Leur joueur de l’équipe à maillot bleu dite « de France », Earvin Ngapeth, qui a victorieusement participé à un tournoi international récent, a demandé à un contrôleur de la SNCF de retarder le départ d’un TGV car un de ses amis se faisait attendre. Mais il semble que la réponse de l’employé des Chemins de fer lui aura déplu, puisqu’il l’a ensuite frappé, occasionnant un dépôt de plainte de la SNCF, mais une simple audition libre avec convocation ultérieure [ou pas] auprès de la police.
Nul doute que cette « chance pour la France » sera tout de même reçue à l’Élysée par l’occupant afin d’y être décorée et arrosée d’argent volé aux Français et dilapidé pour des allogènes qui tapent dans un ballon… et sur les Français !
Il y a quelques jours, un de leurs médiats osait même titrer
« Ngapeth le prophète »
à propos de ce rappeur qui avait déjà été exclu de la même équipe censée représenter la France, en 2010… pour mauvaise conduite.
Décidément, ces sportifs professionnels ne sont pas des exemples, mais bel et bien des bestiaux avec qui la réalité dépasse la fiction !
Depuis, l’étranger s’est fendu d’un communiqué, après s’être réfugié dans un silence coupable durant plusieurs jours. La société de communication qui s’occupe de son cas a fait commencer sa déclaration par un étrange « Je vous remercie de votre soutien ». Sans confesser la moindre faute, ni présenter la moindre excuse à ses victimes, il se présente au contraire dans ce texte lui-même comme une victime. Évoquant les protestations des Français sur les réseaux sociaux contre son geste, il les considère comme lui ayant porté « préjudice ».
L’étranger, sans doute fin connaisseur du système et informé dernièrement du viol de la loi par la préfecture des Alpes-Maritimes privatisant une plage pour satisfaire les caprices d’un tyran criminel étranger, a affirmé avoir « confiance dans la justice de son [sic] pays ». Il n’y a que les Français à devoir craindre la justice de leur République.