Sommaire :
France
- Hassan Mouina tabasse une commerçante à Besançon
- Salim tabasse et menace sa femme
- Mohamed Ouzadou, l’agresseur aux 9 condamnations, sous bracelet électronique
- Sabahaddin Kose jugé pour avoir tenté de tuer un policier avec un sabre
- Il tente de libérer les lions du zoo au cri d’Allah Akbar
- Bilal Nouache, squatteur de caves, agresse un gardien d’immeuble
- Sofiane Kolli au tribunal pour détention d’héroïne et de cocaïne
- Le cambrioleur Rrom trahi par son ADN
- Série de cambriolages en Normandie : prison ferme pour cinq Albanais
- Il refuse d’être verbalisé dans le tram car c’est le ramadan
- Les Verbatims / Chapitre 3. Le FN, un parti en crise
- Condamnation d’un des bras armés du judaïsme politique en France, réfugié dans l’Entité sioniste
Etranger
Europe
- Les supporters croates rendent hommage à un combattant français
- Allemagne : réunion annuelle du Bilderberg à Dresde
- Royaume-Uni : 4 envahisseurs syriens agressent 2 anglaises de 14 ans
Monde
- Libye : comment Goldman Sachs a ruiné le peuple libyen
- Philippines : Abu Sayyaf a décapité son otage canadien
- Palestine occupée : le mode opératoire original de deux résistants palestiniens
Vidéo
- Faurisson contre Vidal-Naquet (17 mai 1990)
Nouveauté littéraire
- « Qui suis-je? » Salan – Jean-Paul Angelelli et Bernard Zeller
Ephéméride nationaliste
- 14 juin 1891 : Evhen Konovalets
- 14 juin 1910 : naissance de Jutta Rüdiger
- 14 juin 1920 : naissance de jean Madiran
- 14 juin 1923 : mort de Alexandre Stambolijski
Agenda
- 18 juin – 19 juin – Haute-Savoie : Sortie cohésion des Caryatides
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France
Hassan Mouina tabasse une commerçante à Besançon
« Je serais tombée, il m’aurait achevée à coups de pied ! » déclare Jocelyne Mortet qui a été agressée par un fou furieux en état d’ivresse, place Cassin, où elle vit et tient commerce depuis plus de 40 ans,
Mardi 31 mai, il est aux environs de 21 heures, lorsqu’une coupure de courant se produit place Cassin. « C’est fréquent en ces temps-ci dans le quartier. Je suis allée voir au restaurant, si les plombs des frigos n’avaient pas sauté. Il y avait aussi un feu de cartons dans la coursive de l’avenue du Parc. Ça aussi c’est la vie du quartier. Une fois au restaurant, j’ai appelé la police. J’avais déjà le sentiment que cela allait mal se terminer ce soir-là… »
De retour à son appartement, Jocelyne se place à son balcon « pour voir si la police allait venir ou pas… Car on en est là. »
C’est à ce moment qu’Hassan Mouina arrive dans la rue. « Il a commencé à apostropher les jeunes présents en leur disant cramez tout, cramez tout ! Puis il m’a vue et a commencé à m’insulter. Comme une andouille, je suis descendue. »
Jocelyne Mortet, présidente des commerçants de Cassin est une figure du quartier, une femme engagée et de franc-parler. « Je voulais juste dire aux jeunes que je connais ça suffit maintenant. C’est là que ce type que je n’avais jamais vu m’a craché dessus et s’est servi de moi comme d’un punching-ball. Il y avait du monde partout et seul un gamin de dix ans est intervenu. Je pissais le sang… »
Une première voiture de police passe. « Il m’a dit ‘’t’as vu, ils s’arrêtent même pas pour toi’’ avant de recommencer à me frapper quand la seconde voiture a stoppé. »
Interpellé, Hassan Mouina, va être condamné le vendredi suivant à 3 ans d’emprisonnement dont 2 ans avec sursis et mise à l’épreuve pour ces faits, après une prestation très inquiétante devant le tribunal correctionnel.
Quand on discute avec les jeunes, ici, ils vous répondent « peux téléphoner à la police, ils viendront pas ! »
Salim tabasse et menace sa femme
Pourquoi je vais être emprisonné ? Après plus d’une heure d’audience, à l’écoute du jugement – traduit en arabe par une interprète assermentée – Salim ne comprenait toujours pas pourquoi il était conduit directement à la maison d’arrêt.
