Depuis plusieurs années, les gouvernements, qu’ils soient UMP ou PS, ont soutenu et promu de nombreuses « œuvres » de non-art contemporain anticatholique, tout particulièrement le ‘Piss Christ’ qui a été exposé en de multiples occasions, malgré les protestations. Mais alors que la « liberté d’expression » est censée être devenue le nouveau pilier de leur République, toute atteinte à l’islam devient, comme les critiques contre Israël ou la prétendue “Shoah”, interdite, par la répression légale ou simplement l’autocensure. Une « œuvre » vient ainsi d’être retirée sous la pression des islamistes à Clichy-la-Garenne.
Réalisé par l’Algérienne Zoulikha Bouabdellah, « Silence » représente des paires d’escarpins posées sur des tapis de prière musulmans. Rien de très grave donc, même aux yeux d’un islamiste, au regard de la profanation et de l’attaque représentée par le ‘Piss Christ’ contre les catholiques.
L’« œuvre » devait être présentée à Clichy-la-Garenne dans le cadre d’une exposition intitulée « Femina ou la réappropriation des modèles », après avoir été montrée dans de nombreux musée contemporain et autres lieux décadents à Berlin, Madrid, New York ou Paris.
Mais avant même l’inauguration de l’exposition, les islamistes ont lancé des menaces contre l’artiste et l’exposition, notamment relayées par la Fédération des associations musulmanes de Clichy. Les organisateurs viennent d’annoncer qu’ils retiraient l’« œuvre » par crainte « d’incidents irresponsables non maîtrisables » (sic).
« Je m’interroge sur les raisons qui poussent une certaine frange de Français [sic] de confession musulmane à voir dans cette installation une œuvre blasphématoire »
a déclaré Zoulikha Bouabdellah excusant les islamistes en mettant les menaces « sur le compte de l’émotion liée » aux… attentats islamistes de janvier !
Elle a déjà remplacé son « œuvre » par une autre provocation insultante. Mais cette fois, les autorités l’accepteront puisque c’est la France et ses symboles qui sont attaqués. La nouvelle « œuvre » en effet est une vidéo représentant une islamiste effectuant la « danse du ventre » au son de… l’hymne de leur République.
« Les valeurs de la République en France moi j’y crois »
(Zoulikha Bouabdellah)