Les premiers chiffres de la criminalité et de la délinquance constatées en France en 2022 ont été publiés par le ministère de l’intérieur le 31 janvier 2023. La quasi-totalité des indicateurs sont en hausse par rapport à l’année 2021.
Le ministère de l’intérieur a publié une première photographie de l’insécurité et de la délinquance en 2022. La publication retrace les faits de délinquance constatés par la police et la gendarmerie nationales, les résultats de l’enquête de victimation « Cadre de vie et sécurité » réalisée par l’Insee et les résultats d’une enquête de victimation européenne, Genese.
Des hausses qui confirment une tendance observée avant la crise sanitaire
Sur l’année 2022, les chiffres sont en hausse par rapport à 2021 pour :
- les homicides (+8%). Le nombre d’homicides a atteint 948 victimes ;
- les coups et blessures volontaires sur personnes de 15 ans ou plus (+15%). Le nombre de victimes de violences intrafamiliales augmente de 17% ;
- les violences sexuelles (+11%). Cette hausse concerne autant les viols et tentatives de viols que les autres agressions sexuelles y compris le harcèlement sexuel ;
- les escroqueries (+8%). 1,3 million de ménages métropolitains ont déclaré avoir été victimes d’une escroquerie bancaire en 2022.
- Pour ces quatre catégories, la tendance à la hausse avait déjà été observée avant la crise sanitaire.
Les vols sans violence contre des personnes, les cambriolages, vols de véhicules et vols dans les véhicules (à l’exception des vols d’accessoires sur véhicules en forte hausse) progressent en 2022 mais leur nombre reste inférieur à ce qui était constaté avant la crise sanitaire.
Le nombre de mis en cause pour usage de stupéfiants augmente de nouveau très nettement en 2022 (+13%). Le nombre de mis en cause enregistrés pour trafic de stupéfiants en 2022 est également en hausse (+4 %). Ces chiffres avaient déjà fortement augmenté en 2021 avec la mise en place des amendes forfaitaires délictuelles.
Cet inexorable essor de la criminalité dont les violences contre les personnes en France, ne semble pas traumatiser particulièrement les deux pieds nickelés, Darmanin et Dupont-Moretti, plus occupé pour l’un à pleurer les chiens écrasés et l’autre à faire des bras d’honneur à l’Assemblée.
Un essor inexorable puisque la classe dirigeante française est constante dans son ignorance volontaire du quotidien anxiogène et du statut de proie de millions de Français depuis des décennies et dans son refus criminel d’attaquer le problème.
Tous ceux qui se sont succédé à l’Élysée, à Matignon, Place Beauvau et Place Vendôme ont préféré mettre la poussière – sanglante – sous le tapis à cause de leur imprégnation gauchiste antirépressive et antidiscriminatoire, et de leur déni mental du lien entre l’immigration-invasion et l’économie de prédation que les envahisseurs ont adopté.
« Nous sommes devant la plus grande invasion de notre histoire. Même ce que l’on a appelé et ce que l’on appelle encore les grandes invasions, tant en nombre qu’en importance, qu’en transformation de la population et des modes de vie, est sans comparaison avec ce que nous subissons actuellement… Les dirigeants, du président de la République jusqu’aux ministres en passant par les membres des différents partis, pratiquent une politique d’asservissement à la plus grande invasion de notre histoire. » (Pierre Sidos)
Ernest Renan avait raison d’affirmer : « L’étranger toléré peut être utile à un pays, mais à la condition que ce pays ne se laisse pas envahir par lui. Il n’est pas juste de réclamer des droits de membres de la famille dans une maison qu’on n’a pas bâtie, comme le font les oiseaux qui viennent s’installer dans un nid qui n’est pas le leur, ou comme les crustacés qui prennent la coquille d’une autre espèce. »
Nos objectifs fondamentaux doivent être de remilitariser l’armée, de resociabiliser la société, de resacraliser la famille, de refranciser l’État, de reconquérir le territoire. Cela fait peut-être beaucoup de “re” mais il faut savoir que le retour en arrière est bien souvent une avancée en ce sens que c’est un retour en arrière de recouvrer sa santé lorsque l’on a été malade, de corriger des erreurs lorsque l’on en a commises, de se remettre dans la droite ligne lorsque l’on est en voiture et que l’on a été déporté. Le retour en arrière en question, c’est un retour à la normale. Une révolution intellectuelle et morale doit commencer par un retour à la normale, à ce qui a été consacré par des siècles et par notre civilisation.
C’est le sens des propositions qui avaient été émises par Yvan Benedetti, candidat en 2022, qui proposait aux Français :
- Arrêt complet des flux migratoires avec annulation des accords de Schengen et annexes, retour à des frontières sécurisées et abrogation des lois dites « mémorielles », avec en premier lieu, les lois Pleven et Fabius-Gayssot. Exclusivité d’attribution des aides sociales et allocations familiales aux seuls Français. Droit d’asile et immigration des étudiants étrangers réservés à des cas particuliers dépendant de la politique extérieure de la France.
- Grand recensement de la population incluant les critères ethniques et religieux afin d’engager une politique humaine de remigration sous couvert d’accords bilatéraux avec les pays d’origine, commençant par l’expulsion des immigrés en situation irrégulière, coupables de crimes et délits, en ce compris les ressortissants de pays européens.
- Révision de toutes les naturalisations opérées depuis 1975 avec annulation si elles n’ont pas été suivies d’un véritable effort visant à une assimilation pleine et entière à la civilisation française et européenne.
- Rétablissement de la Peine capitale. Renforcement et extension du droit de Légitime Défense.
- Rétablissement du service militaire et mise en place d’une garde nationale armée. Création d’organisations civiques de jeunesse.