S’il avait choisi comme cible un cimetière catholique, il aurait pu poursuivre tranquillement sa petite vie d’antifa. Personne ne lui aurait jamais demandé de comptes. Jamais un seul gendarme n’aurait enquêté plus de cinq minutes sur l’affaire. Jamais un seul médiat national n’aurait effectué le moindre reportage. Jamais un député, encore moins un ministre et encore moins un président ne seraient intervenus à la télévision pour dénoncer solennellement un acte antisémite qui touche le cœur de la France.
Mais le jeune Pierre a choisi un cimetière qui, pour être abandonné, n’en était pas moins juif, ce terme symbolisant l’avant-garde de la République, l’intouchabilité absolue. Et avec ses amis, ils se sont « amusés » à détruire quelques tombes abandonnées.
C’est lui qui avait lancé l’idée d’une expédition avec un message sur Facebook :
« Bon les gens, je compte organiser dans pas longtemps un petit groupe afin d’aller explorer quelques endroits abandonnés (maisons, manoirs, château, gares, etc.). Qui serait partant ? Faites aussi parvenir quelques-unes de vos idées, si vous en avez. »
Le procureur de Saverne, petit agent ordinaire de la haine antifrançaise, est bien le seul à voir une attaque « antisémite » dans ce geste idiot. Et Le Monde de ce jour le prouve :
« Pierre B. avait étrangement un ennemi déclaré : « le fascisme ». Il portait des slogans antifascistes sur ses vêtements.
“On ne parlait pas politique mais si on évoquait le Front national, il se mettait sur ses deux pattes arrière et se mettait à grogner”, raconte Gaëtan. “Il prétendait se battre contre le fascisme et était très remonté contre la police. Il traitait les policiers et les militaires de fascistes, avec une hargne qui me mettait mal à l’aise.”
Pendant ce temps-là, BFMTV continue à répandre le négationnisme anticatholique. Les tombes des chrétiens en France sont simplement niées, elles n’existent pas pour la chaîne d’Alain Weill et de Ruth Elkrieff.