Interdictions de stade… mondiales pour cinq Anglais jugés un peu trop taquins
Certains d’entre nous se souviennent de la blague de potache de cinq supporteurs anglais du club londonien de Chelsea d’il y a quelques mois. Ces joyeux drilles, en goguette à Paris pour soutenir leur équipe, face au PSG des Qataris, avaient refusé de voyager autrement qu’entre eux, dans un wagon du métro parisien.
Mais, manque de chance pour eux, alors que d’autres voyageurs attendaient la rame suivante, c’est un Africain, Souleymane S., qui avait tenté de monter en leur compagnie, se voyant refuser l’accès à une promiscuité souhaitable pour personne.
Ce qui devait arriver en Europe occupée arriva donc.
Tout d’abord, la caisse de résonnance médiatique se mit en branle, The Guardian publiant la vidéo de dénonciation publique.
Puis les politiciens s’agitèrent, forcément !
Enfin, les clubs, tous les deux sous possession étrangère, se fendirent de communiqués, rivalisant dans le concours de la repentance politiquement la plus conformiste.
Donc, alors que des milliers de jeunes filles et de jeunes femmes anglaises sont asservies en esclavage par des gangs criminels étrangers, on met des années avant de se résoudre à poursuivre les mafieux allogènes… par peur de passer pour des « racistes », dans un processus hallucinant d’inversion… auto-accusatoire, alors que ces milliers d’Anglaises ont été victimes du racisme anti-blanc le plus primaire et bestial !
Mais il suffit qu’un Africain plus impatient que la moyenne des habitants de Paris se plaigne que les soirs de matches, il faille parfois attendre quelques minutes avant de voyager, pour que les gais lurons à qui il s’oppose soient poursuivis par la justice anti-anglaise de Grande-Bretagne et condamnés à plusieurs années d’interdiction d’assister à des matches dans le monde entier (!) à cause de
« la haine raciale exprimée ce soir-là »
et parce que ça aurait alors
« terni [sic] la réputation du football britannique en Europe ».
À l’instar de leur République, ces clubs finissent par dévorer même leurs plus fidèles soutiens
Alors qu’ils dépensent beaucoup de temps et d’argent pour défendre ce qu’ils estiment être une partie de leurs couleurs, un de ces Anglais a été renvoyé de son travail à cause de cette rigolade de quelques secondes ! Et un autre a été condamné, alors que cet ancien policier anglais est le directeur d’une organisation non gouvernementale (ONG) travaillant… en Afrique (!)… ce qui aurait dû le disculper de toute accusation de « haine » à l’égard des Africains !
Cependant, leur club, au lieu de faire valoir l’extravagance des réactions du Système et des condamnations visant les stades alors que ce qui est reproché s’est passé dans un moyen de transport, a préféré en rajouter ! Ainsi a-t-il été décidé d’exclure à vie (!), du stade où réside l’équipe de Chelsea, les cinq Anglais insoumis.
« Chelsea FC est fier de sa diversité à tous les étages du club, que ce soit celle du propriétaire, de notre équipe multiculturelle, de l’encadrement, du personnel et des supporters. »
Voilà une déclaration qui devrait, en toute logique, faire enfin réfléchir à deux fois ceux qui croient défendre une part de leur identité à travers les exhibitions footballistiques modernes !
Une diversité… d’occupants et de colons affairistes
Et il faut dire qu’en terme de diversité, le club de Chelsea d’aujourd’hui s’y connaît drôlement, depuis qu’il a été racheté par l’oligarque Roman Abramovich. Certes, il est lui-même à la fois russe et juif, comme le sous-entend le communiqué du club qu’il possède. Mais surtout, il est spécialisé dans la diversité de l’affairisme politico-financier et boursicoteur qui lui a permis de s’enrichir financièrement dans des proportions indécentes lors des privatisations post-soviétiques du clan de l’alcoolique frénétique et corrompu Boris Eltsine.
Ledit Abramovich, fit alors équipe avec nombre de ses coreligionnaires en Russie, dont certains passèrent même des mois en prison malgré leurs soutiens politiques, pour mieux piller les ressources naturelles à des fins personnelles.
Tous ces milliards détournés au détriment du peuple russe seraient bien utiles aujourd’hui pour rénover, par exemple, ses voies ferrées.
Mais il en va autrement dans leurs démocraties. En effet, lorsqu’elles s’autoproclament populaires, elles repoussent le remboursement de leurs emprunts sine die. Et lorsqu’elles se libéralisent, c’est pour que les affairistes pillent tout et aillent s’offrir un club de football multi-ethnique que quelques-uns ont encore la faiblesse de soutenir à l’autre bout de l’Europe.
Quant au Paris-Saint-Germain, après une fusion et un putsch communautariste interne pour profiter des retombées financières de la montée en première division, il fut la propriété de l’avant-gardiste Daniel Hechter. Rapidement embêté par des poursuites pour fraude fiscale car un système de double billetterie avait été mis en place pour ne déclarer que la moitié du chiffre d’affaires… il fut remplacé par son coreligionnaire Francis Borelli, puis le club fut vendu à Canal +, Colony capital et enfin à la Qatar Investment Authority… cherchez les Français !
Et ce sont ces affairistes étrangers-là qui prétendent venir nous imposer comment on doit vivre chez nous !