Homme d’origine soudanaise, Salim est arrivé en France il y a huit ans. Fin 2014, l’épouse décide de quitter son mari. En désaccord avec le jugement, il n’en fait qu’à sa tête, va chercher les enfants à l’école quand ce n’est pas son jour de garde « et ne va pas les récupérer lorsqu’il s’agit de son week-end », résume la présidente du tribunal. Depuis plusieurs mois, il est de plus en plus menaçant avec son ancienne campagne, qu’il guette au quotidien. En octobre 2015, il débarque à son domicile, l’étrangle et lui enfonce un doigt dans l’œil. « Il est reparti en volant les clefs de l’appartement », souligne Aïcha, qui vit depuis avec une boule au ventre. Avec ses trois enfants, l’homme fait aussi preuve de violence : il réprimande le garçon qui a mangé de la viande non halal à la cantine, empêche l’autre de consulter un orthophoniste…
Il y a quinze jours, c’est à l’école, alors qu’Aïcha vient y déposer les enfants, qu’il vient tirer les cheveux à son ex-femme et la jette à terre. La directrice de l’école a assisté à la scène. « Elle fait de la comédie », temporise aujourd’hui Salim.
Aïcha est allée déposer plainte à la police. L’accalmie sera de courte durée. Ce mardi, toujours devant l’école, la femme est à nouveau harcelée par son mari qui la frappe au tibia et la menace avec un couteau. « Vous lui avez arraché les deux enfants des mains et vous êtes parti », rapporte la présidente du tribunal.
Dix-huit mois d’emprisonnement, dont dix avec sursis : c’est la peine dont a écopé ce conjoint violent.
Mohamed Ouzadou, l’agresseur aux 9 condamnations, sous bracelet électronique
L’affaire s’est déroulée à Bergerac et remonte au 5 septembre 2015. À une heure avancée de la nuit, une jeune fille se dirigeait vers son domicile après avoir passé la soirée au Plus-Que-Parfait avec des amis. Sur son chemin, le prévenu, Mohamed Ouzadou, muni d’un couteau, l’a menacée. Elle est parvenue à s’enfuir et a regagné le bar, espérant y trouver de l’aide. Accompagnée de quelques proches, elle est retournée sur le lieu de l’incident et y a reconnu son agresseur, entouré de plusieurs inconnus.
Alors qu’un de ses amis tentait de la défendre, une bagarre a éclaté, dans laquelle il a été blessé. Alertés, les policiers sont intervenus et ont arrêté Mohamed Ouzadou, qui était en état d’ébriété et se trouvait sous bracelet électronique.
Entendues une première fois au cours de la même nuit, les victimes ont décrit les faits de manière constante tout au long de l’enquête. Tout l’inverse du prévenu qui a enchaîné les versions. Vendredi, lors de l’audience, son attitude mutique n’a pas plaidé en sa faveur. Ni les neuf mentions déjà inscrites à son casier judiciaire, principalement pour des actes de violence.
Mohamed Ouzadou a été reconnu coupable. Il a été condamné à quatre ans de prison ferme, assortis de l’interdiction de paraître en Dordogne pendant une durée de trois ans. Déjà incarcéré à la maison d’arrêt d’Angoulême, il a été maintenu en detention.
Sabahaddin Kose jugé pour avoir tenté de tuer un policier avec un sabre
Sabahaddin Kose, « Nancéien » de 51 ans qui a alterné passages en prison et internements en hôpital psy, sera jugé durant trois jours, d’aujourd’hui à jeudi, par la cour d’assises de Meurthe-et-Moselle.
Il devra s’expliquer de s’expliquer sur une tentative de meurtre commise sur un policier. C’était le 15 mars 2014, près de la gare de Nancy, vers 10 h du matin. Le quinquagénaire venait d’acheter un sabre dans une armurerie du centre-ville et se baladait avec l’arme sur l’épaule dans les rues. Ce qui a inquiété plusieurs passants qui ont alerté la police.
