Sans parler de l’état de la France,
Il faut vraiment éviter le grand âge, ça n’a aucun intérêt.
Si on n’a pas le courage « d’y passer d’un coup », on peut essayer de s’empoisonner lentement:
en ce qui me concerne, 5 g de Doliprane tous les soirs d’un coup depuis un an, pour l’instant, aucun symptôme, il aurait fallu commencer des années plus tôt.
En tout cas, le Doliprane, c’est une astuce pour les sportifs: je fais des marches de 6, parfois 8 et même 10 heures, chaque semaine, en toute saison, je rentre les béquilles raides, mais avec 5g (en réalité 2 suffiraient pour ce but), le lendemain, aucune courbature, on peut quasiment repartir.
La mort, la nôtre, c’est encore tout ce qui nous appartient et sur laquelle on peut avoir un contrôle, à la fois physique et, disons, d’intention.
Sur la vie, aussi bien personnelle que collective, je ne me souviens pas en avoir eu aucun, alors qu’il aurait fallu, et au bout d’un moment, ça fait chier, parce qu’on a quand même un truc au fond de soi qui s’appelle l’honneur (et que certains appellent de l’orgueil, de l’amour-propre, voire, du narcissisme).
Merci à la Mite d’avoir partagé cette expérience, ce n’est d’ailleurs pas une expérience, une expérience, ça sert à quelque chose, là, ça ne sert à rien, et raconter l’épisode est casse-gueule, et il se casse la gueule en ne vidant pas complètement son sac. Malgré tout, merci.
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Sans parler de l’état de la France,
Il faut vraiment éviter le grand âge, ça n’a aucun intérêt.
Si on n’a pas le courage « d’y passer d’un coup », on peut essayer de s’empoisonner lentement:
en ce qui me concerne, 5 g de Doliprane tous les soirs d’un coup depuis un an, pour l’instant, aucun symptôme, il aurait fallu commencer des années plus tôt.
En tout cas, le Doliprane, c’est une astuce pour les sportifs: je fais des marches de 6, parfois 8 et même 10 heures, chaque semaine, en toute saison, je rentre les béquilles raides, mais avec 5g (en réalité 2 suffiraient pour ce but), le lendemain, aucune courbature, on peut quasiment repartir.
La mort, la nôtre, c’est encore tout ce qui nous appartient et sur laquelle on peut avoir un contrôle, à la fois physique et, disons, d’intention.
Sur la vie, aussi bien personnelle que collective, je ne me souviens pas en avoir eu aucun, alors qu’il aurait fallu, et au bout d’un moment, ça fait chier, parce qu’on a quand même un truc au fond de soi qui s’appelle l’honneur (et que certains appellent de l’orgueil, de l’amour-propre, voire, du narcissisme).
Merci à la Mite d’avoir partagé cette expérience, ce n’est d’ailleurs pas une expérience, une expérience, ça sert à quelque chose, là, ça ne sert à rien, et raconter l’épisode est casse-gueule, et il se casse la gueule en ne vidant pas complètement son sac. Malgré tout, merci.
Remarquable, ce texte de la Mite ! Bravo !