Depuis quelques jours, de nombreux abonnés au canal Telegram de Jeune Nation (https://t.me/jeunenationcom) reçoivent une erreur en tentant de le consulter : « Malheureusement, ce canal ne peut pas être affiché sur les applications Telegram téléchargées depuis le Google Play Store ».
À cette heure, seuls les possesseurs de smartphones et autres tablettes fonctionnant avec le système d’exploitation « Android » (appartenant à Open Handset Alliance, sponsorisé par Google…) et qui se fournissent en applications depuis le magasin officiel de Google, le « Play Store », semblent impactés par cette « restriction » abrupte et dont les motifs n’ont pas été annoncés…
Pour contourner cette censure qui ne dit pas son nom, les utilisateurs d’appareils Android peuvent, assez « simplement », utiliser la version originale de l’application Telegram diffusée depuis le site officiel de la messagerie, qui permet toujours de consulter le canal Jeune Nation, sans perdre leurs paramètres, leurs données et leurs personnalisations, en suivant ces étapes :
- s’assurer préalablement de disposer de ses identifiants de connexion Telegram créés à la première installation (n° de téléphone, identifiant, mot de passe…),
- désinstaller l’application Telegram présente sur l’appareil,
- télécharger l’application Telegram pour Android disponible sur le site officiel à https://telegram.org/android
- et l’installer en utilisant ses identifiants de connexion.
En complément, les utilisateurs ayant effectué les étapes précédentes peuvent maintenir à jour cette version en installant les « update » disponibles régulièrement sur le canal officiel « Telegram APKs for Android » (https://t.me/TandroidAPK).
Cette censure ne nous surprend pas, ne nous étonne pas et n’entame bien évidemment en rien notre détermination. Depuis plusieurs mois, après son arrestation, sa mise en examen et son placement sous contrôle judiciaire, Pavel Durov, fondateur de Telegram, était sous la pression et les menaces de la France et autres pays du bloc occidental pour prendre le contrôle de sa messagerie populaire et qui s’était imposée jusque là comme un des dernier abris en date pour la liberté d’expression et d’information des dissidents.
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En avant la victoire !