Une patrouille finit par localiser l’homme au katana alors qu’il est en train d’attendre le bus à un arrêt, à proximité de la gare. Trois policiers s’approchent de lui pour le contrôler.
Immédiatement, Sabahaddin Kose sort son sabre de son étui et se met à les menacer. Deux agents répliquent en sortant leurs bombes lacrymogènes et en l’aspergeant. Ce qui n’a aucun effet sur l’homme au katana, visiblement dans un état second.
Malgré le gaz lacrymogène, il continue à avancer. Sabre en avant. L’un des policiers recule et trébuche. Il se relève. Puis reperd l’équilibre et chute à nouveau. Sabahaddin Kose fonce sur lui. Sabre tenu à deux mains et levé vers le ciel. L’arme s’abat une première fois sur le gardien de la paix au sol. Il l’évite. L’homme au katana donne un deuxième coup. Cette fois la lame entaille la cuisse du policier. Nouveau coup. Le troisième. A hauteur du visage cette fois. Le policier a un réflexe de survie. Il met ses mains devant sa figure pour se protéger. Le sabre lui tranche la paume de la main gauche.
Ses deux collègues et des passants sautent alors sur son agresseur. Ils arrivent non sans mal à le plaquer au sol et à le maîtriser. « J’espère que j’ai buté le flic », a ensuite lâché, durant son transport à l’hôtel de police, l’homme au katana. Mais sa victime, bien que grièvement blessée, a survécu.
Sabahaddin Kose est-il responsable de ses actes ? Car le quinquagénaire qui a attaqué les policiers sans mobile, est atteint d’une « schizophrénie paranoïde », selon un expert-psy.
Il tente de libérer les lions du zoo au cri d’Allah Akbar
« Je vais accomplir ma mission, je vais libérer les lions ! » C’est ce qu’a lancé un homme de 29 ans aux policiers, surpris de le voir debout dans la fosse où évoluent habituellement les félins.
L’homme s’était introduit au petit matin, mercredi 8 juin, dans le zoo des Sables d’Olonnes. Les personnels du zoo n’avaient rien vu, mais une voisine a donné l’alerte. Elle avait vu une silhouette se faufiler à l’aube…
Lorsque les policiers ont tenté de le raisonner, l’homme a enlevé son tee-shirt et s’est emporté : « Venez me chercher, je vais vous trancher la tête ». Avant d’ajouter : « Allahou Akbar ».
Les fonctionnaires de police l’ont donc maîtrisé manu militari.
Bilal Nouache, squatteur de caves, agresse un gardien d’immeuble
« C’est malpolide montrer les gens du doigt. Moi je suis quelqu’un qui a des valeurs alors je lui ai demandé pourquoi il me montrait du doigt. Il m’a dit qu’il allait me faire expulser, moi et ma famille. Et lorsqu’il est venu sur moi, j’ai eu peur. » La version calme et posée développée par Bilal Nouache face aux juges tranche avec celle des témoins et de la victime.
Cette dernière, gardien d’immeuble à Planoise pour Grand Besançon Habitat, discutait avec une mère de famille lorsqu’il a effectivement désigné le prévenu qui passait à leur hauteur. « Lui aussi, comme votre fils, il traîne dans les caves et écrit les tags insultants dont je suis l’objet », a-t-il indiqué à la locataire avec laquelle il était en train de parler, ce 16 décembre 2014. C’est alors que le jeune homme l’a agressé : « Qu’est-ce que t’as contre moi ? Je vais te massacrer, te casser les dents ». Et de joindre le geste à la parole. « Je n’avais jamais eu de problèmes jusqu’au jour où on a fait sortir les jeunes des caves », explique le gardien d’immeuble qui, très apprécié des locataires, exerçait à l’époque son métier depuis dix ans. Et de décrire comment Grand Besançon Habitat a tenté de faire le ménage dans les sous-sols de ses immeubles en scellant les portes des caves désaffectées.
Une politique qui a valu au gardien d’immeuble d’essuyer insultes et menaces de mort. Avec des inscriptions dans les entrées du style : « On en a marre d’ouvrir les portes au pied de biche, si tu ressoudes, t’es mort ». Les portes avaient néanmoins été ressoudées plus fermement… avant d’être à nouveau ouvertes, à la disqueuse cette fois.
