Fixée chaque année au 10 mai, Leur « Journée nationale des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions » est présentée comme
« Un travail d’histoire et de citoyenneté [sic].
Faire culpabiliser le Blanc, au mépris des faits avérés
Leur école étant censée enseigner l’Histoire,
« dès l’école élémentaire et le collège, les enseignements, en particulier d’histoire-géographie, permettent à tous les élèves d’acquérir des connaissances [sic] sur la question des traites, des esclavages et de leurs abolitions. Ces connaissances doivent leur permettre de comprendre la singularité d’une histoire longue et complexe et de ses héritages. »
Rappelons à la mémoire de tous ces pédagomanes que leurs manuels ont une fâcheuse tendance à « oublier » le poids considérable de la traite négrière par les Arabes et la réduction en esclavage séculaires et toujours actuelle des Africains par les Africains. Le sort de la main-d’œuvre asiatique sur les chantiers au Qatar moderne n’est qu’à peine différente, en témoigne la mortalité considérable.
Surtout :
1°) L’esclavagisme contre les Africains a été et demeure le fait des Arabes. (cf. : « La traite musulmane : au delà de l’horreur », AJM, 7 juin 2012 ; L’histoiree de l’esclavage enseigné à l’école », Gazette de là-bas, 7 mars 2009).
« Ce que l’on va enseigner, quelles que soient les bonnes [sic] intentions de M. Sarkozy, c’est l’histoire politiquement correcte de l’esclavage, un mensonge d’auto-flagellation marxo-socialiste sur la culpabilité éternelle de l’Occident. Mais touche pas à mon Islam ! Il castre, il lapide, il démembre et il excise qui il lui plaît. »
2°) Les milliers d’esclaves européens délivrés lors de la colonisation de l’Afrique, sur une estimation de quatre à cinq millions de Blancs capturés – au moins 1 250 000 à l’Ouest et 3 000 000 à l’Est – emportés par les pirates des barbaresques et ottomans, leur école, en parle-t-elle ? Non. Pour ne pas déstabiliser les immigrés maghrébins en France, dixit leur coreligionnaire et compatriote de certains d’entre eux, Najat Belkacem.
« L’esclavage des Blancs, […] minimisé et tenu pour relativement doux en comparaison de celui des Noirs dans les Amériques, offre pourtant des chiffres qui montrent l’étendue d’une activité qui se maintiendra jusqu’au XIXème siècle et ne disparaîtra qu’avec l’installation du colonialisme français en 1830. » (« L’esclavage blanc en Méditerranée (1500-1830) 1ère partie », Gazette de là-bas, 7 mars 2009).
3°) Et tous les esclaves chrétiens déjà rachetés antérieurement aux Barbaresques pour rendre la liberté à ces personnes injustement embarquées contre leur gré en Afrique. Qui pour s’y attarder ?
Les listes annuelles d’esclaves rachetés pour les libérer étaient interminables (cf. « Listes d’esclaves français », Maître Derville, 22 juillet 2010).
4°) Le fait que le nom anglais ‘slave’, pour ‘esclave’ vient du mot européen ‘Slave’ car, dans les Balkans, nombre d’entre eux ont été raflés et déportés non pas seulement pour travailler et se rapprocher de leur futur ‘foyer national’, mais pour servir de bêtes de somme multi-usages… lequel de leurs ‘enseignants’ en parle ?
(« Traites négrières en terre d’islam (2) », Gazette de là-bas, 12 mai 2009)
« On évalue à plus d’un million le nombre d’habitants enlevés en Europe occidentale entre le XVIe et le XVIIIe siècle, au temps de François 1er, Louis XIV et Louis XV. Ces esclaves, surtout des hommes, sont exploités de la pire des façons dans les orangeraies, les carrières de pierres, les galères, les chantiers,… d’Afrique du nord. Des organisations chrétiennes déploient beaucoup d’énergie dans le rachat de ces malheureux, tel Miguel de Cervantès. En Europe orientale et dans les Balkans, pendant la même période, les Ottomans prélèvent environ trois millions d’esclaves. Mais l’expansion européenne, à partir de la fin du XVIIIe siècle, met fin à ces razzias. »
5°) Leurs « révolutions » qui ont tout libéralisé pour réduire les peuples à une existence de survie et capturer des milliers d’enfants blancs au profit des affairistes sans foi ni loi le plus souvent apatrides, qui les critique dans les classes du laboratoire ‘Éducation nationale’ ?
