Communiqué d’Yvan Benedetti en réaction à la décision du Conseil d’État.
Nous ferons plier le Système
Sans surprise, car présidé par Jean-Marc Sauvé qui fut il y a plus de vingt ans l’artisan de l’interdiction du journal de l’Œuvre française, le Conseil d’État confirme l’interdiction du mouvement que je préside. Cette institution, considérée comme la plus haute juridiction, conforte son rôle de simple chambre d’enregistrement des actes de forfaiture du gouvernement. Profitant d’un fait divers tragique, l’affaire Méric (à laquelle l’Œuvre française est totalement étrangère), le nouveau converti au judaïsme politique, Manuel Valls, a profité de ses fonctions de ministre de l’Intérieur pour mener un combat personnel qu’il place dans la continuation de l’action de Léon Blum, du Front populaire, de la dissolution des ligues en 36, et de la guerre d’Espagne. Même s’il a revendiqué son acte, lors de son discours d’ouverture de l’Université d’été du PS à La Rochelle en 2013, qualifiant l’Œuvre française de « matrice de l’extrême droite depuis 30 ans », Valls reste le petit commis des puissants qui mènent ce monde ; car le véritable donneur d’ordre est le président du Congrès juif mondial, Ronald Lauder, qui le 6 février 2013 a exigé d’Hollande lors de sa remise de la Légion d’honneur à l’Élysée, la destruction de l’Œuvre française, seul mouvement politique en France à s’opposer au projet juif de domination mondiale. À Sauvé le complice ; Valls l’exécutant ; l’insignifiant et soumis Hollande, le signataire des décrets de dissolution ; à Lauder le donneur d’ordres, nous rajoutons sur la liste de ceux que nous tenons pour responsables de cet acte inqualifiable, le préfet de Lyon Carenco qui dans ses courtes périodes de lucidité mène une guerre sans relâche aux nationalistes ; et madame Leglise, que d’aucuns ont surnommée madame Synagogue, qui, en tant que directrice du Bureau dit des Libertés publiques au ministère de l’Intérieur, a mené avec zèle et assiduité l’instruction du procès en sorcellerie aboutissant à l’interdiction de l’Œuvre française. En allant jusqu’à se présenter en personne devant le Conseil d’État lorsque fut examiné le référé en urgence contestant l’interdiction, elle a bien mérité sa Légion d’honneur.
Cette interdiction nous conforte dans notre action. À moins de nous dissoudre dans l’acide, cette dictature socialiste nous trouvera toujours sur sa route. Ce n’est pas à un gouvernement qui n’a que trois ans de pénible existence d’interdire l’un des mouvements les plus anciens dans le champ politique, qui incarne la légitimité française, la France historique. Politiquement, l’Œuvre française a l’âge de la France ; comme la France elle ne peut pas disparaître, j’en suis, en tant que Président envers et contre tout, le garant. Chaque jour le système oligarchique s’affaiblit, chaque jour les nationalistes se renforcent. L’heure de la délivrance avance à grands pas. Avec le peuple, pour la Nation, nous continuons. Nous ferons plier le système ! Non pour nous, non pour les nationalistes, mais pour la France et ses enfants.
Dissolution ? Non !
En avant la victoire ! Maîtres chez nous !
Qui vive ? France ! Qui vive ? Œuvre française !
Ce serait bien que votre organisation ouvre les yeux et comprenne que les juifs ne sont plus l’ennemi mais que l’islamisation de la France est bien plus dangereuse que vos fantômes sionistes du passé. Réveillez vous et regardez vers l’avenir.
Si le lobby juif n’était pas un ennemi, ce n’est pas sur ordre d’un groupe juif que les mouvements nationalistes ont été dissous. Mais visiblement peu vous importe qu’un peuple nous pille depuis 70 ans et nous impose sa loi… Contrairement à vous, nous combattons TOUS les ennemis de la France – et comme nous ne sommes pas avares, nous le faisons aussi contre les traîtres et les lâches – et nous voulons, simplement, la France aux Français.
L’islamisation est le fruit de l’immigration imposée par les juifs, ceux-ci se fondant parfaitement dans une société multiethnique en se faisant passer pour des Blancs.
L’Oeuvre Française est nécessaire à la survie de la France, parce que les institutions de la République travaillent à détruire la France. Nous ne rendrons jamais un trop grand hommage à Yvan Benedetti; sans lui les jeunes générations nauraient pas de repères.