Le 10 septembre, un appel à bloquer le pays se répand comme une traînée de poudre. Il ne vient ni des partis, ni des syndicats, ni des appareils classiques. Il naît d’un ras-le-bol profond, d’un rejet viscéral, d’un instinct de survie populaire. Il prend forme sur les réseaux sociaux, dans les parkings, sur les marchés, dans les cafés de province. C’est la France des oubliés, des sacrifiés, des travailleurs méprisés, qui se lève lentement, mais sûrement. Et cette fois, nous n’avons pas le droit de rester spectateurs.
Peu importe l’origine de cet appel. Peu importe qu’il ait été lancé par un collectif anonyme, un ancien Gilet jaune ou une infirmière en colère. Peu importe qu’il rassemble dix mille, cent mille ou dix millions de Français. La question n’est pas là. Ce qui importe, c’est que le peuple bouge, et qu’il ébranle un régime moribond et délétère. Et quand le peuple bouge, les nationalistes doivent être présents en première ligne à ses côtés. Pas dans les commentaires, pas dans les analyses à posteriori, mais sur le terrain, avec lui, pour le servir et pour l’élever.
Ce régime est à bout de souffle. Bayrou, Macron, Attal ou n’importe quel autre pantin n’y changeront rien. Ils appliquent la même politique, avec les mêmes maîtres, les mêmes intérêts, la même morgue. Ils demandent des sacrifices au peuple tout en engraissant les banques. Ils détruisent les jours fériés, étranglent les familles, vendent l’hôpital public, bradent la souveraineté. Le peuple l’a compris. Sa colère est légitime. Mais elle ne suffira pas. Elle doit être canalisée, organisée, orientée. Et c’est là que nous avons un rôle à jouer.
Nous ne devons pas refaire les erreurs des Gilets jaunes. Ce mouvement, aussi sincère fût-il, a été brisé par son propre refus de se structurer. Il s’est noyé dans le spontanéisme, infiltré par la gauche libertaire, affaibli par les querelles de chapelle, puis vidé de sa substance. Cette fois, il ne faut pas hésiter. Il faut entrer dans le mouvement dès maintenant, avec méthode, calme et discipline. Être présents dans les groupes locaux, participer aux assemblées citoyennes, proposer des actions, imprimer des tracts, tendre la main à ceux qui doutent, bâtir des liens durables. Il ne s’agit pas d’imposer notre vocabulaire, mais de le faire entendre avec justesse. Car c’est nous qui rendrons aux mots leur véritable sens : à la souveraineté, sa force politique ; à la nation, son âme vivante ; à la justice, son ancrage dans l’ordre ; au peuple, sa dignité. Là où d’autres manipulent le langage pour mieux désarmer, nous le redonnons au peuple pour le réarmer.
Mais pour cela, nous devons unir nos forces. Le moment n’est plus aux rivalités intestines ou aux querelles d’étiquettes. Tous les nationalistes doivent se retrouver dans l’action. Ensemble que nous pourrons peser sur le cours des choses en devenant des forces de proposition, d’ordre et d’organisation. Il faut être présents dans les services d’ordre, dans la logistique, dans les comités de coordination. Il faut intégrer l’appareil pratique du mouvement pour en devenir les piliers silencieux mais efficaces. C’est ainsi que l’on oriente une mobilisation sans l’étouffer.
Militants nationalistes, camarades, nous avons toujours été présents. À chaque soulèvement, à chaque révolte populaire, nous étions là. Sur les ronds-points, dans les manifestations interdites, dans les campagnes abandonnées, dans les quartiers délaissés. Nous n’avons jamais fui le contact avec le peuple. Nous n’avons jamais attendu qu’il se réveille pour le flatter. Nous l’avons soutenu, encouragé, protégé. Aujourd’hui encore, notre place est à ses côtés, non pas pour suivre la foule, mais pour la guider. Non pas pour récupérer, mais pour construire. Ce qui se joue là n’est peut-être qu’un simple baroud d’honneur social, c’est aussi peut-être le début d’un basculement. Et si ce basculement se fait sans nous, il se fera contre nous. C’est dans la mêlée qu’on forge le destin d’un peuple, pas dans les arrière-salles.
