À Toulouse, la semaine s’est achevée avec l’annonce d’un règlement de comptes qui a fait un blessé, actuellement hospitalisé dans un état critique. Les faits sont survenus dans le quartier envahi de La Reynerie. La « victime », un homme de 35 ans, a été touchée de plusieurs balles de gros calibre. Vendredi, la ville avait été le théâtre d’un affrontement sanglant entre gangs de gitans – qui se disputaient un accès, évidemment illégal, mais toléré par les autorités complices, à l’EDF –, qui avait fait un mort et au moins trois blessés graves. Plus tôt, un braqueur avait été tué par la police alors qu’il commettait un braquage à main armée contre une épicerie.
À Lille, une fusillade, qui s’est déroulée en plein jour sur le parking d’un supermarché, a fait un mort. Il s’agissait du quatrième règlement de comptes dans la ville en deux semaines.
« Une série noire qui renvoie l’image d’une ville en coupe réglée, où échanges de tirs, règlements de comptes et guerres de territoires n’épargnent plus aucun quartier. […] une ville sous tension, où des gens sont abattus en plein jour, en pleine rue, où les quartiers sont placés sous la coupe de nouveaux maîtres, où les armes semblent si répandues qu’on se demande si elles n’ont pas été mises en vente en libre-service »
note la presse locale, pourtant peu critique face aux politiques libérales qui coordonnent l’invasion de la France et la destruction de la communauté française.
« L’économie parallèle tient le pavé. Les guetteurs contrôlent les deux entrées de la rue Mirabeau. Des riverains de la rue Louis-Blanc décrivent les grosses cylindrées au hayon couvert de pétoires, les nervis qui viennent vous menacer sur le pas de votre porte. À Wazemmes, les commerçants de la rue Jules-Guesde manifestent, réclamant des policiers, des caméras, n’importe quoi pour desserrer l’étau des bandes. À Saint-Maurice-Pellevoisin, les camés se succèdent à la cité Saint-Maurice comme ils le feraient dans une épicerie. Aux sorties de métro, les petits détaillants écoulent tranquillement leur marchandise. […] La situation n’a jamais semblé pire. »
Du côté des autorités municipales de gauche, le négationnisme règne :
« Cela suscite l’inquiétude, c’est normal, mais il ne faut pas tomber dans la psychose. Au vu de mes informations, je ne vois pas de lien entre cette affaire et les autres. Les modes opératoires sont différents. Cela ressemble à un acte isolé [sic] »
ose prétendre l’adjoint au maire de Lille délégué à la sécurité Franck Hanoh.
À peine nommé, début octobre, il annonçait la couleur :
« Je suis cool, mais très exigeant »
déclarait-il ajoutant, pour être sûr que les mafias criminelles comprennent à qui elles avaient affaire :
« J’aime les calembours et les jeux de mots à deux balles, ça détend l’atmosphère. »
Pendant que les « socialistes » continuent à nier l’invasion, la criminalité, les ravages de la drogue, les crimes en tout genre se multiplient, plongeant la France dans une situation jamais vue.
Et parmi tous ces cas, tous ces crimes, combien sont imputables directement à l’invasion ? La question ne se pose évidemment pas à Marseille : la victime d’un énième règlement de comptes jeudi s’appelait Nasser…