En parallèle, au 2H rue Bertrand-Russell, les enquêteurs devaient retrouver en juillet 2015 une coquette plantation de marijuana dans la cave d’un appartement vacant. Soit 14 pots en pleine efflorescence sous une lampe au voltage intense, tandis qu’un ventilateur soufflait en permanence sur des déodorants pour masquer l’odeur du cannabis. Ses empreintes ayant été retrouvées sur le boîtier électrique et sur la lampe, Bilal Nouache devait reconnaître être le jardinier « pour ma consommation personnelle » de ce stupéfiant potager.
Le tribunal a condamné Bilal Nouache à 12 mois de prison dont 6 avec sursis et mise à l’épreuve.
Sofiane Kolli au tribunal pour détention d’héroïne et de cocaïne
Le 16 avril, durant un contrôle d’identité alors qu’il sort avec un copain d’un immeuble de l’avenue Foch à Nancy. A la vue des uniformes de police, Sofiane Kolli file en courant. Un peu plus loin, il jette une chaussette contenant un peu d’héroïne et de cocaïne. Il continue sa course. Il rejoint la MJC Desforges où il se débarrasse d’une casquette contenant une deuxième chaussette bourrée d’héroïne.
Il escalade le grillage de la MJC et se blesse à la main. Sérieusement. Car lorsqu’il est interpellé, un peu plus tard, il faut le conduire d’urgence à la clinique Emile-Gallé. Compatissants, les policiers ne le menottent pas. Le jeune homme en profite pour bondir de son lit d’hospitalisation et s’échapper en courant de la clinique.
Sa garde à vue s’est ensuite mal passée. Il a injurié et menacé un policier. Il n’hésite pas à défier la science lorsque la présidente Nicolas lui rappelle qu’il y avait son ADN sur la casquette contenant de l’héroïne : « Nous, les jeunes, on se connaît tous et on se prête nos affaires. J’ai dû mettre cette casquette sur ma tête un samedi soir ». Autre perle, sur son casier judiciaire dont il a oublié une partie : « Vous ne voulez quand même pas que j’achète un agenda pour noter toutes mes peines ! »
La substitut ne rigole pas et réclame 8 mois de prison ferme. Jugement : 10 mois ferme.
Le cambrioleur Rrom trahi par son ADN
Sur les 23 vols et la tentative d’effraction commis entre septembre 2013 et octobre 2014, ce prévenu s’est finalement vu reprocher onze vols et une tentative. Les autres ayant fait l’objet d’un non-lieu… au motif que l’intéressé était incarcéré en Allemagne ou en Italie à ce moment-là.
Arrêté dans le cadre d’un mandat d’arrêt européen, ce ressortissant « roumain » avait été placé en détention provisoire, en février dernier, dans l’attente de son procès. Il a été jugé devant le tribunal correctionnel de Metz mercredi dernier.
« Le mode opératoire est toujours le même, constate la présidente du tribunal. Le prévenu pénètre dans des sociétés pendant la nuit en brisant une vitre. Ensuite, il dérobe le contenu de la machine à café ou de boissons et vole parfois un ordinateur ou de l’outillage. Votre profil génétique, connu en Allemagne, a été retrouvé sur les lieux de six cambriolages et d’une tentative. »
Par l’intermédiaire de l’interprète, l’homme demande pardon à tous ceux auxquels il a causé un préjudice. Face à lui, quelques sociétés victimes sont là pour demander réparation. 20 505 € pour l’une, 1 346 € pour la deuxième et 540 € pour la troisième.
« Le prévenu conteste toujours certains faits reprochés en dépit des éléments qui l’accablent dans ce dossier, estime le représentant du parquet. S’il n’a pas de casier judiciaire français, il en a un au niveau européen. »
Petru Iovi a finalement été condamné à dix-huit mois de prison avec maintien en détention.
Série de cambriolages en Normandie : prison ferme pour cinq Albanais
Cinq Albanais ont comparu, jeudi 9 juin 2016, devant la Juridiction interrégionale spécialisée (JIRS) de Rennes (Ille-et-Vilaine), pour cambriolages et association de malfaiteurs. Trois autres personnes sont toujours en fuite. Ils auraient commis pas moins de 53 cambriolages, en quatre mois, entre octobre 2014 et janvier 2015, notamment dans la Manche et le Calvados.