La vérité sur l’esclavage – Serge de Beketch
6°) Qui, également, pour insister sur le fait que les catholiques ont eu tendance à s’opposer à ces pratiques, tandis que les « laïcs », protestants et juifs ici, et musulmans là-bas, les ont perpétuées, sinon développées ?
7°) Qui enfin pour rappeler que les propriétaires des bateaux négriers et trafiquants en Europe étaient le plus souvent des Juifs, tels les ‘Mendès’ du Portugal, ascendants directs de leur avant-gardiste Pierre Mendès dit ‘France’ et que les commerçants de Nantes et surtout de La Rochelle –ville particulièrement infestée d’activistes francs-maçons – étaient des Protestants, donc des libéraux intégraux de tout temps en butte au Roy de France, au Vatican et à tous les enseignements moraux de l’Église ainsi qu’à sa doctrine sociale ?
Extension républicaine à l’avant-garde pour occulter la réalité historique
Leur « Semaine d’éducation contre le racisme et l’antisémitisme » ne semble pas suffire pour l’abrutissement des jeunes gens. Il est vrai que lorsqu’on proclame « Grande Cause nationale [sic] 2015 », on n’est plus à une séance de marxisme culturel près !
Selon leur propagande à l’endroit du ‘corps enseignant’ :
« Elles [lesdites ‘connaissances’] peuvent aussi les aider [élèves] à développer une réflexion civique toujours actuelle sur le respect de la dignité et de l’intégrité de l’être humain et sur la notion de crime contre l’humanité [évidemment !]. Ainsi, la convention du Conseil de l’Europe sur la lutte contre la traite des êtres humains, ratifiée par la France, rappelle la nécessaire promotion d’une approche préventive fondée sur les droits de la personne humaine »
Pourquoi est-ce que ça n’est jamais un « crime contre l’humanité » d’organiser la traite des Anglaises dans des réseaux d’esclavage sexuel dirigés, le plus souvent, par des Pakistanais, parfois par des Africains ?
Est-ce que le vivre-à-part n’aurait pas permis d’éviter ça ?
De même pourquoi présenter comme ‘normal’ le bombardement massif des populations civiles à Dresde, Hambourg, Cologne, Leipzig, Berlin, etc. par les anglo-américains ?
Pareil pour les bombes atomiques sur les civils japonais : Angélina Jolie VOIGHT, dite ‘Angélina JOLIE’ s’appesantit durant tout un film sur le cas d’un sportif italien renié devenu américain et faisant la guerre contre un allié de l’Italie de Mussolini, prisonnier de guerre des Japonais qui l’auraient ‘mal traité’… si mal traité qu’il est ressorti vivant et a pu aller à nouveau s’exhiber aux Jeux olympiques ultérieurement.
Par contre, les habitants d’Hiroshima et de Nagasaki, civils, victimes de la barbarie états-unienne… qu’en advint-il ?…
Ces deux derniers cas de figure correspondent bien à la définition du terrorisme – doublé de massacre à tendance génocidaire – contre les populations civiles pour faire plier les autorités politiques, mais on ne trouve pas un mot de compassion dans les manuels de leur Histoire officielle, pas une condamnation des vrais « États-voyous » et pas une « réparation de guerre » versée à ces victimes civiles.
Las ! Ce sont les descendants des Allemands à avoir réchappé des bombes qui paient par milliards aux ex-voyageurs sans billet, n’appliquant pas de salaire minimum à une grande partie de leur population réduite en grand nombre à survivre depuis soixante-dix ans… mais les usines, vrais sites stratégiques qui auraient pu être pris pour cibles par les « alliés », ont été suffisamment épargnées pour permettre aux Américains de récupérer les missiles et prototypes d’avion, que ces voleurs ont mis des années à développer pour faire décoller une fusée, puis, longtemps après, pour faire voler des avions furtifs.
C’EST PRECISEMENT POUR METTRE FIN A UN CRIME CONTRE L’HUMANITE QUE LA FRANCE S’EST VUE DANS L’OBLIGATION DE S’ATTAQUER AUX TURCS D’ALGER.
Ce crime contre l’Humanité ? La traite des esclaves chrétiens à destination de la Turquie !
L‘obligation ? Elle résultait de la volonté des nations européennes, réunies à Aix-la-Chapelle en 1818, et qui ont délégué la France et l’Angleterre, dont les flottes se sont présentées conjointement à Alger l’année suivante, pour signifier au Dey que les nations chrétiennes exigeaient la fin de cette insupportable pratique !
