Les agressions de policiers se multiplient ces derniers jours en France. Les journaux de Jeune nation ces derniers jours s’en sont fait l’écho. Depuis, de nouveaux faits ont été portés à la connaissance de la population.
À Toulouse, une patrouille de la brigade anti-criminalité (BAC) a été la cible d’une attaque dans le quartier envahi du Mirail alors que les fonctionnaires tentaient de contrôler un délinquant. Une trentaine de racailles ont insulté puis caillassé les policiers avant de les attaquer. Deux d’entre eux ont été blessés et leur voiture a été détériorée ; ils ont été obligés d’utiliser leur lanceur de balles de défense (LBD) pour se dégager.
Le nombre d’arrestations s’est élevé à… zéro.
À Aubervilliers, deux policiers ont été attaqués lors d’un contrôle près d’un immeuble. Les deux îlotiers de la brigade spéciale de quartier (BSQ) intervenaient pour une occupation illégale d’un hall d’immeuble, vraisemblablement par des racailles étrangères se livrant au trafic de drogues. Les occupants n’ont pas apprécié la venue des policiers et attaqué une policière puis son collègue. Il y a eu une interpellation.
À Franconville, deux policiers ont été blessés dans le quartier envahi de la Fontaine-Bertin après avoir été appelés pour des dégradations commises par de nombreuses racailles. Ces dernières ont immédiatement sollicité des renforts et les policiers se sont retrouvés bien moins nombreux que l’occupant. Insultés puis caillassés, les policiers ont été contraints à utiliser leur LBD pour se défendre.
Les attaques commises par les occupants ne se limitent pas aux policiers. À Behren-lès-Forbach, ce sont des gendarmes qui ont été pris à partie. Une patrouille a été caillassée dans la cité envahie et la vitre d’un véhicule a explosé. Il n’y a eu aucune interpellation, mais « la gendarmerie a déposé plainte [auprès de la police ?] pour destruction de matériel »…
Après les agressions de policiers, il y a – parfois, quand les criminels sont arrêtés – la « réponse pénale ». Si Bernard Cazeneuve s’assure que les policiers attaquent les nationalistes et laissent les criminels agir, Christiane Taubira s’occupe elle de faire relâcher les rares agresseurs de policiers arrêtés.
En Auvergne, un criminel de 18 ans qui avait violemment attaqué un policier de la BAC – qui avait obtenu dix jours d’ITT – a été jugé à Clermont-Ferrand. Il a été « condamné » à 210 heures de travaux d’intérêt général, sans un seul jour de prison ferme.
Ces faits divers, tous rapportés par la presse locale, ont un point commun : à aucun moment les médiats n’ont précisé la couleur de peau des policiers attaqués et blessés. À aucun moment ces médiats du système n’ont précisé non plus la race étrangère des agresseurs. Ce sont pourtant les mêmes médiats qui, couvrant des faits divers banals aux États-Unis – des criminels abattus logiquement par les forces de l’ordre ou, parfois de regrettables bavures –, ont tenu ces derniers mois à indiquer systématiquement la couleur de peau des policiers – choisissant soigneusement leurs histoires pour qu’il ne s’agisse que de Blancs – comme celle des prétendues « victimes » – invariablement des Noirs, généralement des criminels et délinquants, éléments également censurés. Dans leur volonté de raciser les faits, les médiats sont même jusqu’à mentir, comme à Baltimore, prétendant qu’il s’agissait de policiers blancs contre une victime noire, alors que la moitié des policiers impliqués étaient tout aussi noirs que leur « victime ».
S’interroger sur la raison qui pousse les médiats à insister sur une partie d’information aux États-Unis et à l’occulter totalement et invariablement quand il s’agit de la France, c’est constater que les médiats du système, du Parisien au Figaro, de L’Humanité à L’Express, sont totalement corrompu par le marxisme culturel et que le racisme antiblanc, la haine de leur propre peuple – la majorité de ces journalistes reste blanc, malgré une forte noirisation ces dernières années et une forte prégnance juive – leur est devenue tellement habituelle qu’ils mentent, sélectionnent, tronquent et travestissent l’information par réflexe. C’est l’avantage et l’inconvénient des réflexes : une fois acquis, il est très difficile de les supplanter. Il en va de même lors des renversements de régimes corrompus avec les justes punitions infligées aux traîtres.