Vendredi soir, en France, en 2015, plusieurs dizaines de criminels gitans ont investi l’autoroute A1. Ils y ont commis diverses dégradations avant de provoquer plusieurs incendies à l’aide de palettes, de pneus, d’arbres coupés près de là. Les criminels réclamaient la libération… d’autres criminels gitans, emprisonnés, pour qu’ils participent aux funérailles d’un individu abattu par un… criminel gitan quelques jours plus tôt.
Les forces de l’ordre (?) étaient présentes, mais, sur ordre du gouvernement auquel ils se sont empressés d’obéir, ont laissé la racaille bloquer durant une quinzaine d’heures l’une des plus importantes autoroutes d’Europe. Manuel Valls, Bernard Cazeneuve et Christiane Taubira, rivalisant dans la lâcheté et le laxisme, ont très rapidement donné gain de cause aux criminels.
L’autoroute, elle, n’a pu ouvrir à nouveau que samedi soir. Il s’agissait d’une fin de semaine coïncidant avec les retours de vacances. Plusieurs centaines de milliers d’automobilistes ont été pénalisés, bloqués dans les embouteillages ou contraints d’utiliser des routes secondaires – embouteillées également – ou de prendre un itinéraire beaucoup plus long.
Le gouvernement, dont la lâcheté est seule responsable des faits, n’a évidemment ni communiqué sur l’attaque des Gitans contre l’A1, ni fournis le moindre bilan. Il s’élève à plusieurs centaines de milliers d’euros.
La Société des autoroutes du Nord et de l’Est de la France (SANEF) a procédé à une première estimation. Les étrangers ont commis pour environ 100 000 euros de dégâts sur l’autoroute ; il a fallu en effet plusieurs heures de travaux pour remettre en état la chaussée. Par ailleurs, la société estime avoir perdu 400 000 euros en ayant dû ouvrir les barrières pour laisser passer – outre les criminels qui n’ont évidemment pas payé – les milliers d’automobilistes coincés.
Cela n’est qu’une partie de la note.
L’estimation de la SANEF ne comprend que les dégâts ou le manque à gagner causé à cette société de racket autoroutier. Mais les Gitans ont également commis de nombreuses dégradations hors du cadre de l’autoroute. Ils ont détérioré gravement plusieurs routes secondaires et ronds-points, toujours par des incendies.
Elle ne comprend pas non plus le coût pour le contribuable de la mobilisation de plusieurs dizaines de gendarmes – totalement inutilement puisqu’ayant été dépêchés sur place pour regarder des criminels commettre des crimes sans réagir – et divers autres agents préfectoraux, etc.
Elle ne comprend pas le préjudice des nombreux usagers, professionnels empêchés de travailler, particuliers qui n’ont pas pu rejoindre leur lieu de travail à l’heure, qui ont dû laisser leurs enfants à leur nounou plusieurs heures de plus que prévu, ou qui ont dû jeter les courses qu’ils transportaient, etc.
Mais si le gouvernement de Manuel Valls est lâche, il est aussi veule : aucun bilan chiffré détaillé et exhaustif ne sera jamais diffusé pour rappeler que la « diversité » n’a, en France, hier comme aujourd’hui et comme demain, jamais causé que des problèmes et coûté énormément d’argent aux Français.