LES LIBERTÉS d’expression, d’opinion et de réunion se réduisent comme peau de chagrin dans notre pays. En témoigne notamment l’ahurissante annulation de la conférence que l’écrivain et géopolitologue Pierre Hillard, auteur d’un grand nombre de livres sur des sujets de fond, devait donner le mardi 27 septembre à la médiathèque d’Orléans pour présenter son dernier ouvrage Des origines du mondialisme à la grande réinitialisation. Dès l’annonce de la réunion, les antifas d’Orléans dénoncèrent une « propagande antisémite cautionnée par la mairie », s’interrogeant : « La mairie d’Orléans fait-elle la promotion des théories complotistes et de l’intégrisme religieux ? ». Car, voyez-vous, Pierre Hillard est le diable. La preuve : il « évolue dans la mouvance complotiste ». La Licra avait de son côté dénoncé le « sinistre pedigree » de l’auteur. L’officine toute-puissante auprès des pouvoirs publics vient encore d’obtenir le versement de 400 000 euros par an pendant trois ans, soit 1,2 million d’euros en tout, du gouvernement « afin de soutenir ses actions de lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT+ », selon le communiqué du ministre délégué chargé de la Diversité et de l’Egalité des chances (sic !), Isabelle Lonvis-Rome. Autrement dit l’organisation présidée par Mario Stasi (dont le nom est prédestiné) reçoit des subventions annuelles sans cesse en hausse pour accroître le bourrage de crâne de nos têtes blondes et crépues dans les écoles mais aussi de tous ceux qui se préparent à être dans la fonction publique, la LICRA, on ne le sait pas assez, intervenant également au cours de la formation des policiers, des gendarmes, des magistrats, des enseignants. Ce qui explique bien des choses.
La Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme avait ainsi dénoncé une vidéo de Pierre Hillard publiée sur TikTok, dans laquelle l’écrivain voit la guerre en Ukraine comme « une bagarre entre différents clans d’élites juives », où les “goïms” (les non-Juifs) « sont la viande passée à la moulinette », avant de citer l’apôtre saint Paul : « Les juifs, ennemis de l’Humanité ». Des propos audacieux, par les temps qui courent… Et Hillard de dénoncer la « Grande réinitialisation », vue comme le plan d’une petite élite pour contrôler l’Humanité dans sa totalité. Pour Pierre Hillard, et il n’est pas seul à le penser, cette élite est juive. Et puis, “ils” ont découvert avec effroi que Hillard était “intégriste”. Il affirme en effet que la décapitation de Louis XVI en 1793 est « un contre-baptême, un baptême satanique ». La Licra, dénonçant une « propagande antisémite cautionnée par la mairie », se fit donc de plus en plus menaçante à l’égard du maire, le LR Serge Grouard qui avait autorisé dans un premier temps la tenue de cette conférence, clamant : « On ne peut imaginer que Serge Grouard cautionne la prise de parole d’un auteur antisémite et conspirationniste dans sa ville ». Du coup, Serge Grouard, un courageux dans son genre (normal, il appartient aux Républicains), annonça qu’« au vu de cet émoi, la réservation de l’auditorium était annulée ». Mais sa conclusion est grandiose. « Si cette conférence avait eu lieu, je serais moi-même allé manifester contre », vient-il de déclarer dans un communiqué officiel de la mairie d’Orléans. On n’avait jamais vu quelqu’un manifester contre lui-même !Sauf à l’asile de Charenton !
CES MÉTHODES détestables de délation visant à censurer et asphyxier tous ceux qui ne se soumettent pas totalement à la police de la pensée, nous en savons quelque chose à RIVAROL, sont malheureusement souvent très efficaces. Car les politiciens, fussent-ils de droite (ou de supposée droite), ne brillent généralement pas par leur héroïsme. Comme en témoigne la réaction du maire LR d’Orléans qui, après avoir accepté la conférence de Hillard, a, on l’a dit, lamentablement cédé sous la pression, de crainte d’être taxé d’antisémite, l’accusation suprême. Et ce que la gauche fait en France avec beaucoup de succès, elle essaie de le mettre en œuvre à l’égard de la droite italienne qui vient de gagner les élections législatives tant à la chambre des députés qu’au sénat. Avant même que ne soit installé le nouveau gouvernement en principe dirigé par la quadragénaire Giorgia Meloni, dirigeante de Frères d’Italie, un parti de centre droit allié de Berlusconi et de Salvini, et avant même que le nouvel exécutif n’ait pris la moindre mesure ni fait la moindre annonce, il est diabolisé.