Douterait-on de l’antériorité de ces griefs contre les Turcs d’Alger qu’on disposerait, pour s’en convaincre, de la lettre envoyée par Bonaparte au Dey Mustapha en 1803 : « Deux bricks ont été pris par vos corsaires… et un bâtiment napolitain dans la rade d’Hyères, et par là vous avez violé le territoire français ». A la suite de quoi, l’Empereur envoyait son meilleur géographe, le commandant Boutin, faire le choix d’une rade de débarquement proche d’Alger.
Et ce furent finalement ses plans qui furent appliqués par le Roi Charles X en 1830, après qu’il eut adressé à la Cour d’Angleterre un message sans ambiguïté : « Le Roi, ne se bornant pas à ses propres griefs, a adopté pour but la destruction définitive de la piraterie et la cessation absolue de l’esclavage des Chrétiens ».
Alors, qui étaient et qui sont les criminels, sinon ceux qui émasculaient naguère les Chrétiens, pour en faire leurs eunuques et violaient leurs femmes dans leurs harems… les mêmes qui, trois siècles plus tard, plaçaient des bombes dans les quartiers européens d’Alger… ou leurs descendants immigrés au XXIème siècle égorgeant nos prêtres jusque dans leurs églises décapitant nos professeurs et perpétuant l’habitude de violer nos épouses et nos filles ?
MAIS QUI ETAIENT CES « INNOCENTS » QUE LA FRANCE A ATTAQUES EN JUILLET 1830 ?
Au début du XVIe siècle, on sait que l’Algérie n’était qu’un territoire sans identité ni frontière.
C’est en 1518 que Khaïr ad-Din , dit « Barberousse », pirate esclavagiste ayant fait d’Alger son repaire, se place sous la protection du Sultan de Constantinople. Et c’est ainsi que pendant trois siècles, ce qui devenait « La Régence d’Alger » subira la domination des Turcs qui accentuèrent ainsi leur pénétration en Méditerranée.
Les pirates barbaresques dits « les Raïs », sont réunis dans une corporation, la Taïffa, parfois en concurrence avec l’Odjak des Janissaires, mais qui, par le fruit de ses razzias et du commerce des esclaves, entretient la prospérité de cette Régence d’Alger dont elle fait élire ou destitue les Deys en fonction de ses intérêts.
En mer ou sur les côtes d’Europe, les barbaresques musulmans capturent des Chrétiens qu’ils utilisent sur leurs galères ou vendent sur le marché des esclaves, tandis que parmi eux, les aristocrates ou les commerçants fortunés sont revendus à leurs familles à prix d’or.
Des religieux français, les Frères de la Mercy, font la quête pour rassembler ces rançons.
En Espagne, c’est l’Ordre Trinitaire de la Rédemption des Captifs qui s’évertue au rachat de nombre de ces malheureux, dont notamment Miguel de Cervantes, l’immortel auteur de « Don Quichotte » capturé lors d’un voyage à Naples, le 26 septembre 1575 et libéré exténué par cinq ans de captivité.
En 1605, C’est Saint Vincent de Paul, qui fut capturé en mer entre Marseille et Narbonne, puis vendu comme esclave à Tunis, d’où il parvint à s’évader après deux ans de servitude
Le père Dan, de l’Ordre Trinitaire, ne dénombrait pas moins de 30 000 esclaves chrétiens à Alger, en 1634, tandis que le consensus des historiens s’établit sur le chiffre de 1 250 000 esclaves chrétiens, hommes, femmes et enfants razziés en Méditerranée ou sur les côtes d’Europe du sud entre 1500 et 1830.
CONTRAIREMENT A CE QUE SUGGERE UNE REPENTANCE PATHOLOGIQUE, LE SEUL « CRIME CONTRE L’HUMANITE » EN AFRIQUE DU NORD EST CELUI AUQUEL A MIS FIN L’EXPEDITION DU ROI CHARLES X AU BENEFICE DE LA CHRETIENTE, ET QUI NECESSITAIT UNE OCCUPATION EVITANT A LONG TERME LA RECIDIVE DE CETTE ABOMINATION.
Cette république judeo maçonnique nous parle de dénigrer notre race blanche négatif soyons fière de nos ancêtres
Il est flagrant que le système médiatico-politique de la Domination très établie, vise à culpabiliser, à fond, le seul Goy Blanc de l’esclavage, pratique pourtant historiquement, universellement répandue, et qu’il fut le premier à avoir abolie.
(Correction orthographique).