Pour commettre ces cambriolages, les prévenus se seraient constitués en groupe de deux à trois personnes, avant de se rendre dans des résidences isolées, forçant portes ou fenêtres avec un pied de biche ou un tournevis. Sur place, les cambrioleurs se seraient principalement intéressés à l’argent et aux bijoux des victimes. Deux à trois maisons pouvaient ainsi être vidées en une journée.
Outre quelques cambriolages commis en Ille-et-Vilaine et dans le Puy-de-Dôme, c’est la Normandie qui a été le plus touchée par ces raids, avec pas moins de 28 communes concernées, entre la Manche et le Calvados.
Seize cambriolages ont ainsi été relevés par les enquêteurs de la Manche, dans des communes telles que Sainte-Marie-du-Mont, Ravenoville, Valognes ou Martinvast. Dans le Calvados, 32 cambriolages leur ont également été attribués dans 18 communes : Bayeux, Thury-Harcourt, Villers-Bocage, etc.
Les cambrioleurs s’installaient dans des hôtels de premiers prix, et auraient commis leurs méfaits à proximité de ces points de chute. La plupart d’entre eux ont reconnu les faits, alors que d’autres ont rejeté les accusations en bloc.
Ils se seraient également défendus en prétendant ne pas se connaître. Élément que la JIRS n’a pas pris en compte, l’enquête ayant permis de démontrer que ces huit personnes dormaient dans le même hôtel au moment des faits… et seraient aussi originaires du même village d’Albanie. Deux femmes étaient également impliquées dans l’affaire, et ont comparu libres, pour recel.
Ils ont été condamnés à des peines allant de 3 à 6 ans de prison ferme.
Il refuse d’être verbalisé dans le tram car c’est le ramadan
Un contrôle d’identité sur un passager d’un tramway démuni d’un titre de transport a dégénéré, jeudi vers 17h20 à Montpellier.
Deux agents de la TaM3M accompagnés des policiers de l’Unité de surveillance des transports en commun (USTC) de la Sécurité publique ont voulu verbaliser un homme de 23 ans, qui venait d’emprunter la ligne 1 du tramway sans ticket.
Celui-ci s’est emporté et a refusé de décliner son identité pour que les agents remplissent la contravention, déclarant notamment que les contrôles dans le tramway étaient interdits pendant le ramadan !
Alors que le ton montait lors du contrôle, un homme de 21 ans est venu se mêler aux vifs échanges et prenant partie pour l’usager verbalisé, a outragé, puis menacé de mort deux contrôleurs. Les deux hommes ont été interpellés par les policiers de l’USTC.
Dans les poches de celui qui refusait d’être verbalisé en raison du ramadan, ils ont saisi 18 grammes de résine de cannabis.
Les Verbatims / Chapitre 3. Le FN, un parti en crise
L’émission « Les Verbatims » de dimanche a ouvert les portes du Front national.
Que s’est-il passé lorsque Marine Le Pen a exclu Jean-Marie Le Pen, son père, du Front national ? Que se sont-ils dit ? Le magazine a reconstitué le bureau politique du 14 mai 2015, où les échanges ont été musclés, à l’aide de séquences de reconstitutions, dont les propos sont authentiques, et de reportages.
Le reportage est ici
Condamnation d’un des bras armés du judaïsme politique en France, réfugié dans l’Entité sioniste
Joseph Ayache, de la Ligue de Défense Juive, un des bras armés du judaïsme politique, a été reconnu coupable d’une une série d’agressions « coordonnées et extrêmement violentes » à l’encontre d’activistes pro-palestiniens à Paris en 2012. Le Tribunal a prononcé une peine d’un an de prison ferme à son encontre et des peines plus légères avec sursis pour ses complices : Steve Bismuth (27 ans), Daniel Benassaya (30 ans) et Laurent Cashauda (20 ans). Ils avaient notamment attaqué Houria Bouteldja ou Olivia Zemor à la peinture rouge et posté les vidéos de leurs actes sur internet. Ayache a déjà été reconnu coupable de « violences à caractère racial », essentiellement à l’encontre de français musulmans et il a au cours des années multiplié les allers-retours entre la France et Israël. Il s’est enfui dans l’Entité sioniste une fois pour toute, à l’approche des verdicts de condamnation.
