À une époque où on se demande « qui-mais-qui » est aux commandes de l’actuelle crise sanitaire, il n’est peut-être pas inutile d’étudier un certain calendrier religieux.
Cette année, la fête de la Roch Hachana se déroulait du lundi 6 septembre au mercredi 8.
Roch Hachana célèbre la nouvelle année civile du calendrier hébraïque. Considérée dans la tradition rabbinique comme le jour du jugement de l’humanité (bien comprise), elle inaugure une période de dix jours de pénitence dans l’attente du grand pardon accordé aux repentants.
Et le grand pardon, à la fin de la période de dix jours, c’est le Yom Kippour, qui donc en 2021 tombe le 16 septembre.
Le pardon des humains (la précision a son importance: «des humains») doit être obtenu en le demandant directement aux intéressés et en réparant ses méfaits lorsque c’est possible. Enfin, il est interdit de commettre des fautes pendant l’année en prévoyant de se les faire pardonner à Yom Kippour.
Amusant comme une religion révèle en creux les tares de ses adeptes : vu de l’extérieur, le Kippour serait plutôt une fête de la rancune et des indemnités, de toute façon, l’éventuel pardon ne concerne que les adeptes (les humains), pour les Allemands et Cassandre Fristot dont l’adresse vient d’être diffusée par l’OJE, ça ne marche pas du tout. La fête se termine par le rite du shofar (rien à voir avec le permis à points) et le rite du bouc émissaire qui doit emporter les fautes d’Israël.
Toute cette période religieuse intense se termine par la fête du Souccot, qui en 2021 s’étendra du lundi 20 septembre au mercredi 29. C’est littéralement la fête des tentes, ou des cabanes, elle n’est pas sans rappeler notre fête du forum des associations avec ses stands durant la même période.
Tout ça pour dire qu’en dépit des chiffres d’infection et de mortalité de la quatrième vague en Israël, il ne pouvait pas y avoir de reconfinement dans ce pays sur cette période. Mais on peut parier qu’ils ne perdent rien pour attendre, et que dès le 30 septembre, ou disons le samedi 2 octobre, le pays sera de nouveau bouclé. D’ici là, il faudra s’arranger pour maintenir les chiffres d’infection à un niveau élevé, voire, les faire repartir, le bouc émissaire de la reprise à la hausse étant, justement, les fêtes religieuses, ça ne devrait pas poser trop de problèmes. La France, comme depuis le début de cette crise, suivra avec un décalage de trois mois, donc, chez nous, bouclage en janvier (pas d’inquiétudes, toutes les justifications scientifiques seront fournies en temps utile par les experts de BFM).
Durant ce bouclage, il sera procédé à une deuxième paire de vaccination, la troisième et la quatrième dose, avec l’injection de la potion Pfizer qui donne une immunité surhumaine.
Mais les effets de cette potion, nous le savons, ne sont permanents que chez les bébés, ceux qui ont eu le malheur de tomber dedans étant petits, pour les autres il faudra recommencer au moins jusqu’à la sixième dose.
Pourquoi Six ?
Les chiffres sont très importants et chargés de sens pour Moïse et ses descendants, mais parmi tous ces chiffres, le Six est «Overlord», le seigneur, le maître au-dessus des autres Lords (Overlord, le débarquement, a d’ailleurs eu lieu le Six du Sixième mois à Six heures et Hiroshima, l’opération équivalente pour le Japon, le Six août).
L’étoile de David a Six branches, le monde a été créé en Six jours au début d’une histoire qui doit durer Six mille ans. La Mishna, une compilation rabbinique de laTorah compte Six volumes et on récite Six Alyots (passages de laTorah) durant la fête du Yom Kippour. Six cents ans c’est l’âge de Noé au moment du déluge et Six cent mille le nombre de familles qui accompagnaient Moïse au moment de l’exode. Rassurez-vous, on n’ira pas voir s’il n’y aurait pas un Six dans la zone des millions, mais rappelons-nous simplement aussi de cette guerre qui est censée avoir duré Six jours.
Il est donc naturel de penser que pour cette épidémie de la fin des temps, on cherchera à aller à Six doses: ce qui se passera ensuite … Peut-être une Overdose?
Il est en tout cas très bien joué de la part des acteurs à la manœuvre d’avoir mis Israël en pointe dans cette crise, ainsi, toute critique des mesures sanitaires devient automatiquement de l’antisémitisme.
Je ne comprends pas bien, dit sans ironie, comment Israël a fomenté tout ce cirque si son propre peuple est également visé. Est-ce parce que les élites juives traitent leur propre plèbe de la même manière que nous sommes nous mêmes traités par nos élites ? Il s’agirait donc d’un complot des ultra riches juifs comme non-juifs contre l’humanité tout entière. Je me pose la question. Je n’ai pas de réponse jusqu’à maintenant.
Il serait très providentiel que Dieu ait permis cette vaccination covidiste universelle très communautaire afin que les juifs, s’auto-administrant une substance fatale, soient leurs propres victimes, réglant définitivement et radicalement un problème historique sans que quiconque puisse être accusé ou appelé à indemnisation comme ils sont experts pour l’obtenir.
Le vaccin n’est pas plus médicalement dangereux que le virus, tout est un problème de soumission.
Se faire vacciner est un acte de soumission, et comme Israël est en pointe, on comprend que c’est un acte de soumission à Israël.
Pour les Israéliens eux-mêmes, il n’est pas gênant d’être soumis à des Juifs, la situation pour un Israélien n’a rien d’anormale, les peuples ont toujours eu un gouvernement.
Là où un Israélien commencerait à regimber, c’est si c’est les Palestiniens qui venaient les vacciner ou les confiner.
Et nous on regimbe parce que: voir la pancarte de Cassandre Fristot …
francis goumain est vraiment bien au courant des fêtes de la religion juive
En 1973, les Egyptiens ont attaqué Israël le jour de Yom Kippour,
Et en 1940, le 10 mai, les Allemands ont attaqué pendant le we férié de la Pentecôte, 20% de l’effectif était en permission.
ça sert de connaître les habitudes d’en face.
L’élite « juive » Ashkénazes qui dirigent le monde occidental se fout complètement des juifs pauvres et religieux qui vivent en Israël.
Pour eux seul l’argent et le pouvoir compte, il suffit de voir comment est instrumentales la Shoah, dont on sait maintenant qu’elle a fait beaucoup moins de victimes que les civils allemands massacrés par l’aviation anglosaxone.
Aviation au commande de Bomber Harris, un juif ashkénaze d’origine russe