Et il faudra être vigilants car déjà, les chiens de garde de l’extrême gauche rôdent. Ils sentent que quelque chose échappe à leur contrôle. Ils viendront tenter d’infiltrer, de diviser, de pervertir la colère du peuple. Nous devrons les repousser sans faiblesse. Pas de compromission, pas de cohabitation, pas de naïveté. Ce soulèvement doit rester enraciné, populaire, sain, et il ne peut pas devenir le terrain de jeu des agitateurs gauchistes et des idéologues hors sol. Leur présence est un poison, et nous devons en être les anticorps.
Peu importe l’origine de l’appel du 10 septembre. Et peu importe de savoir s’il sera un succès ou un échec. La place des nationalistes est auprès du peuple. Et leur rôle est de le guider. La masse révoltée avance, parfois dans le doute, parfois dans le désordre. À nous d’y mettre de la clarté. À nous d’y mettre une direction. À nous d’y mettre une espérance. Pas par arrogance. Mais parce que c’est notre devoir.
Ce mouvement a besoin de nous. Pas comme maîtres, mais comme piliers. Pas comme donneurs de leçons, mais comme exemples. Le 10 septembre n’est pas une parenthèse : il peut devenir un point de départ. Si nous y sommes. Si nous agissons. Si nous construisons.
Alors allons-y. Organisés, calmes, déterminés.
Au nom du peuple. Pour la France.
URL : x.com/BloquonsTout
Notre première préoccupation doit être de prévoir et d’éviter les mauvais coups de l’adversaire !
Ne négligeons pas les enseignements des luttes précédentes.
Souvenons-nous que l’infiltration de provocateurs est la méthode de déstabilisation privilégiée par les forces de répression.
– Ce peut être en un premier temps et dès aujourd’hui que ces provocateurs chercheront à nous décrédibiliser, d’abord dans les réseaux sociaux, par des propos retournant contre nous l’opinion.
– Souvenons nous que tout propos public doit s’inspirer d’abord de ce que ce public est capable d’entendre. Nous ne parlons pas pour nous, mais pour les autres compte tenu de leurs limites !
– Dans l’espace public, comme dans le cas des gilets jaunes, mais aussi sur les réseaux sociaux, il faut s’attendre à ce que des infiltrés se déchainent pour pousser à une violence qui se retournera contre nous.
Bonjour, J’en suis désolé mais je ne suis pas d’accord. Tous les mouvements précédents ont été manipulés puis pourris de l’intérieur systématiquement. Ce sont les médias qui règnent et qui montrent. Le 10 dehors et le 15 dedans ou le 19…le 25…le 02…savoir d’où vient cette date me semble important.
C’est une bonne initiative entachée d’une maladresse. En effet lorsqu’on veut désobéir, surtout à ce régime, il ne faut pas l’annoncer.
Les derniers mouvements sont soit infiltrés, soit récupérés, soit sévèrement réprimés.
Le « peuple » de l’Oxydant bougera lorsqu’il prendra conscience qu’il se trouve dans une « position de mort » (Sun Tzu). En attendant, il est spectateur de la chorégraphie orchestrée par les maîtres de la société marchande (lire ou relire Guy Debord « La société du spectacle ») et plus précisément les oligarques qui vouent une haine féroce aux « nationalistes », terme de l’Illuminé de Bavière Adam Weishaupt qui définissait leur véritable ennemi. Pendant ce temps une pieuvre s’est développée et il faut faire comprendre au « peuple » qu’il faut viser la tête, Henri Kissinger : « Qui contrôle la nourriture contrôle les populations, qui contrôle l’énergie contrôle les nations et celui qui contrôle la monnaie contrôle le monde. » les tentacules se desserreront lorsque le « peuple » comprendra que la tête est la Synagogue de Satan…
Réponse à « LLU »…
Vos choix sémantiques vont a l’encontre de la règle n° 1 de toute communication politique telle que je la rappelle plus haut :
« Ne pas parler au public avec « votre » vocabulaire… mais avec le « sien » !