En l’absence de traité d’extradition, comme pour les nombreux escrocs juifs qui gagnent leur « mère patrie » une fois leurs pillages accomplis, Ayache devrait échapper à son année de détention en restant dans cet État qui tend a devenir mafieux en plus d’être criminel.
Etranger
Europe
Les supporters croates rendent hommage à un combattant français
Hommage des ultras croates à Jean-Michel Nicollier, jeune français mort à Vukovar le 20 novembre 1991 pendant la guerre civile.
Il s’était engagé aux côtés de l’armée Croate et il fut abattu durant le massacre de Vukovar par les serbes dans l’hôpital -ou ces derniers exécutèrent tous les blessés.
Allemagne : réunion annuelle du Bilderberg à Dresde
Du 9 au 12 juin dans le Taschenbergpalais à Dresde, en Allemagne, s’est tenue la 64e réunion annuelle du groupe international de Bilderbeg. Il rassemble en un lieu un échantillon particulièrement influent de la fine fleur de l’oligarchie mondialiste. Les participants viennent échanger, dans le dos des peuples, sur tous les sujets qui comptent à leurs yeux et accorder leurs violons pour dérouler le plan du judaïsme politique principalement dans les domaines économiques et sociaux. On pouvait par exemple y voir cette année l’ancien secrétaire d’État des États-Unis Henry Kissinger, l’ex-directeur de la CIA David Petraeus, le commandant suprême des forces alliées en Europe Philip Breedlove, l’ancien chef du Secret Intelligence Service britannique (John Sawers ou encore la directrice générale du FMI Christine Lagarde.
Voici la liste des participants « français » de cette année :
– Henri de Castries, Chairman Bilderberg Group, PDG groupe AXA
– Patricia Barbizet, PDG Artémis
– Nicolas Baverez, associé, Gibson, Dunn & Crutcher
– Olivier Blanchard, du Peterson Institute
– Emmanuelle Charpentier, Directrice Max Planck Institute for Infection Biology
– Laurent Fabius, président du Conseil Constitutionnel
– Etienne Gernell, directeur d’édition, Le Point
– Edouard Philippe, Maire du Havre (LR)
– Christine Lagarde, directrice du FMI
Et la liste des élus ou gouvernants en fonction, toutes nationalités confondues :
– Ahmed Aboutelab, maire de la ville de Rotterdam, Hollande
– Thomas Arenkiel, secrétaire permanent au ministère de la défense du Danemark
– Magdalena Andersson, ministre des finances de la Suède
– José Manuel Barroso, ex-président de la Commission Européenne
– Borge Brende, ministre des Affaires Etrangères de la Norvège
– Sharon Dijksma, ministre environnement de la Hollande
– Kristalina Georgieva, Vice-présidente de la Commission Européenne
– Helen Goodman, députée travailliste, Grande-Bretagne
– Sylvie Gaulard, députée européenne
– Lindsey Graham, sénateur, USA
– Ursula von der Leyen, ministre de la défense de l’Allemagne
– Thomas de Maizière, ministre de l’intérieur de l’Allemagne
– Charles Michel, premier ministre de la Belgique
– Bill Morneau, ministre des finances du Canada
– Michael Nooman, ministre des finances de l’Irlande
– Kajsa Ollengren, adjointe au maire d’Amsterdam, Hollande
– Soren Pind, ministre de la justice du Danemark
– Mook Ruette, premier ministre de la Hollande
– Wolfgang Schäuble, ministre des finances de l’Allemagne
– Mehmet Simsek, adjoint du premier ministre de la Turquie
– Stanislas Tillich, ministre-président de la Saxe
Royaume-Uni : 4 envahisseurs syriens agressent 2 anglaises de 14 ans
4 envahisseurs syriens sont accusés d’agressions sexuelles à l’encontre de 2 jeunes files anglaises de 14 ans alors qu’ils étaient depuis moins de 6 mois sur le sol anglais. Les 2 adolescentes de 14 ans ont été agressées sexuellement à Leazes Park au mois de mai, tout près du stade St James Park. Omar Badreddine, 18 ans, Mohammed Alfrouh, 20 ans, et Mohammad Allakkoud, 18 ans, ont tous plaidé non coupable à Newcastle Crown Court vendredi dernier alors que le quatrième syrien, mineur de 16 ans, comparaitra le 29 septembre prochain.
