La tyrannie macronienne, paravent d’un monde en putréfaction
L’été 2021 a été marqué par la décision de pousser tous les Français à se faire piquer avec de pseudos vaccins contre une « pandémie » en fait bien peu létale mais artificiellement dramatisée, dans un contexte de crise économique et sociale créée de toutes pièces par l’incurie – volontaire ou non- d’une oligarchie politique qui y voit une aubaine extraordinaire, comme le montre le livre de Klaus Schwab sur le « Great Reset ». Le covid 19 n’est pas la peste qui tuait le tiers d’une population, pas même la grippe espagnole qui voici un siècle tua des millions de personnes à travers le monde.
Et encore, nombre de décès attribués au covid l’ont été parce que les pouvoirs publics ont délibérément interdit les traitements efficaces de cette épidémie, déconsidéré des médecins comme les professeurs Raoult et Péronne qui les promouvaient, renvoyant chez eux les malades avec pour tout médicament du Doliprane en attendant qu’ils soient hospitalisés dans des états souvent désespérés. Et cela, pour promouvoir d’hasardeuses thérapies géniques, sources, à tout le moins, d’immenses profits financiers.
Dans une telle situation sans urgence, rien, sauf des intentions délictueuses – ou la bêtise – ne peut justifier l’instauration d’une sorte de passeport intérieur pour accéder à tel ou tel service ou activité, à commencer par les hôpitaux, établissant de fait une citoyenneté à deux vitesses selon que vous serez piqué ou non.
Obliger nombre de Français à se faire injecter des agrégats nanoparticulaires d’oxyde de graphène complexé de divers nanoéléments attachés à des acides nucléiques génétiquement modifiés, d’ARNm de cellules animales et de cellules fœtales humaines avortée qui en sont au stade expérimental et qui provoquent des effets secondaires dangereux crée un grave précédent pour notre civilisation dans la mesure où l‘Etat s’immisce dans l’intimité des personnes, porte atteinte à leur libre arbitre et à leur intégrité corporelle.
Cette mesure d’essence tyrannique s’éclaire lorsqu’elle est replacée dans une perspective de longue durée, celle qui conjugue l’instauration d’un ordre sociétal sans transcendance et l’établissement, corollaire du précédent, et l’emprise d’un pouvoir magistériel et politique subversif, inversant et pervertissant l’ordre du monde. Cela se traduit par le dénigrement, aujourd’hui sans la moindre retenue à travers notamment la Cancel Culture, de la notion de civilisation (européenne) et de culture (française) – « il n’y a pas de culture française », dixit le Macron de service ; par la négation de la nature humaine comme le montre la dénaturation du mariage, la promotion de toutes les inversions possibles à travers les mouvements LGBT et, suprêmement, par la légalisation de l’assassinat dans le ventre de leur mère des enfants à naître et cela, jusqu’à un terme de gestation très avancé, avec pour corollaire les usages criminels que la recherche médicale et pharmaceutique fait des fœtus tués.
Ce que nous vivons aujourd’hui s’inscrit dans un long processus apparu en 1789 mais aux racines plus anciennes.
L’instauration d’un passeport sanitaire fondé sur une contrainte par corps s’appuie métaphysiquement sur cette négation de la réalité de la personne humaine et est destinée à aboutir à un contrôle total des individus, réduits à l’état d’agents économiques et de matricules, par le truchement de la mise en place d’une identité numérique résumant sur un « wallet », soit un portefeuille numérique, toutes les informations sociales, médicales, judiciaires, fiscales concernant chacun d’entre nous, avec à la clé l’instauration de ce que les Chinois appellent un « crédit social », autrement dit une sorte d’autorisation de vivre de manière très surveillée. Tout va actuellement très vite.
Cela est certes criminel, diabolique, mais se comprend dès lors que nous avons pris conscience que ceux qui occupent les fonctions dirigeantes des États d’Europe occidentale ne servent pas le bien commun national, ne visent pas à défendre et promouvoir notre civilisation millénaire, ne cherchent en rien à défendre les naturels Français et plus largement européens, mais en sont les ennemis jurés.
