Un groupe inconnu jusqu’alors, le GADI (Groupe action directe international), a revendiqué deux attentats commis à Tarbes à la fin du mois de décembre. Le système avait totalement censuré les informations sur ces attentats, contre la prison de Tarbes le 25 décembre 2013 et une caserne du 35e RAP (régiment d’artillerie parachutiste) deux jours plus tard.
Dans un communiqué, les terroristes rouges affirment avoir répondu à « l’appel international des 5 anarchistes de Barcelone », des criminels internationaux qui avaient attaqué des bâtiments catholiques.
Les tueurs rouges appellent ouvertement au meurtre et aux actions terroristes, notamment pour « venger » (sic) la mort d’une jeune racaille antifasciste, Clément Méric, qui avait agressé avec son gang un petit groupe de patriotes à Paris en juin 2013.
Plus de six semaines après les faits, il n’y a eu aucune interpellation dans ce dossier.
Les terroristes marxistes continuent à profiter de l’impunité assurée par le pouvoir qu’ils prétendent combattre, les preuves n’étant plus à apporter du soutien actif du ministère de l’Intérieur, au grand désarroi de la grande majorité des policiers, comme des services de justice.
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