« Stop à l’immigration-invasion ! 200 migrants à Varennes-sur-Allier ! »
Voilà un titre qui préoccupe l’anti-justice du gouvernement d’occupation.
La justice de Christiane Taubira, qui libère les violeurs, les tueurs en série, les trafiquants de drogues, qui protège largement les réseaux pédocriminels comme ceux des trafics internationaux de drogues, a annoncé l’ouverture d’une enquête pour un… tract anti-invasion.
Des patriotes ont diffusé un texte rappelant l’odieuse transformation d’une base militaire de Varennes-sur-Allier en centre pour envahisseurs, où déjà 150 étrangers ayant violé nos frontières sont logés, au frais et contre l’avis du contribuable.
« Les propos sont clairement [sic] haineux [re-sic] »,
a prétendu un agent de Christiane Taubira, Éric Mazaud.
« Les qualifications pénales [sont] toujours très délicates à rechercher en matière de presse »,
a ajouté le magistrat liberticide, comme pour confirmer qu’il ne s’agissait pas de justice, mais d’attaque contre la liberté d’expression des Français.
« En gros [sic], “les clandestins musulmans” sont assimilés notamment à des violeurs en puissance et à des fauteurs de troubles en tout genre […] Le tract appelle globalement à une forme de “principe de précaution” et au refus d’implantation de sites à Varennes-sur-Allier »,
a déclaré l’activiste politique, se servant de sa fonction de procureur pour mener une lutte contre des Français ayant décidé d’agir pour leur pays. Il n’a pas précisé – et pour cause – en quoi le principe de précaution ne devait pas être appliqué dans ce domaine particulièrement sensible de la société et alors même que tous aujourd’hui constatent que leur République a été totalement incapable d’intégrer les millions d’étrangers qu’elle a déjà tenté d’imposer et que cette nouvelle vague ne fera qu’empirer la situation.
Le représentant du gouvernement a oublié de rappeler que les 150 clandestins imposés à la petite commune de Varennes-sur-Allier sont issus du squat organisé par les extrémistes à Paris dans un lycée il y a quelques semaines et où de nombreux cas d’agressions, de prostitution forcée et de maladies avaient été constatés. Le « centre autogéré » imaginé par les extrémistes s’était transformé en enfer. « Le squat de la peur », « la loi du plus fort » titrait alors la presse. « Problèmes d’hygiène, de violence, pratiques mafieuses » notait le journal Libération. Éric Mazaud aura-t-il le courage de s’attaquer au journal d’extrême gauche ayant révélé ce que représentent ces « migrants » et pour avoir montré que le principe de précaution était surtout le principe de réalité ?
Pendant que les trafiquants de drogues diffusent chaque jour des tonnes de leurs produits de mort dans le pays, quand les corrompus pullulent dans les assemblées, le procureur Éric Mazaud n’a rien trouvé de plus urgent que de lancer les gendarmes du secteur à la chasse aux patriotes ayant osé diffuser quelques tracts, un dimanche, à quelques passants et commerçants.