Nous devons faire comprendre aux Français que l’oligarchie qui prétend les diriger, les abrutit, les sidère à travers leurs puissants canaux médiatiques, ne veut pas leur bien mais au contraire leur anéantissement à plus ou moins long terme. Comment comprendre qu’un gouvernement mobilise les forces de police et de gendarmerie à traquer les contrevenants au « passe sanitaire », à multiplier les contrôles de tous ordres sur la vie des Français, accroissant la surveillance des automobilistes avec des moyens considérables, comme s’ils étaient des délinquants de premier plan, tandis que les forces de l’ordre sont distraites de leur rôle premier, à savoir lutter contre la criminalité, protéger les frontières, en faisant en sorte que l’invasion migratoire s’accélère en étant livrée à elle-même ?
Ne l’ignorons pas : notre travail est gigantesque. Jugeons-en. L’on « amuse », ou plus justement, on « terrifie » les gens avec la énième vague de mutant du covid – improprement dénommé du mot anglais « variant » – ; on commence à les distraire avec le grand spectacle du cirque démocratique de la prochaine élection présidentielle.
Mais tout ceci masque une réalité sociétale de plus en plus délétère. Tout se passe comme si, sachant que ses jours sont comptés, cette oligarchie nuisible tentait de se donner les moyens de conjurer le sort qui l’attend. Notre situation économique et sociale est désastreuse et des plus inquiétantes. La crise du Covid a révélé que nous n’avions plus d’industrie pharmaceutique, que nos matériels médicaux devaient être importés, partie émergée d’un iceberg, celui de la désindustrialisation de la France, en particulier, qui rend celle-ci dépendante des importations asiatiques, notamment de la Chine qui, dès lors, a la main sur nous.
La dégradation de plus en plus inquiétante du niveau scolaire et culturel des jeunes générations est bien signalée de ci de là, mais pour le moment, rien n’enraye le mal. Bien au contraire, poursuivant la mise en place de sa tyrannie, la république macroniste supprime ce droit fondamental des parents à choisir l’éducation et l’instruction de leurs enfants, à commencer par l’école à la maison. Cela, en attendant de trouver un moyen de supprimer les écoles hors contrat, catholiques principalement, celles-ci s’efforçant de former et non pas déformer les jeunes intelligences.
Tout se passe comme si nous vivions un épuisement de notre civilisation, des réserves intellectuelles, culturelles qu’elle recélait parce que la recherche du profit matériel et surtout financier, dans un monde où tout est réduit à la quantification monétaire, a conduit à négliger, ignorer le spirituel qui est l’influx premier de toute vie et de toute grande civilisation.
Que faire, donc ? L’actuelle course à l’abîme ne peut être arrêtée. Nous n’avons pas prise sur elle. Par contre, ce qui dépend de nous est de garder l’espérance, de nous organiser de telle manière que nous puissions diffuser notre pensée, la pensée nationaliste, tout simplement celle du bon sens fondée sur l’expérience de l’histoire, recruter et former ceux avec lesquels et à partir desquels l’œuvre de rétablissement de notre civilisation pourra être entreprise à l’échelon étatique, à la faveur de l’inévitable effondrement d’un ordre contre nature, l’ordre matérialiste et anti civilisationnel actuel dont l’U.E. et leur République, cinquième du nom, sont les outils. Nous devons publier des ouvrages de fond, être un foyer vivant, incandescent de la pensée en France, éviter de sombrer dans la caricature, un travers trop présent dans les milieux nationalistes, développer nos propres réseaux de communication en veillant à échapper le plus possible à la tutelle des forces ennemies qui noyautent de plus en plus les médias et la société. Vaste programme, certes. Mais, pour agir, il faut d’abord se fixer des objectifs et s’y tenir.
SOMMAIRE :
- La tyrannie macronienne, paravent d’un monde en putréfaction (MILITANT)
- Erdogan et le canal du Bosphore (Nicolas OUGAROV)
- Eclairages sur la crise du COVID (André GANDILLON)
- Afghanistan : la débâcle occidentale (Albert FOEHR)
- La finance en surchauffe (Maurice GUFFROY)
- L’Epidémie du covid a-t-elle été préméditée ? (Emile MALLIEN)
- Le Poil à gratter
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