« Certains pays ont accepté d’accueillir un large flot de réfugiés et ont fait tout leur possible pour leur fournir de la nourriture et un abri. D’autres, spécialement parmi les pays avancés, doivent voir comment ils peuvent élargir leur approche pour accueillir plus de réfugiés »,
a affirmé la mondialiste Christine Lagarde, ancienne ministre de Nicolas Sárközy et actuellement dirigeante du Fonds monétaire international (FMI).
« Les calculs préliminaires du FMI montrent un impact positif modéré des migrants sur la croissance dans les pays de l’UE »,
a prétendu la politicienne libéraliste, appelant malgré tout les entreprises et les États à intervenir activement pour tenter de s’approcher d’un éventuel « impact positif modéré », à faire payer le contribuable européen pour des formations, ou à reconnaître de prétendues « qualifications » ou diplômes étrangers très inférieurs aux normes européennes au détriment des Blancs qualifiés.
La submersion de l’Empire romain, il ne fut pas le seul, en guise « d’impact positif modéré », a conduit à la destruction de Rome.
Christine Lagarde a reconnu, sans évoquer les terribles problèmes sécuritaires, sanitaires, écologiques, culturels posés par l’invasion, que l’arrivée massive d’étrangers en Europe conduit au pillage généralisé des nations envahies. Selon elle, l’argent pris par les ‘migrants’ aux pays qu’ils attaquent dans le monde vers leur pays d’origine correspondait à 436 milliards en 2014, soit « plus de trois fois » le montant de l’aide publique au développement. L’ancienne ministre de Nicolas Sárközy a d’ailleurs appelé à faciliter ces transferts.
De l’aveu même des mondialistes, si leurs mensonges étaient vrais, ces pratiques conduiraient de plus à priver les pays d’émigration de leur main-d’œuvre la plus qualifiée et de leurs cadres.