La « Mémoire» permet d’enrégimenter les jeunes sous la bannière du mondialisme à base d’antiracisme
Lettre ouverte à Jean Castex
Monsieur Castex,
Le 27 janvier dernier, à Auschwitz, vous avez souligné la lutte menée par la République française contre le révisionnisme: «C’est un combat juridique, mais c’est d’abord un combat politique, idéologique, une vision de la société et de l’humanité.» Par ces propos, vous avez rappelé que l’Histoire officielle est un outil idéologique et politique. Il vous permet d’imposer «une vision de la société et de l’humanité». Voilà d’ailleurs pourquoi la Shoah est enseignée à l’école primaire, puis au collège et au lycée. Une circulaire parue le 17 juillet 2008 précisait :
Inscrit dans sa dimension historique, l’enseignement de la Shoah a une finalité civique et répond à une obligation morale. Il ne s’agit pas seulement de transmettre une mémoire et des connaissances : il faut donner à tous les élèves les éléments de culture et de réflexion leur permettant de refuser toutes les formes de racisme et de discrimination et de comprendre que, contraires à la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen, elles rendent impossible la démocratie.
La Mémoire permet donc d’enrégimenter les jeunes sous la bannière du mondialisme à base d’“antiracisme” et de rejet viscéral de certaines idéologies.
Cependant, si cette Mémoire est fausse ou frelatée, alors le modèle que vous imposez risque de conduire l’humanité au désastre. Pour l’affirmer, je m’appuie sur un rapport détaillé du Conseil du renseignement nationaux (National Intelligence Council (NIC)) des États-Unis. Il établit, de façon prudente, des scénarios pour les années à venir. Paru en mars dernier sous le titre : Tendances mondiales 2040 : un monde davantage contesté (Global Trends 2040: A more Contested World), annonce-t-il un redressement de l’économie ? Non.
D’après ses auteurs, les vingt prochaines années verront « l’augmentation des dettes nationales, un environnement commercial plus complexe et fragmenté, une évolution des échanges et de nouvelles perturbations de l’emploi ». Ces problèmes frapperont «de manière disproportionnée […] les pays en voie de développement et les régions les plus pauvres ». Certes, des mesures émergeront, mais elles seront « peu susceptibles d’être réparties uniformément, laissant des populations sur le bord de la route ».
Dans les pays pauvres, les effets du changement climatique et la dégradation de l’environnement qui diminuent la biodiversité sont susceptibles d’aggraver l’insécurité alimentaire, de renforcer la pénurie en eau, d’augmenter les migrations et de poser de nouveaux problèmes de santé.
L’augmentation des migrations est fatale, car ces populations sacrifiées saur l’autel de la mondialisation libérale refuseront de croupir. Comme tant d’autres depuis une trentaine d’années, elles chercheront ailleurs le bonheur (matériel) inaccessible chez elles. Les auteurs soulignent :
En 2020, plus de 270 millions de personnes vivaient dans un pays d’accueil, soit 100 millions de plus qu’en 2000. Les conséquences de cette migration mondiale mettront à rude épreuve tant les pays d’origine que ceux de destination, car il faudra en gérer les flux et les effets.
Le rapport ne le cache pas: ces défis mondiaux provoqueront « dans les États et les sociétés clés tensions généralisées mais aussi des chocs qui pourraient être catastrophiques .»
Le dessein mondialiste menace donc de faire faillite, ce qui provoquerait des calamités sans précédent. Sachant que la mémoire de la Shoah permet d’imposer cette utopie, notre devoir est donc de vous interroger sur la véracité de la thèse officielle. Le vôtre, Monsieur le Premier Ministre, est de répondre.
(…)
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Belle lettre, mais je n’en partage pas toutes les vues. M. Vincent Reynouard semble mélanger un peu tout, ce qui décrédibilise la cause qu’il défend : la recherche de la vérité historique. On peut avoir des opinions sur tel ou tel autre sujet, mais on doit en faire abstraction. La recherche historique doit être neutre. On ne peut y faire entrer des éléments Idéologiques. Par ailleurs, c’est une erreur monumentale de voir dans les diverses commémorations de la shoah, des manifestations de l’idéologie antiraciste. Du moins, ce n’est pas la vision que j’en ai. Je ne vois rien non plus » d’antiraciste », dans les lois dites » antiracistes » Je m’en suis exprimé depuis plus de 30 ans à travers de très nombreux textes et travaux, que je tiens à la disposition des personnes intéressées. Il serait temps de définir chaque chose avec précision. On ne peut pas dire, non plus, que nous ayons, à la tête de la France des » antiracistes ». Les vrais antiracistes, sont ceux qui prônent l’égalité humaine et les droits humains, or, je n’en vois pas beaucoup.
C’est quoi ce charabia?
Tout ça me fatigue… Vivement la libération !