L’affaire Benoît Le Corre
À la fin du mois de juillet, Grégory Chelli, alias Ulcan, alias ViolVocal, lançait une opération de véritable cyberterrorisme contre Rue89 et particulièrement contre le journaliste Benoît Le Corre. Piratages, harcèlement téléphonique, attaques continues du site, usurpation d’identité : le criminel juif ne recule devant aucune méthode, les revendiquant au contraire fièrement depuis son refuge présumé dans l’entité sioniste. Ce membre de la Ligue de défense juive (LDJ), parmi de très nombreuses affaires où il est impliqué, a été condamné en 2006 et 2009 pour violence en réunion et dégradation ou détérioration du bien d’autrui.
Cinq plaintes ont été déposées par Rue89 suite à ces attaques. Dans un entretien à Libération, Grégory Chelli déclarait : « il n’y a pas mort d’homme », mais ses attaques ont eu une conséquence tragique.
Benoît Le Corre avait en effet jusqu’ici préféré cacher que, cinq jours après une attaque de la racaille israélienne contre famille, son père a eu un très grave infarctus. Il est aujourd’hui hospitalisé dans un état critique et placé en coma artificiel. Dans un premier temps, le terroriste avait fait croire aux parents, en usurpant l’identité d’un policier, parvenant à utiliser le numéro de téléphone de leur fils, que ce dernier était mort après une agression.
« Madame Le Corre, c’est la police, la 1re DPJ (Département de la police judiciaire). Concernant votre fils Benoît, il a eu un accident. Il est décédé, il a été agressé suite à un article il y a quinze minutes. J’appelle avec son téléphone. Il a reçu une lame au niveau de l’intestin. Vous lui connaissiez des ennemis ? Je suis Daniel El Rojo, vous pouvez appeler à la DPJ, poste 47. C’est pas moi qui l’ai tué. Vous devez venir avant 23h30 pour voir le corps, si vous avez une adresse e-mail, je vous envoie les photos du cadavre. Il a crevé. »
déclarait l’immonde racaille durant la conversation, avant de changer de ton, les deux parties illustrant différentes perversions de ce malade :
« Vous savez ce qu’on va faire, je vais appeler vos voisins pour dire que vous êtes un pédophile, j’en ai rien à foutre, tu dis à ton fils d’enlever l’article. Je connais votre adresse. Je vais te faire une réputation de malade. Appelle ton fils de pute de fils, je vais dire à tes voisins que tu mets ton zizi dans les animaux et les enfants. Je veux que ton fils fasse de moi un superhéros dans son article, qu’il m’encense, tu peux porter plainte, je suis au-dessus des lois, j’encule la police. C’est pas la police qui te sauvera. »
Dans un second temps, il avait convaincu la police qu’un meurtre s’était déroulé chez eux et d’importantes forces de police – dont on peut s’interroger sur la naïveté – ont débarqué à 4 heures du matin dans leur propriété. Le but est évidemment de provoquer un drame, une fusillade par erreur en ayant induit les policiers en erreur, une technique utilisée par ailleurs contre l’un des fondateurs de Rue89 Pierre Haski et contre Robert Faurisson ces derniers jours.
« Vers 4 heures du matin, on a entendu la sonnette. Au début on ne voulait pas ouvrir. Puis on s’est habillés, et on est allés jusqu’à l’interphone. La personne s’est présentée comme un commandant de police. Thierry a lâché le bâton qu’il avait pris l’habitude de mettre au pied du lit depuis le début de cette histoire. Il a ouvert la porte. J’ai été frappée par le dispositif. Plusieurs policiers, avec leurs boucliers, nous mettaient en joue avec leurs armes. C’était une vraie séance de cinéma dans le quartier. Ils sont tous entrés dans la maison. On a eu beau demander plusieurs fois ce qui se passait, on ne nous a rien dit. Un à un, les policiers revenaient et disaient “RAS”. Ce qu’ils cherchaient, c’était un corps. »
a raconté la mère de Benoît Le Corre.
Attaques contre Robert Faurisson
Dans la nuit du 15 au 16 août, vers 1 h 30 du matin, une dizaine de policiers de la BAC (Brigade anti-criminalité), sont venus, surarmés, chez le célèbre historien révisionniste, à la suite d’un appel de Grégory Chelli qui le harcèle depuis trois ans. Conformément à ses méthodes, il a publié une vidéo sur Youtube avec l’enregistrement de ses appels à la police française et aux voisins de Robert Faurisson.
Jusqu’ici la police et la justice françaises n’ont rien voulu faire pour la défense du professeur. Mais avec les récents événements en Palestine et leurs répercussions en France, les choses pourraient changer, particulièrement après les graves attaques contre la famille d’un journaliste.
Le 12 août, trois jours avant ces faits, le professeur était convoqué au commissariat de Vichy sur plainte de la LICRA de Strasbourg. Il a essentiellement répondu aux quinze questions qui lui ont été posées en précisant :
« Je refuse de collaborer avec la police et la justice françaises dans la répression du révisionnisme historique ».
Le 13 août, il subissait une opération de chirurgie maxillo-faciale à cause des séquelles d’une agression perpétrée par des terroristes juifs en septembre 1989, la sixième d’une série de dix attaques, pour lesquelles la police française n’a jamais arrêté la moindre personne.
Il est à noter que Bernard Cazeneuve continue à être le protecteur du groupe terroriste juif LDJ en refusant de le dissoudre malgré l’accumulation des crimes et délits commis par cette organisation, ces membres et ses anciens membres.
Son tour viendra à ce scélérat de la Tribu des Talmudistes Psychopathes….