Sarah Knafo n’a que 28 ans et pourtant, c’est en grande partie grâce à elle que la popularité d’Eric Zemmour a considérablement augmenté. Cependant, un proche du duo aurait confié au torchon Libération que la directrice de campagne du candidat quittera son rôle dès qu’elle le pourra.
Sarah Knafo a déjà un beau carnet d’adresses qui lui a permis d’aider Eric Zemmour à monter plusieurs marches vers sa popularité actuelle auprès d’une partie de la population française. C’est notamment grâce à ses études à Science Po et à l’ENA que Sarah Knafo a su se rendre indispensable. Mais d’après certains proches du duo, « elle prendra le large dès que cette farce présidentielle sera close ».
« Elle a cherché longtemps quelqu’un à la mesure de ses ambitions et l’a trouvé en Zemmour », confie un des mentors de la jeune femme. « J’observe chez eux une forme d’ivresse effrayante et d’immaturité. Elle a participé au fait que Zemmour soit devenu fou. Il n’a plus de limites », soutient-il par la suite, inquiet pour le futur. D’après lui, c’est Sarah Knafo qui fait faire au presque candidat « des choses insensées depuis trois ans ». Même si c’est « enivrant pour une fille si ambitieuse » de prendre des décisions importantes pour un personnage comme Zemmour, la source affirme qu’elle quittera ses fonctions dès l’année prochaine.
Le polémiste et sa conseillère apparaissent bien souvent ensemble lors d’évènements en tout genre. Leur relation des plus mystérieuses attise la curiosité de bon nombre de personnes. Lors de leur première rencontre, Sarah Knafo n’avait encore que 13 ans. « Son père est un ami d’Éric, qu’elle surnomme parfois ‘Z », dévoile Etienne Girard dans son dernier livre sorti le 28 octobre dernier. Malgré leurs trente-cinq ans de différence d’âge, ils se trouvent rapidement des points communs.
A l’instar de ses réfrigérateurs, le de Gaulle à la sauce Crémieux semble toujours affectionner certaines des traditions de son peuple ; en matière de séduction et de bagatelles notamment, qui peuvent commencer très tôt, comme on le sait, et avec le père qui n’est jamais loin.
Mis à part ces observations ethnologiques, le plus intéressant reste les divers sentiments qui semblent émanés de l’équipe et du candidat Zemmour par rapport à la campagne : une aventure passionnelle doublé d’une farce politique. Z reste un homme, après tout. Zemmour président, un caprice à deux ? L’avenir le dira.
Source : actu.gala.fr
« Le diable, parfois, porte pierre » dit le proverbe. Et qui nierait aujourd’hui, en effet, que Zemmour a puissamment contribué à propulser au centre de la campagne des présidentielles l’idée du danger que fait courir à la France le déferlement migratoire. Ce qui a fait faire, dans l’opinion, un bond prodigieux aux idées que nous défendons.
Mais Zemmour est tout de même celui qui nous demande aujourd’hui de lui faire confiance pour résister au déferlement des masses musulmanes alors même qu’il clame son admiration pour le parjure de Colombey, qui nous a trahis, il y a soixante ans, en faveur des mêmes Musulmans !
Quand à la question : « Qui en dehors de Zemmour ? », je rappelle que le Général Martinez a présenté, le 12 juillet 2020, longtemps avant Zemmour, sa candidature à la présidentielle. Un général qui, dans son livre-programme « Quand la grande muette prendra la parole », préconise carrément 30 ans de prison pour les politiques et journalistes qui trahissent la France.
Alors, je répète la question déjà posée dans le bulletin de l’ADIMAD : Sachant, comme l’explique fort bien J.M. Le Pen, que le silence médiatique est l’arme n° 1 du système, comment expliquer que le prétendu « anti-système » Zemmour caracole de télévisions en télévisions, alors que pas une fois en 1 an 1/2 on a interviewé Le Général ? Qui organise et à qui profite cette discrimination médiatique ?
Lequel des deux gène-t-il vraiment le système et à qui faut-il faire confiance ?
Tout le monde sais que les médias Français sont vendus à 99% aux sémites!!
C’est une histoire juive!!