L’un des Syriens, Omar Badreddine, est arrivé au Royaume-Uni en novembre dernier dans le cadre du programme du gouvernement anglais d’implantation de plus de 20 000 envahisseurs qui doit couter au contribuable anglais plus d’un demi-milliard de livres (plus de 600 millions d’euros). Ainsi, Badreddine et sa famille, originaires de Damas et ayant fui en Jordanie, ont été jugés vulnérables par l’agence des réfugiés des Nations-Unies. Ils ont donc bénéficié du programme et reçu de nouvelles maisons en Grande-Bretagne !
À peine débarqués, tout de suite logés ! Pourquoi se gêner et ne pas satisfaire ses envies en se servant sur la population locale… Mais le comble c’est que les 3 envahisseurs criminels ont été libérés sous caution en attente de leur procès fixé au 26 septembre prochain. S’ils ne se sont pas fait la malle d’ici là pour aller faire d’autres victimes et exercer leurs talents de parasites dans un autre pays…
Monde
Libye : comment Goldman Sachs a ruiné le peuple libyen
Ruinée par la crise boursière de 2008, l’Autorité Libyenne d’Investissement, fonds souverain chargé des investissements de l’État libyen, a décidé de porter plainte en 2014, au Royaume-Uni, contre son « conseiller » en placement : la fameuse banque d’affaire Goldman Sachs. Le fonds demande 2,5 milliards de dollars de compensation. En effet l’Autorité Libyenne d’Investissement avait été créée en 2007 pour investir et faire fructifier les revenus du pétrole de la Libye. L’enquête a démontré que la banque Goldman Sachs avait aiguillé son client vers des actifs toxiques à hauteur d’un milliard de dollars ! Et pour convaincre son client, la banque Goldman Sachs était prête à tout : voyages et hôtels 5 étoiles pour les décideurs et investisseurs mais également recours aux services de prostituées. Finalement, dans cette histoire, le fonds libyen a perdu presque tous ses investissements à travers les transactions menées pendant la crise boursière de 2008 dont Goldman Sachs est en grande partie à l’origine. Et alors que le fonds comptait ses pertes, la banque aurait généré des profits de plus de 200 millions de dollars…
Les rapaces de la fortune libertine, anonyme et vagabonde n’ont pas ruiné que le peuple grec.
Philippines : Abu Sayyaf a décapité son otage canadien
Le groupe islamiste jihadiste Abu Sayyaf fait régner la terreur dans le sud des Philippines depuis le début des années 90. Il est responsable d’un grand nombre d’attentats divers et variés mais souvent particulièrement sanglants et cruels dont des enlèvements de Philippins et d’Occidentaux et il a affirmé son allégeance à l’État Islamique en août 2014. Le groupe détenait 2 Canadiens et 1 Norvégiens depuis le 21 septembre 2015. L’un des Canadiens a été décapité après un assaut raté de l’armée Philippines au mois d’avril dernier et Abu Sayyaf avait lancé un ultimatum pour le versement d’une rançon de 5 millions de dollars pour les autres otages. Dès leur enlèvement, le premier ministre canadien Justin Trudeau a prévenu qu’aucune rançon ne serait versée, et il a appelé les autres États à faire de même : « Les rançons des prises d’otage sont une source importante de fonds pour les organisations terroristes qui leur permettent ensuite de financer leurs opérations meurtrières dans le monde entier ». L’ultimatum ayant expiré, l’otage canadien Robert Hall a été assassiné lundi selon des porte-paroles du groupe terroriste.
Palestine occupée : le mode opératoire original de deux résistants palestiniens
Deux Palestiniens ont semé la terreur mercredi soir, 8 juin, à Tel Aviv en ouvrant le feu sans discrimination sur des clients attablés dans un quartier animé de restaurants et de bars, proche du ministère de la défense, où défilent environ 20 000 personnes par jour. Bilan 4 morts et une quinzaine de blessés par les clients et passants. Les 2 auteurs ont été arrêtés. L’un d’entre eux a été blessé par des tirs visant à le neutraliser et a été hospitalisé dans un état grave.
