Il y a d’un côté les rodomontades de Bernard Cazeneuve et de Manuel Valls, les mensonges des autorités sur la « baisse de la criminalité ». De l’autre, des gangs de Gitans coupent les autoroutes, les escroqueries aux présidents, à la taxe carbone et autres, se multiplient depuis Israël, les banlieues sont livrées aux mafias étrangères. Au rythme de la décadence de leur régime, la rubrique des faits divers, autrefois occupée par des accidents de la route et des bagarres à la fin de bals, expose désormais les fusillades, les règlements de comptes mortels, les viols collectifs et autres crimes quotidiens.
Ce n’était pas encore assez. Jeudi, un jeune collégien de 12 ans a été grièvement blessé par balle à l’intérieur même d’un établissement scolaire. Les faits se sont déroulés dans la cour du collège Jean Lacaze de Grisolles, une commune à une trentaine de kilomètres au nord de Toulouse. L’élève a été blessé à la cuisse, le projectile passant tout près de l’artère fémorale.
Les faits pourtant gravissimes n’ont quasiment pas été évoqués par les médiats. Bernard Cazeneuve, désormais en campagne électorale permanente, ne s’est pas rendu sur place.
Des militaires de la gendarmerie nationale ont procédé à la fouille d’une centaine d’élèves ; plusieurs dizaines de collégiens ont été entendus, mais l’enquête n’a pas abouti jusqu’ici. Ni l’arme ni le tireur n’ont été retrouvés.
Vendredi, plusieurs dizaines d’élèves ne sont pas présentés à l’école, alors que les parents d’élèves sont particulièrement inquiets.