Si les gouvernements républicains et les intellectuels juifs sont directement responsables des crimes commis par les occupants, le grand patronat, comme facilitateur de l’invasion et promoteur des politiques racistes antiblanches, porte une lourde responsabilité.
Et malgré les massacres de ces derniers jours, Louis Gallois, président du directoire de PSA et cadre du cercle mondialiste La fabrique de l’industrie1 (sic), réclame plus de « diversité », c’est-à-dire concrètement l’accélération des politiques de discrimination contre les Blancs.
Comme si les attentats commis par les étrangers en France étaient la conséquence d’un manque de stage (sic), il a déclaré :
« La formation est une voie très importante. Nous nous apercevons que les jeunes qui effectuent un apprentissage ont de très grandes chances de trouver un travail. Les entreprises en sont ensuite contentes parce qu’elles trouvent des jeunes qui ont déjà une connaissance de la vie en entreprise. Cela rapproche l’offre de la demande. […] Des jeunes qui n’ont aucun réseau rencontrent beaucoup plus de difficulté à trouver des stages. Surtout, en région parisienne. Ils ne savent pas à quelles entreprises s’adresser. Comme leur désarroi naît de la difficulté à rentrer en contact avec les entreprises pour trouver un stage, si l’on parvient à surmonter cet obstacle, c’est au moins une source de frustration qui disparaîtra. Il faut être très vigilants à ce que ces stages soient ouverts à la diversité »,
a-t-il affirmé, avant de proposer un nouvel organisme bureaucratique centralisé pour imposer les mesures dictatoriales.
« [Les entreprises] ont la responsabilité de proposer des stages et des postes d’apprentissage. Ce sont des jeunes de toutes origines, qui en veulent, qui souhaitent travailler et trouver des stages. L’énergie qu’ils consacrent à la recherche de stages, le degré de frustration que cela créé chez eux, est un véritable sujet vis-à-vis de l’apprentissage […] Je préconise aussi qu’une structure centralise les propositions de stage afin que les jeunes entrent en contact avec des entreprises »,
a ajouté l’activiste antifrançais visiblement indifférent à la « frustration » des jeunes Français triplement victimes de l’invasion, par la cohabitation avec les occupants, par la préférence antinationale, et par les crimes de l’invasion.
Au passage, l’immigrationniste se fait le promoteur des « stages », moyen utile au patronat pour disposer d’une main-d’œuvre docile et bon marché.
1L’énarque ose parler d’industrie alors qu’il n’a dû ses postes qu’à ses amitiés, et qu’il a avoué être arrivé à la direction de la SNCF « par hasard » (sic). L’énarque n’a jamais dirigé que des entreprises nationalisées. La Fabrique est issue de l’UIMM, syndicat du grand patronat pris en flagrant délit de corruption avec les révélations d’une caisse noire de plusieurs centaines de millions d’euros, notamment pour corrompre les syndicats « ouvriers », et des détournements d’au moins 16 millions.
S’il nie être franc-maçon, Louis Gallois, ancien membre du cabinet de Jean-Pierre Chevènement, est membre du Siècle ; il est connu pour sa proximité avec la gauche la plus immigrationniste.