On multiplie ainsi les reportages angoissés sur les craintes des invertis italiens — « Giorgia Meloni est une menace gigantesque pour la communauté LGBTQI+. Elle n’est pas notre adversaire, elle est notre ennemie » déclarent des sectateurs du lobby homosexualiste —, des migrants menacés d’expulsion, possiblement renvoyés dans des bateaux affrétés à cet effet. On rappelle le passé fasciste de la prochaine présidente du Conseil alors qu’elle a brièvement adhéré à 15 ans, en 1992, à la branche jeune du Mouvement social italien, déjà en voie de progressive normalisation sous la houlette de Gianfranco Fini. On oublie également de dire que Meloni a également été pendant plus de trois ans, de 2008 à 2011, ministre pour la Jeunesse du quatrième et dernier gouvernement Berlusconi et que l’on ne se souvient pas qu’elle ait tenu des discours ou adopté des mesures extrémistes. On insiste aussi sur l’euroscepticisme de Meloni, en oubliant là aussi de dire que, comme Marine Le Pen, elle a renoncé à la sortie de son pays de l’euro et de l’Union européenne et que son ministre des Finances présumé serait, dit-on, une personnalité compatible avec les exigences de Bruxelles et de la Banque centrale européenne.
LA DIABOLISATION des mouvements et personnalités de droite, ou qualifiés tels, a ceci de pervers qu’elle conduit généralement les dirigeants ainsi attaqués, ostracisés, à être sur la défensive, à répéter qu’elles récusent le fascisme, le racisme, l’antisémitisme et à multiplier les concessions. Si pour l’heure Meloni n’a pas été aussi loin, tant s’en faut, que Marine Le Pen dans les reptations et les reniements, son programme reste flou, comme l’écrit l’ami Scipion de Salm en page centrale. Et il n’a rien de radical : a priori elle ne reviendra ni sur « le droit à l’avortement », contrairement à ce que fit le 24 juin dernier la Cour suprême des Etats-Unis, ni sur l’union civile des homosexuels, une sorte de Pacs aggravé à l’italienne, ni sur l’intégration de l’Italie à l’Union européenne et à l’euro, ni sur le soutien logistique à l’Ukraine contre la Russie, Meloni s’étant clairement prononcée tout au long de la campagne électorale pour un net soutien au président ukrainien Zelensky.
La gauche présente Meloni comme une fasciste, alors même qu’elle a explicitement récusé le terme de postfasciste, comme une réactionnaire et une intégriste alors qu’elle est une femme très moderne, qui a grandi dans un foyer où ses parents ont divorcé, et qui épouse les mœurs du temps (elle vit ainsi en concubinage et a eu une fille hors mariage avec son partenaire Andrea Giambruno). On est donc loin de l’image de la pieuse catholique, mettant sur la tête sa mantille pour se rendre à l’église et ayant une famille nombreuse, l’Italie étant de toute façon l’un des pays d’Europe où la natalité est de loin la plus faible (1,25 enfant par femme) et où la déchristianisation est aussi largement avancée que partout ailleurs dans le Vieux Continent, ce qui est très préoccupant pour l’avenir et dramatique sur le long terme.
LA GAUCHE fait feu de tout bois pour empêcher par avance toute mesure, même timide, même partielle, de bon sens, toute proposition visant à freiner la décadence, à rétablir un semblant de morale publique, de régulation des flux migratoires, de défense des bonnes mœurs, de résistance au nouvel ordre mondial, à ce que l’ami Hannibal appelle à juste titre la révolution arc-en-ciel.