Comment pouvez-vous penser qu’une opinion aculturée et déchristianisée telle que celle à laquelle vous vous adressez ne soit pas décontenancée par l’évocation d’ « illuminés de Bavière » ou de « synagogue de Satan » ?
Ne comprenez-vous pas que ce n’est qu’à la suite d’une prise de pouvoir que vous pourrez désintoxiquer une opinion égarée par des siècles de mensonges et lui faire comprendre « QUI » sont ses véritables ennemis…
Mais qu’entre temps, il faut s’adresser au peuple avec les mots correspondant à ce qu’il est ET NON TEL QUE VOUS SOUHAITERIEZ QU’IL SOIT !
Exactement on doit opter pour un language compréhensible…hélas regarde les cadres de notre milieu…ils vivent sur une autre planète.
Nos cadres parlent comme s ils avaient en face des gens déjà acquis à nos idées.
Tu auras bon le leur répéter ;ils n ont demordront jamais.
J en désespère.
Cher « Alex »…
Nous ne sommes pas toujours d’accord… Mais cette fois-ci, nous sommes en phase !
Je vois mal comment on pourrait dire mieux que lorsque vous écrivez : « Nos cadres parlent comme s’ils avaient en face d’eux des gens déjà acquis à nos idées »…
D’autant que ce qui est un problème au niveau de la communication de nos idées participe d’un autre problème : ils font ainsi obstacle à l’union indispensable de tous ceux qui auraient intérêt à renverser le pouvoir en place !
– Les cathos traditionalistes parlent le langage des cathos traditionnalistes déjà convaincus… Mais jettent l’anathème sur tous ceux qui ne le sont pas !
– Ceux qui sont contre la Russie conspuent ceux qui sont pour… et vice-versa. Sans comprendre qu’une lutte commune contre l’immigration invasive CHEZ NOUS a plus d’importance que l’opinion des uns ou des autres sur ce qui peut advenir à 2 500 km de nos frontières !
– Et ainsi en est-il pour ceux que les orientations de Trump aux USA ou de Netanyahou à Gaza préoccupent davantage que les méfaits de Macron en France !
Et c’est ainsi que c’est sans écho que je rappelle régulièrement ici le point commun de toutes les révolutions qui ont réussi, lesquelles ne sont parvenues au pouvoir qu’en deux temps :
– Un premier temps rassemblant TOUTES LES OPPOSITIONS pour renverser le pouvoir en place…
– Et un second temps permettant à celui qui s’y est le mieux préparé de prendre l’ascendant sur ses alliés de circonstance !
Langage compréhensible à la Jean Yanne « Moi Y’en a vouloir des sous »!
Ce mouvement n est pas spontané donc le pouvoir à largement le temps de se préparer. Contrairement aux actes 1.2.3 et 4 je ne viendrais pas .L effet de surprise n y sera pas !
A part la grève générale bloquant l outils de travail je ne vois pas de solution.
Il reste le gros problème des cadres nationaux de formation Maurassienne. Ils cochent toutes les mauvaises cases: catho trad , bourgeoisie de centre ville, tersiaire… bref jamais la classe populaire et moyenne, cette France périphérique qui produit une vrai valeur ajouté n’acceptera ces coco là comme porte parole. La France réelle n acceptera que des individus du pays réel.
Je préfère rester en retrait ce coup ci.
La brav M, la CRS8 ,GIGN, GIPN seront sur les points vitaux.
Les eborgneurs c est à dire les crasseux de la bac seront en appui de tous les groupes de gendarmes mobiles et des compagnies de crs.
Ils ont eu le temps de se préparer et d analyser les réseaux sociaux pour engager un féroce rapport de force dès le départ.
La france sera bientôt mise sous tutelle de la troika et en 2027 les élections approchent reservont nos forces pour nous faire féroces lorsque les loups sortiront pour nous faire subir le sort de la Grèce.
Quand on frappe de manière révolutionnaire c est sans crier gare au bon endroit et au bon moment avec toutes les classes d âgés et les classes sociales mécontentes et pas pleurnicher à la rentrée en septembre de manière conventionnelle de bastille a nation comme la masse des syndicats subventionnés.
Date stupide : on ne fait pas ds manifs au moment de la Rentrée des classes !!