Ces dernières semaines, l’actualité a été polluée par les démonstrations d’arrogance de noirs à lunettes subventionnés qui dénoncent avec vigueur un racisme systémique et appellent à la mise au banc des blancs voire à leur extermination. En premier lieu l’ineffable Lilian Thuram, grand héros de la France black blanc beur promue par SOS Racisme et Touche pas à mon pote.
Le champion du monde de ballon rond 98 traverse la France pour éduquer les petites têtes blondes, crépues et frisées à coups de conférences grassement rémunérées. L’antiracisme est une rente, et ça paye plutôt bien ! Il a dénoncé « courageusement » (sic) le complexe de supériorité des blancs. « Il y a du racisme dans la culture blanche. Les Blancs pensent être supérieurs. Les Noirs ne traiteront jamais les Blancs de cette façon ».
À notre grande surprise, cette sortie de l’ancien footballeur a suscité de vives réactions d’opposition jusque chez les journalistes et chroniqueurs d’ordinaire soumis au politiquement correct. Néanmoins, les habituels traîtres à la race dont le fond de commerce est la surenchère dans la haine de soi ont défendu Thuram. S’ils pouvaient s’auto-mutiler pour contenter les noirs et expier les péchés des blancs, nul doute qu’ils le feraient ….
Pour revenir aux déclarations de Thuram, il est évident que les « Noirs ne traiteront jamais les Blancs de cette façon », mais tout simplement parce qu’ils n’en ont pas la possibilité. Les blancs ne se pensent pas supérieurs, ils sont supérieurs. Historiquement, si les blancs ont réussi à imposer leur domination sur le globe et en particulier sur le continent africain, c’est évidemment en raison de leur supériorité technologique, intellectuelle et civilisationnelle. Quand on voit le comportement des africains chez eux et chez nous, il est heureux pour le monde que ces peuples n’aient pas réussi à conquérir le globe comme l’ont fait les blancs.
Le bilan des pays noirs décolonisés est catastrophique. Pour la plupart, ils sont aux mains de juntes militaires qui pillent le pays et se vautrent dans l’opulence pendant que la majorité vit dans la misère. Les infrastructures construites par les blancs (routes, hôpitaux, écoles…) sont laissées à l’abandon… De plus, ces africains arrogants qui se plaignent de leur condition de vie en Europe et particulièrement en France, vivront toujours dans de meilleures conditions ici que dans la plupart de leurs pays libérés de la « tyrannie blanche ».
Ensuite, pour l’accompagner dans sa croisade contre les blancs, Thuram peut se targuer du soutien de l’inqualifiable Rokhaya Diallo proche du PIR (Parti des Indigènes de la République), association qui porte bien son nom, représentée par Houria Bouteldja… Racailla Diallo ça sonne mieux et c’est plus proche de la réalité. Comme son compère Thuram, elle écume la France pour propager la bonne parole : les blancs sont méchants et les noirs sont gentils. Ce pur produit du mondialisme passé par les universités françaises et bénéficiaire du programme « Young leaders » de la French-American Foundation, au même titre que François Hollande et Emmanuel Macron, prétend combattre le racisme systémique de l’État français envers les noirs. Dénoncer le racisme systémique d’un système qui promeut son action voilà qui est cocasse…
Comme Thuram, Racailla fait partie intégrante du système et son rôle semble être d’exacerber les tensions raciales en montant les noirs contre les blancs. Elle reconnaissait elle-même il y a quelques années que « le mélange n’est pas une recette vers le mieux ». Nous n’allons pas contredire ce propos, et il est bon que les africains restent entre eux, cela facilitera d’autant plus la nécessaire remigration. Le problème est que ce communautarisme est motivé par une haine viscérale du blanc, visible aussi bien dans les discours que dans les actes.
Cette volonté belliqueuse est parfaitement illustrée par la Ligue de Défense Noire Africaine, regroupement de sauvages qui invite les noirs à se communautariser et notamment à boycotter les commerces qui ne sont pas tenus par des noirs. Ce groupe s’est fait connaître notamment avec la profanation en juin 2018 de la statue de Sainte Jeanne d’Arc à Paris. Aujourd’hui, alors que l’Afrique du Sud est de nouveau en proie à des émeutes ethniques et raciales qui laissent exprimer toute la sauvagerie africaine (pillages, viols, assassinats, bûchers au milieu de rues sales et dévastées), les sauvages de la LDNA ont organisé une manifestation en plein Paris au cours de laquelle ils ont appelé leurs frères noirs à tuer les blancs et les chinois au lieu de s’entretuer. « Commencez par tuer les Blancs, commencez par tuer les Chinois, commencez par tuer les Indiens. Ne tuez pas vos frères ». Ne soyons pas dupes, ce message s’adresse également aux africains présent sur notre sol.
Intrigués par la naissance de ce groupuscule communautaire, nous avions pris contact avec eux il y a plusieurs mois. Quelle surprise de constater qu’il n’a pas fallu plus de dix minutes pour que leur chimpanzerie se révèle, « ramène ta mère et ta sœur qu’on la baise ». Telle est la magnifique prose de ces enfants d’Aimé Césaire. Le prix Renaudot n’est pas loin. Ces sauvages doivent retourner illico dans le désert d’où ils n’auraient jamais dû sortir.
La supercherie de tous ces pseudos résistants à un suprémacisme blanc est totale ! Les gouvernements de l’Europe occidentale ont presque tous abandonné la défense de leur peuple au profit du projet mondialiste de destruction des blancs par le métissage. L’impunité avec laquelle ces agitateurs communautaires agissent est révélatrice. Seule exception, la mise en examen il y a quelques jours du porte-parole de la LDNA après l’agression de l’escroc juif Patrick Balkany. En France, on peut s’en prendre aux blancs en toute impunité, mais pas touche au peuple élu.
Enfin, au-delà des élucubrations des pleurnicheuses africaines, il ne se passe pas une semaine sans qu’un africain en situation irrégulière ne viole ou ne tue une française (blanche bien sûr). Sans compter les français de papier (ou de fraîche date) qui pourrissent la vie des français au quotidien. Les réactions des autorités se font toujours attendre, mais il n’est pas étonnant qu’un pouvoir qui milite ardemment pour la destruction de la France et l’anéantissement des blancs ne bouge pas une oreille.
En tant que Nationalistes français, blancs et européens, notre rôle est de faire renaître une conscience raciale chez nos semblables, et surtout chez les plus jeunes (il est vain d’essayer de convertir les boomers qui constituent une véritable cinquième colonne du régime) qui sont nourris quotidiennement et depuis le berceau par la propagande cosmopolite.
France d’abord, blanche toujours !
Oscar Walter