Quelle sera la capacité d’insoumission de la nouvelle coalition des droites italiennes à la pensée unique ? Quelle sera sa marge de manœuvre ? Nous le verrons, nous jugerons sur pièce. Ne lui faisons certes pas de procès d’intention, mais ne nous nourrissons pas non plus d’illusions. Si les résultats obtenus ne dépassent pas ce qui fut entrepris en 1994 lorsqu’une première coalition des droites menée par Silvio Berlusconi (Forza Italia), Umberto Bossi (la Ligue du Nord) et Gianfranco Fini (MSI-Alliance nationale) accéda aux responsabilités, alors une nouvelle fois ce sera un coup d’épée dans l’eau. Si cela se produit, et ce risque, disons-le, est extrêmement élevé, cela signifiera que la gauche, par ses cris d’orfraie, par ses techniques de diabolisation et de tétanisation de l’adversaire, aura alors réussi une énième fois à tuer dans l’œuf toute tentative de résistance, même partielle et en partie dévoyée, à sa tyrannie idéologique, à ses mots d’ordre et à sa vision de l’homme, de la vie et de la société.
Jérôme Bourbon <[email protected]>
Source : Éditorial de Rivarol
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Dénonciation du fascisme, soumission à Israël, Yad Vashem, appel à la guerre contre l’Iran et la Russie : Meloni explose tous les records!
Le journal juif Hayom Israël confirme ce constat grâce à une interview choc avec Giorgia Meloni.
Hayom Israël :
Q : De toutes les femmes qui ont dirigé leur nation – Margaret Thatcher, Angela Merkel, Golda Meir, Indira Gandhi, Benazir Bhutto pour n’en citer que quelques-unes -, laquelle vous inspire le plus ?
« J’aime à penser que je peux tirer le meilleur de chacune d’entre elles parce que j’attends toujours beaucoup de moi-même, ce qui me pousse à étudier dur et à essayer constamment de m’améliorer ». Les femmes extraordinaires que vous avez mentionnées ont façonné l’histoire de leur nation et de leur époque. Elles étaient connues, souvent aimées et admirées dans le monde entier. Quelles que soient leurs opinions politiques, elles ont toutes aimé et défendu leur pays. C’est, pour moi, ce qu’un bon dirigeant devrait toujours faire. »
Q : Comment définiriez-vous votre parti, Les Frères d’Italie (Fdl) ?
« Les FdI sont le parti des conservateurs italiens ; nous soutenons la liberté individuelle, l’importance de la famille, la préservation des identités culturelles occidentales, européennes et italiennes, ainsi que l’autonomie et l’initiative économique privée et la cohésion sociale. Nous sommes un gouvernement de droite moderne et occidental, un pilier du Parti des Conservateurs et Réformistes Européens dont sont membres les premiers ministres de Pologne et de République tchèque et que j’ai l’honneur de présider. Nous avons également des liens étroits avec le Likoud, les Tories britanniques et les Républicains américains.
Q : Certains membres de votre parti sont issus de la famille de Benito Mussolini. Le parti a des liens avec l’Alliance nationale – issue du Mouvement social italien. Que répondez-vous à tous ceux qui accusent votre parti de néo-fascisme ?
« Ce sont des accusations ridicules, venant d’une gauche désespérée et sans arguments. Mais je ne veux pas esquiver la question, car je sais combien elle peut être délicate pour vos lecteurs. Fratelli d’Italia fait partie du parcours évolutif de la droite démocratique italienne et, depuis sa fondation, il a rassemblé des personnalités d’autres partis de centre-droit, du monde catholique et libéral. Ceux qui, comme moi, suivent cette voie, ont remisé le fascisme dans les annales de l’histoire depuis des décennies, condamnant fermement la perte de la démocratie, les lois antijuives scandaleuses et la tragédie de la Seconde Guerre mondiale. Nombre d’entre nous ont déjà occupé des fonctions gouvernementales ; j’ai moi-même été le plus jeune ministre de l’histoire républicaine. Nous avons tous prêté le serment constitutionnel. Tout le monde sait que nous n’avons jamais été une menace pour la démocratie et nous n’en devenons évidemment pas une maintenant, bien que nous soyons certainement « dangereux » pour le système de pouvoir de la gauche italienne, qui a été au gouvernement pendant des années sans gagner les élections. La différence entre eux et nous, c’est que je ne passe pas mes journées à me souvenir qu’il y a un peu plus de trente ans, de nombreux gauchistes étaient membres du parti pro-soviétique le plus puissant de l’Occident. Il me suffit d’énumérer tous les dégâts causés par les gouvernements de gauche aujourd’hui, sans avoir à fouiller dans le passé. »
Q : Avez-vous déjà visité Israël ? Envisagez-vous de le faire prochainement ?
