L’agent de la banque Rothschild Emmanuel Macron, ministre de l’Économie (sic) du gouvernement d’occupation, instrumentalise les attentats commis à Paris la semaine dernière pour faire l’apologie de l’ultralibéralisme, de critiquer la France et d’exiger, comme d’autres représentants de la finance, plus de « diversité » et des mesures discriminatoires contre les Blancs.
« Le terreau sur lequel les terroristes ont réussi à nourrir la violence, à détourner quelques [sic] individus, c’est celui de la défiance »
a prétendu le libéraliste, réduisant le drame de l’invasion et de l’islamisme à « quelques » individus.
« Nous sommes une société dont au cœur du pacte [?] il y a l’égalité […] [mais] nous avons progressivement abîmé cet élitisme ouvert républicain qui permettait à chacune et chacun de progresser. Nous avons arrêté la mobilité sociale. [….] Nous sommes une société où nous avons construit la capacité à fermer la porte […]. Quelqu’un sous prétexte qu’il a une barbe ou un nom à consonance qu’on pourrait croire musulmane, a quatre fois moins de chances d’avoir un entretien d’embauche qu’un autre »,
a encore prétendu l’ennemi des travailleurs français, sans préciser quelle était la probabilité pour un Blanc de trouver un emploi comme présentateur à France Inter ou le soir sur BFM TV, ou dans les innombrables commerces islamistes, boucheries “hallal”, “kébabs”, et autres établissements cachant souvent des trafics.
« Je ne suis pas en train de dire que tous ces éléments sont la cause première du djihadisme. C’est la folie des hommes, et l’esprit totalitaire et manipulateur de quelques-uns. Mais il y a un terreau, ce terreau est notre responsabilité »,
a tenté de nuancer Emmanuel Macron, avant d’insister :
« Nous [sic] avons une part de responsabilité, parce que ce totalitarisme se nourrit de la défiance que nous avons laissée s’installer dans la société. Il se nourrit de cette lèpre insidieuse qui divise les esprits, et si demain nous n’y prenons pas garde, il les divisera plus encore ».
Ces propos ont été tenus samedi lors d’une intervention devant le groupe « social »-libéraliste Les Gracques1.
Ce groupe a été créé en 2007 après avoir tenté d’influer sur la campagne présidentielle du Parti socialiste (PS), notamment en promouvant une alliance avec les centristes. Il propage depuis, en partie dans le sillage des politiques antisociales et racistes antiblanches menées par Manuel Valls, l’idée de la « nécessité » d’accélérer les mesures qui détruisent la société française, favorisent l’invasion et imposent l’urgence d’imposer au niveau mondial des groupements humains sans racines, sans identité, ne reposant que sur les liens économiques immédiats et le profit.
Précisons que les cadres de l’association comme ses membres, sans doute pour illustrer « la nécessité de l’exemplarité des classes dirigeantes » et « l’exemplarité de comportement, ainsi que la transparence » qu’ils évoquent dans leur manifeste, sont cachés au public et n’apparaissent pas sur leur site ni ailleurs.
Parmi les noms cités par la presse figurent de nombreux individus à l’avant-garde des politiques racistes antiblanches et libéralistes menése depuis des années en France, comme Denis Oliwenstein (dit Olivennes), Bernard Spitz, Jean-Pierre Jouyet, Matthieu Pigasse, François Loos, Thierry Breton ou Dominique De Villepin.
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1 Du nom de deux individus qui, durant la Rome antique, échouèrent à réformer la société.