Alors que la loi sur le renseignement est examinée à partir de ce lundi par les députés, le journal de l’oligarchie Libération a réalisé un entretien avec Bernard Cazeneuve.
« La bataille contre le terrorisme ne se gagne pas dans l’approximation juridique ni au détriment des libertés. […] Parler de surveillance généralisée est un mensonge »,
y déclare le ministre de l’Intérieur, alors que de nombreux acteurs venus d’horizons très divers ont dénoncé les nouvelles mesures liberticides contenues par le projet de loi du PS. Le texte prévoit des pouvoirs très étendus aux services de renseignements, notamment concernant la surveillance et la collecte de renseignement sur internet, en partie hors du contrôle des juges.
« Les mesures proposées ne visent nullement à instaurer une surveillance de masse. Elles cherchent au contraire à cibler les personnes qu’il faut suivre pour mieux protéger les Français »,
a ajouté Bernard Cazeneuve, sans préciser que ces « cibles » étaient aussi nombreuses que ceux que le gouvernement d’occupation considère comme des dangers ou des menaces. Cela concerne les terroristes islamistes, dont l’irruption et la montée en puissance sont totalement imputables au même gouvernement, mais aussi et peut-être surtout les mouvements nationalistes et patriotes qui ont subi depuis quelques années une violente répression qui s’accentue ces derniers mois ; Jeune nation en a été l’une des cibles privilégiées.
« Ces organisations [considérées comme terroristes ou criminelles par le gouvernement d’occupation] seraient-elles moins dangereuses que les dispositions que nous prenons ? »,
a-t-il simplement justifié.
S’il a nié le tournant sécuritaire de leur République chaque jour plus totalitaire, il a annoncé également le recrutement de 1 500 personnes dans le renseignement1, alors que les solutions pour débarrasser la France du danger islamiste sont connues et promues depuis longtemps par les nationalistes. Elles commencent par la destruction du régime qui a permis et favorisé l’implantation et la maximalisation des étrangers auxquels la République a insufflé la haine de la France et des Français.
1Le Journal du Dimanche, a d’ailleurs révélé que le nombre de postulants à la Direction générale de la Sécurité extérieure (DGSE) avait triplé depuis les attaques d’immigrés contre la rédaction du torchon immigrationniste Charlie hebdo en janvier.