« Oui, certainement. J’ai effectué une visite officielle en Israël lorsque j’étais ministre sous le dernier gouvernement Berlusconi. C’était une mission très importante, avec la visite émouvante de Yad Vashem : une expérience qui a secoué ma conscience. Je retournerai certainement en Israël, bientôt j’espère. C’était quelque chose que j’envisageais en raison de mon rôle de président du Parti conservateur européen, dont les amis du Likoud sont également membres. Mais la guerre en Ukraine, la crise politique en Israël, puis les élections anticipées en Italie également ont changé l’agenda. J’espère y retourner dès que possible, cette fois en tant que chef de gouvernement, pour discuter avec le nouveau gouvernement israélien de collaborations et de stratégies communes, à commencer par celles concernant l’approvisionnement en gaz naturel par la Méditerranée orientale. »
Q : Quelle est pour vous l’importance d’un Etat juif ?
« Israël représente la seule démocratie à part entière dans le Moyen-Orient élargi, et nous défendons sans aucune réserve son droit à exister et à vivre en sécurité. Je pense que l’existence de l’État d’Israël est vitale, et Fratelli d’Italia fera tout son possible pour investir dans une plus grande coopération entre nos pays. Après tout, c’est l’attitude amicale que le centre-droit italien a toujours eu envers Israël lorsqu’il était au gouvernement. En revanche, la gauche ne peut pas en dire autant, ni traditionnellement, ni dans cette campagne électorale, qui a mis en lumière des incidents répétés de candidats de gauche surpris en train d’écrire des messages à saveur antisémite sur leurs réseaux sociaux. »
Q : Voyez-vous un lien entre ceux qui appellent à détruire Israël militairement ou par des boycotts comme une continuation de l’antisémitisme traditionnel ?
« Oui, et je pense aussi que l’une des manifestations les plus courantes de l’antisémitisme aujourd’hui est la propagande anti-israélienne, que les Juifs d’Europe sont le plus susceptibles de rencontrer en ligne. Les Juifs d’Europe sont également soumis à la menace provenant non seulement des factions d’extrême-gauche et d’extrême-droite, mais surtout des immigrants musulmans radicalisés qui se nourrissent du ressentiment à l’égard d’Israël. Je me souviens de la mort récente du jeune Jeremy Cohen, qui tentait de fuir une attaque antisémite dans la banlieue de Paris lorsqu’il a été tué par un tramway. Parce que cette tragédie aurait attiré l’attention sur l’échec des politiques d’intégration, peu de médias européens ont choisi d’en parler. Par conséquent, en tant que conservateurs européens et Fratelli d’Italia, nous soutenons fermement la nouvelle stratégie de l’Union européenne contre l’antisémitisme. Israël est et doit continuer à être un allié crucial de l’Union européenne dans l’effort d’éradication de ce mal dans le monde. Nous soutenons les efforts visant à accroître la compréhension des jeunes étudiants de l’histoire, de la religion et de la culture juives. Cela contribuera à l’élimination des préjugés sociétaux et à la pleine acceptation des coutumes juives en Europe. »
Q : Un gouvernement dirigé par vous reconnaîtra-t-il Jérusalem comme capitale d’Israël et transférera-t-il l’ambassade d’Italie de Tel Aviv à Jérusalem ?
