Communiqué de l’ASLA, Association de soutien aux lanceurs d’alerte, en relation avec les poursuites engagées contre quelques militants albigeois qui s’étaient mobilisés pour dénoncer le laxisme sécuritaire et migratoire après l’attaque au couteau d’Annecy, le 8 juin 2023, par un « réfugié syrien », Abdelmasih Hannoun, contre 6 personnes dont 4 enfants en bas âge.
Le 23 janvier, la Cour d’appel de Toulouse a rendu un verdict lourd de conséquences pour trois militants de Patria Albiges, poursuivis pour avoir collé des affiches dénonçant les attaques au couteau d’Annecy, perpétrées par un migrant syrien. Ces affiches portaient un message simple et percutant : « Protégeons nos familles de l’immigration ». Pour rappel, l’assaillant syrien avait délibérément poignardé des bébés dans un parc pour enfants, faisant six blessés avant d’être maîtrisé.
Le verdict : une condamnation politique déguisée
La Cour a maintenu la condamnation pour « provocation à la haine raciale » avec des sanctions choquantes à l’encontre de citoyens français au casier vierge :
- 3 mois de prison avec sursis,
- Stage de rééducation républicaine à leurs frais,
- 2 500 € de dommages et intérêts à des associations militantes d’extrême-gauche, qui se sont constituées partie civile.
Un acharnement idéologique et judiciaire
Depuis le début, l’ASLA dénonce l’instrumentalisation des tribunaux pour museler les lanceurs d’alerte et dissuader toute opposition à une politique migratoire incontrôlée et ses conséquences dramatiques.
Ces trois jeunes hommes sont devenus les boucs émissaires d’une justice de plus en plus politisée, utilisée comme outil de répression.
Pourquoi un recours en cassation ?
Cette condamnation disproportionnée et idéologiquement biaisée établit un dangereux précédent pour la liberté d’expression.
Ces jeunes patriotes, qui n’ont commis ni violence ni dégradations, se retrouvent criminalisés pour avoir dénoncé des faits graves et alerté sur un enjeu de société majeur.
L’ASLA s’engage à porter ce dossier devant la Cour de cassation. Nous irons jusqu’au bout pour obtenir la relaxe et rétablir la justice.
Face à l’intimidation, nous refusons de reculer. Ce combat ne concerne pas seulement ces militants, mais l’ensemble des citoyens qui croient encore à la liberté d’expression et au droit de dire la vérité.
Merci pour votre soutien ! C’est grâce à votre mobilisation que nous avons pu accompagner ces jeunes en première instance et en appel. Aujourd’hui, ce combat continue, et nous avons besoin de vous pour nous tenir à leurs côtés.
Ensemble, défendons la liberté d’expression et soutenons ceux qui osent dire la vérité.