez nous. Le destin nous attend. »