Depuis le 1er octobre dernier « l’intifada des couteaux » a coûté la vie à 207 Palestiniens, 28 colons juifs, 2 Américains, 1 Érythréen et 1 Soudanais. Mais dans l’acte de Tel Aviv, le mode opératoire original des résistants palestiniens inquiète fortement les autorités. Ils portaient des costumes noirs et une kippa sur la tête, leur silhouette laissant ainsi penser à des juifs religieux. Selon un officier du Shabak, « ce modus operandi dénote une préparation et une organisation différentes de celle des poignardeurs qui se font abattre sur place au moment où ils tentent de frapper l’un de nos soldats dans le cadre de l’ »intifada des couteaux ». Les tueurs de Tel-Aviv ne sont pas passés à l’action sur un coup de tête et c’est peut-être le signe annonciateur que des évènements plus graves se préparent ». Il poursuit : « Durant la deuxième intifada (2000-2004), nous avions déjà découvert en Cisjordanie des uniformes neufs de Tsahal [l’armée israélienne] ainsi que des tenues permettant à des terroristes de se travestir en religieux. Mais personne n’était jamais passé à l’acte jusqu’à mercredi soir. Cette fois, les deux terroristes – deux cousins – étaient d’ailleurs tellement bien déguisés que la plupart des témoins les ont pris pour des juifs observants [juifs religieux]. Alors que les Israéliens ont tendance à se méfier, ils n’ont intrigué personne lorsqu’ils se sont présentés devant les clients qu’ils allaient attaquer ».
https://www.youtube.com/watch?v=AUkWItN9DFY
Vidéo
Faurisson contre Vidal-Naquet (17 mai 1990)
https://www.youtube.com/watch?v=jzegBSiMC14
Nouveauté littéraire
« Qui suis-je? » Salan – Jean-Paul Angelelli et Bernard Zeller
Ce « Qui suis-je ? » Salan permet de suivre son exceptionnel destin. Admis à Saint-Cyr en 1917, il choisit l’infanterie coloniale. Les combats de novembre 1918 marquent pour la vie ce jeune officier. Détaché dans l’administration coloniale en Extrême-Orient (1924-1937), il sort de la tourmente de 1940 avec trois citations. En 1944-1945, du débarquement en Provence à l’Allemagne, il mène ses troupes jusqu’à la victoire. En Indochine, aux côtés de Leclerc, en 1945, puis de De Lattre, en 1951, il défend ce pays qu’il a bien connu dans l’entre-deux guerres. Il y affronte un ennemi implacable : le Viet Minh. En Algérie, de 1957 à 1958, il combat un autre ennemi : le FLN, et rétablit une situation compromise, non sans échapper à un attentat politique (affaire du bazooka). En mai 1958, il couvre une révolte patriotique contre la IVe République, appelant le général de Gaulle au pouvoir pour sauver l’Algérie française. Nommé gouverneur militaire de Paris en 1959, le général Salan s’inquiète des ambiguïtés algériennes de la politique gaullienne. En avril 1961, il s’associe à un coup d’État militaire qui échoue. Il plonge alors dans une résistance militaro-civile, l’OAS (Organisation de l’armée secrète), qu’il conduit jusqu’à son arrestation en 1962. Condamné à la détention perpétuelle, il échappe à la peine de mort. Libéré en 1968, il se retire avec sa famille et recouvre tous ses droits. Jusqu’à sa mort, il n’oubliera ni ne pardonnera la liquidation tragique de l’Algérie française.
2016, éditions Pardès, 128 pages
12€ + 3€ de port à CALD – BP 92733 – 21000 Dijon ou en ligne ici
Ephéméride nationaliste
14 juin 1891 : Evhen Konovalets (biographie)
14 juin 1910 : naissance de Jutta Rüdiger
14 juin 1920 : naissance de jean Madiran
14 juin 1923 : mort de Alexandre Stambolijski
Agenda
18 juin – 19 juin – Haute-Savoie : Sortie cohésion des Caryatides
© Jeune nation – 2016
Mariage de Napoléon 1er et de Marie-Louise, 1810, Georges Rouget (Château de Versailles)