L’information ne fera pas la une des médiats. Un Blanc, David Ruenzel, a été massacré par deux criminels noirs dans un parc d’Oakland en Californie. Il ne s’agit pas d’une rare histoire de policier blanc défendant sa vie, la propriété de ses concitoyens ou la société en abattant un criminel, mais de la mort banale d’un Blanc parti se promener et ayant croisé la route de deux criminels africains.
Si aucun policier blanc ne se lève le matin en se disant « aujourd’hui je vais tuer un Noir innocent », ces deux criminels s’étaient réveillés ce jour-là avec l’objectif d’agresser un citoyen blanc et, en cas de problème, de l’éliminer.
Ce crime raciste, commis contre David Ruenzel, pourrait n’avoir été que l’un des innombrables crimes racistes commis chaque jour aux États-Unis par des Noirs contre des Blancs. Mais il se trouve que David Ruenzel était un raciste antiblanc activiste. Sa mort a été ainsi pleurée, entre autres, par le groupe de haine Southern Poverty Law Center (SPLC), dirigé le Juif J. Rochard Cohen.
Il avait rédigé, pour divers groupes financés par l’État fédéral américain, plusieurs textes racistes antiblancs. Particulièrement, il s’y appropriait le concept du « White Privilege » selon lequel les Blancs bénéficient toujours, en tout lieu et en toute circonstance, d’une situation privilégiée par rapport aux « minorités ».
Ce concept n’a aucune validité scientifique : il a été inventé et développé par deux idéologues marxistes, dont le Juif Noel Ignatiev. Il ne s’intéresse en réalité pas aux « minorités » : il n’examine jamais le sort d’une minorité et de sa surreprésentation dans les métiers les plus rémunérés aux États-Unis comme la finance et le cinéma ; il ne se préoccupe pas de la surreprésentation des Asiatiques dans le secteur des nouvelles technologies : il ne vise qu’à justifier les crimes commis par des Noirs contre des Blancs, et la propagande juive permanente contre les Européens.
Après avoir vécu des années dans son univers fantasmé d’une Amérique où les Blancs racistes tuent chaque minute d’innocents noirs antiracistes, David Ruenzel a été brutalement ramené à la réalité. Le 25 novembre deux Africains l’ont attaqué, sans doute pour le voler, avant de l’abattre de plusieurs balles. Ils l’ont abandonné, agonisant. Très grièvement blessé, il est resté plusieurs minutes au sol avant qu’un homme ne le découvre, expirant. À leur arrivée, les secours n’ont pu que constater sa mort.
Des policiers blancs ont promis 10 000 dollars de récompense pour toute personne qui permettra d’arrêter les deux criminels noirs. Espérons que les émules de David Ruenzel se lèvent rapidement pour dénoncer cette odieuse prime raciste, pour la mort d’un individu qui, finalement, n’a fait que payer pour son « privilège de Blanc ».