811 510 bébés sont nés sur le territoire français (hors Mayotte) en 2013, un chiffre en baisse continue depuis 2010, et en recul de 1,2 % en un an (-9 500). Il y a eu moins de 800 000 naissances en métropole (781 621) l’année dernière.
Le taux de fécondité des femmes en France est tombé en dessous des 2 enfants par femme à 1,99 contre 2,01 en 2012, loin du seuil estimé du renouvellement des populations à 2,1 enfants par femme. Ces chiffres alarmants en soi sont aggravés par le fait qu’ils ne tiennent pas compte du fait racial. Or la démographie sur le territoire français se maintient à un niveau très haut essentiellement à cause de la natalité des étrangers, les Blanches en couple avec des Blancs ayant au contraire un nombre d’enfants par femme nettement inférieur à 1,99.
Ce même phénomène de l’occupation explique que le taux de fécondité en France demeure l’un des plus élevés en Europe.
Les autres indicateurs illustrent la situation désastreuse de la France et son suicide démographique : les femmes qui accouchent sont de plus âgées : l’âge moyen des Françaises à la naissance de leur premier enfant se situe à 28 ans aujourd’hui, alors qu’il était en moyenne les femmes accouchaient en moyenne à 26 ans, tous leurs enfants confondus, dans les années 1970. Aujourd’hui, les femmes accouchent en moyenne à plus de trente ans. En 2013, près de deux tiers des nouveau-nés avaient une mère âgée entre 25 et 34 ans et seuls 14 % des bébés avaient une maman âgée de moins de 25 ans, 5 % ayant une mère âgée de plus de quarante ans. Plus de sept enfants sur dix nés en 2013 en France avaient un père âgé de plus trente ans ; 52 % des nouveau-nés ont des parents âgés tous deux d’au moins 30 ans.