Pendant que l’Association des maires de France (AMF) et les groupes maçonniques mènent la guerre contre la crèche de Noël, devenu en quelques siècles l’un des marqueurs identitaires de la France, l’islamisation et la judaïsation se poursuivent sans réaction.
Il a fallu une année parsemée de quatre attentats meurtriers ayant fait plus de 150 morts pour que des représentants syndicaux confessent que la mairie de Paris est fortement touchée par les pratiques extrémistes étrangères. Les signes sont multiples, depuis les femmes venant soudainement voilées et refusant de le retirer sur leur lieu de travail, aux hommes refusant de serrer la main de leurs supérieurs en avançant des raisons religieuses, l’exigence d’obtenir des jours de congé pour les fêtes juives et musulmanes et les refus de travailler le samedi pour cause de ‘shabbat’, jusqu’à la création de mosquées clandestines au sein des bâtiments publics.
C’est le cas au Petit Palais, où un lieu de culte islamiste clandestin a été découvert dans un local technique. À un tel niveau de contamination en Europe, il n’est pas étonnant qu’un individu comme Salah Abdeslam parvienne à échapper à tous les services de police.
Les Parisiens payent les décennies de pratiques d’embauche communautaristes des différents maires, à commencer par Jacques Chirac qui en fut le champion, jusqu’à faire de la mairie de Paris le premier employeur des populations des DOM-TOM. Les politiques ont conduit parallèlement à l’embauche de très nombreux musulmans qui se comptent par milliers parmi les 52 000 fonctionnaires territoriaux.
Ces problèmes de revendications islamistes individuelles et collectives, comme juifistes, ne sont pas isolés. Un « Observatoire de la laïcité » créé au sein de la mairie a été ainsi mis au courant d’incidents au sein des départements de la Propreté et de l’environnement, des Espaces verts, de la Protection de la Prévention, de la Jeunesse et des Sports et des Musées de la ville, c’est-à-dire dans les principaux services.
Pourtant, même dans le cas de la création d’une mosquée clandestine, il n’y a pas eu de licenciement. Seule une femme a été limogée, notamment parce qu’elle refusait d’enlever son voile islamique.
Pour toute réaction, un adjoint a évoqué des comportements « inacceptables » (sic) et la mairie a annoncé la parution d’un « manuel » détaillant les réactions à avoir face aux pratiques religieuses au sein de la mairie.