Alors qu’ils circulaient à bicyclette dans un quartier largement envahi du nord de Londres, des adolescents anglais ont été attaqués par une meute d’immigrés-“migrants”-“réfugiés” d’une quelconque génération, en février dernier.
Voyant ses congénères s’emparer par la force de deux vélos dérobés à des autochtones, l’occupant africain Joshua Williams, âgé de 18 ans, profita qu’Alan Cartwright tenait son guidon pour poignarder cet Anglais âgé de 15 ans, à la poitrine.
Celui-ci, malgré son jeune âge réussit, à rester sur sa monture pour s’éloigner des Sauvages, mais finit par s’écrouler un peu plus loin, mortellement blessé.
Lors de l’audience au tribunal, l’assassin osa déclarer :
« C’est faux. Je n’ai jamais commis de crime de ma vie »,
alors que les images de l’attaque menée par sa meute ont permis de le déclarer coupable.
Pour cet acte, évidemment pas qualifié de « raciste » par leur Système, et à défaut de peine capitale mieux adaptée, le criminel étranger a seulement été condamné à une fausse perpétuité assortie d’une peine de sûreté de vingt et un ans de prison. Il pourra donc être remis en liberté « sur parole » dès l’âge de 39 ans, encore largement assez jeune pour récidiver.
Le meurtre pas plus que le verdict n’ont été suivis d’une épuration de la ville de ses éléments indésirables. Ils n’ont provoqué aucun commentaire dans la presse sur la violence du racisme antiblanc, sur la responsabilité des journalistes et politiciens dans cette situation.