C’est très symboliquement un dimanche, traditionnellement en Europe un jour de repos et de retrait des affaires publiques que le ministre de l’Intérieur de leur gouvernement d’occupation a annoncé vouloir « faire de la lutte contre l’antisémitisme une cause nationale ». Ce qui à l’air d’une annonce n’est qu’un rappel. Il y a bien longtemps que ceux qui sont « l’avant-garde de la République », pour Manuel Valls, font l’objet de mesures extralégales et de discriminations positives insupportables. Chaque école juive installée en France fait ainsi l’objet quotidien d’une surveillance des services de police : les petits écoliers juifs sont surprotégés pendant que les petits Français peuvent subir agressions, viols, racket ou être la proie des trafiquants de drogues.
En France, chaque année, il y a plus de 10 000 viols et tentatives de viols. Parmi eux, une part importante est commise par des étrangers contre des Blanches, lors d’actes inspirés uniquement par la haine raciste antiblanche. Quasiment aucun de ces crimes n’est évoqué dans les médiats. En mars dernier une jeune Blanche était violée et torturée par un gang de criminels étrangers. L’affaire n’avait fait l’objet que de quelques lignes dans quelques journaux. Les criminels avaient pourtant clairement exprimés leur haine des Blancs. À cette époque, Bernard Cazeneuve, comme Manuel Valls, comme François Hollande s’était tu, avec la lâcheté qui les caractérise.
Mais après le viol présumé dont aurait été victime une femme à Créteil, toute la presse, tous les politiciens se sont immédiatement emparés de l’affaire, multipliant articles, entretiens, interventions.
Jusqu’à ce que ce fait divers mettant en cause des étrangers attaquant d’autres étrangers devienne le moteur de l’action politique. Ce dimanche, à l’occasion d’un rassemblement à Créteil – il a réuni plusieurs centaines de personnes, dont de nombreux journalistes et politiciens, alors qu’après l’ignoble crime d’Évry, pas un seul d’entre eux ne s’était déplacé – Bernard Cazeneuve est intervenu. Lui qui méprise les Français, lui que la mort de dizaines de Blancs laisse indifférent a multiplié les marques de déférence pour Israël :
« Derrière ce crime […] antisémite il y a un mal qui ronge la République et que nous devons combattre ensemble à tout prix. Nous ne devons pas nous voiler la face : les actes et les menaces [sic] ont bien augmenté en France de plus de 90 % [sic] au cours des derniers mois de l’année. Nous devons faire de la lutte contre le racisme et l’antisémitisme une grande cause nationale en y associant toutes les administrations intéressées. […] La République vous défendra de toutes ses forces parce que, sans vous, elle ne serait plus la République. La République vous protégera toujours contre des actes et des paroles qui portent atteinte au socle même des valeurs qui la fondent. »
a-t-il dit à ses maîtres, prenant la parole devant notamment le drapeau… d’Israël.
Le groupe terroriste juif Ligue de défense juive (LDJ) agitait leurs drapeaux devant Bernard Cazeneuve. Toutes les forces antifrançaises étaient réunies ce jour, de Roger Cukierman du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIJF) à Marek Halter.
Pour leur République, il n’y a pas un problème de criminalité à résoudre : il y a priorité à rendre encore plus invulnérable des gens se revendiquant comme Juifs. Pour leur République, les communautés n’existent pas et elle ne les reconnaît pas. Sauf quand il s’agit de dénoncer les Blancs et de les accabler de tous les maux et de faire de certains autres des surcitoyens.
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