« C’est une question très sensible, sur laquelle je pense que le prochain gouvernement italien, comme tous ceux qui l’ont précédé, devra agir en synergie avec nos partenaires de l’Union européenne. »
Q : L’Italie entretient des relations économiques étroites avec l’Iran. Comment, à votre avis, l’Occident doit-il empêcher l’Iran de devenir une puissance nucléaire militaire et comment l’Italie peut-elle y contribuer ?
« Les sanctions ont eu un lourd impact sur de nombreuses entreprises italiennes qui avaient tissé des liens économiques solides avec l’Iran, néanmoins, l’heure n’est certainement pas à la remise en question, à moins que certaines conditions ne soient remplies. En effet, nous sommes extrêmement préoccupés par le rôle de l’Iran dans la région, son rapprochement en cours avec la Russie et la Chine, son soutien continu au Hezbollah, qui continue de menacer la sécurité d’Israël, ainsi que par le rapport de l’AIEA indiquant que les contrôles efficaces sur le développement des missiles iraniens sont insuffisants. Sans garanties supplémentaires pour Israël, qui est raisonnablement inquiet quant au calendrier d’enrichissement de l’uranium nécessaire à la création de l’arme atomique, nous pensons qu’il sera difficile de relancer l’accord de 2015. Nous avons fermement soutenu les accords d’Abraham comme un moyen de maintenir la stabilité régionale et de freiner la politique étrangère agressive de l’Iran ; nous pensons donc qu’ils doivent être davantage mis en œuvre. »
Q : Comment peut-on arrêter la guerre en Ukraine et craignez-vous une guerre plus importante en Europe ?« La guerre en Ukraine est non seulement une violation flagrante du droit international, une agression contre l’intégrité territoriale d’une nation souveraine et une manifestation de l’expansionnisme russe, mais aussi une tentative de subversion de l’ordre mondial actuel au détriment de l’Occident et au profit de la Chine communiste. Un scénario que l’Europe doit fermement rejeter. Une éventuelle extension de la guerre à d’autres nations d’Europe de l’Est est une éventualité dénoncée par nos amis polonais, que nous ne devons malheureusement pas sous-estimer. Pour cette raison, nous ne devons pas cesser de soutenir l’Ukraine. Je le dis avec fermeté, mais avec tout autant de regret, même en connaissant les liens particuliers qui unissent historiquement Israël et la Russie. En 2002, l’Italie elle-même a accueilli un sommet OTAN-Russie pour construire un Occident élargi et faire face ensemble à la menace du terrorisme islamique. Vingt ans ont passé, cette perspective est au point mort et Poutine a malheureusement franchi une ligne rouge.«
Meloni est une brave petite « soldate » du « Système » et du Mondialisme qui n’ont aucun souci à se faire du résultat de ces élections.
l’antisémitisme n’existe pas chez les Français de souche – il existe chez les musulmans arabes en raison de la Palestine – les Arabes étant des sémites, c’est un affrontement entre sémites
Les socialos en passant par les écolos et les cocos, jusqu’aux fachos et gauchos, c’est kif kif bourricot,
Tous des agités de la raie publique dans la détestation des migrants, des musulmans et de l’islam.
C’esr avec cette entrée en matière un peu rude mais volontaire et pas du tout excessive, que j’arrive au vif du sujet.
Vous aurez relevé j’espère que la censure et la répression s’exerçaient toujours sous les mêmes accusations » d’antisemitisme » et d’anti LGBT, et quasiment jamais aux motifs d’islamophobie, de racisme antimusulman, d’anti-islam et de l’anti-immigres, Il doit quand même y avoir un Truc qui nous échappe. Posez-vous, les bonnes questions !
Dans son Libre Journal du lundi soir du 26 septembre , Pierre Alexandre Bouclay , directeur de Radio Courtoisie dit bien qu’il est partant pour inviter Jérôme Bourbon à l’antenne , contrairement à Dominique Paoli ( Danièle Colle) qui elle , s’opposait à sa venue dans les studios .
C’est bon à savoir .