Magny-les-Hameaux, petite ville rurale des Yvelines, est secouée depuis plusieurs mois par un projet de mosquée soutenu par la mairie. Un article du Figaro du 30 septembre 2024, dont le titre est un euphémisme (« la mosquée de la discorde »), a le mérite de mettre au jour ce scandale.
Magny-les-Hameaux, à l’origine un joli bourg francilien, aux maisons construites en pierres meulières, dont la vénérable église gothique abrite les restes des derniers fidèles de l’abbaye de Port-Royal voisine, un haut-lieu de la spiritualité et de l’intelligence françaises, a été transformé par les constructions des années 90 en une banlieue peuplée de néo-ruraux-bobos et d’immigrés, en raison non seulement du grand-remplacement mais aussi de la loi SRU imposant des quotas de logements sociaux, mis préférentiellement à disposition des immigrés au détriment des Français démunis.
Les musulmans en nombre toujours croissant ont lancé un projet de mosquée sur le territoire de la commune, alors que les Yvelines en comptent déjà 74 – contre 75 paroisses catholiques. Des habitants de Magny Les Hameaux ont soulevé des questions légitimes : quel financement ? De quelle obédience sera l’imam ? Et formulé des critiques sur le lieu retenu : une impasse, proche d’une école primaire, sur une parcelle qui accueille déjà une maison des ados. Certains habitants auraient préféré que le terrain, qui appartient à la commune, soit plutôt affecté à la construction d’un terrain de paddle, en extension du terrain de tennis voisin. La direction de l’Intermarché voisin craint que le parking de 12 places prévu pour la mosquée soit insuffisant et que les musulmans ne débordent sur le leur. Mais la mairie a entretenu la plus totale opacité sur l’opération et refuse de consulter la population.
Les Magnycois qui ont exprimé leurs critiques vis-à-vis du projet ont été la cible d’insultes : « vous pouvez chialer, bande de gros halouffes (porcs en arabe) consanguins, on va vous remplacer » ; « Faudrait juste rappelez (sic) que la colonisation française se PAYE ». Le fondateur d’un collectif opposé au projet, Pierre-Louis Brière, a reçu des menaces de mort : « On va vous massacrer un par un » ; « On a votre adresse ». Au lieu de recevoir le soutien du maire, celui-ci l’a accusé de former « une opposition très politique qui cherche à attiser les peurs » et profère des « propos haineux et xénophobes ». La première adjointe, Frédérique Dulac, moque un « affolement chez les paranos islamophobes », un drame pour les « crypto-fachos aryens ». Autant dire que la municipalité a mis une cible sur la tête de son administré. Celui-ci a quitté du jour au lendemain la commune avec sa femme et ses deux jeunes enfants en décembre 2023. Travaillant au cabinet du président de l’agglomération, il n’a même pas pu bénéficier de la protection des édiles qu’il côtoie au quotidien. Qu’en sera t-il pour les autres opposants démunis de toutes relations ?
Suite au dépôt d’une plainte par Pierre-Louis Brière, une enquête a été ouverte selon BFM-TV et un mineur a été arrêté et auditionné. Une réponse pénale a été donnée selon la source judiciaire. Laquelle ? On ne le saura pas. Un stage au Mémorial de la Shoah ? Une tape sur l’épaule avec sursis ?
La mairie pratique sans vergogne le clientélisme électoral. Le Figaro écrit :
« Plus tôt, en 2014, l’ancienne ministre Aurore Bergé, aujourd’hui députée des Yvelines et qui brigua aussi la mairie de Magny, fut accusée par ses adversaires d’avoir donné des gages à l’A2MH [Association des musulmans de Magny les Hameaux] durant sa campagne. Interrogée par Le Figaro, l’intéressée dément catégoriquement, évoquant des rumeurs. C’est un de ses colistiers, Salem Labrag, qui dénonça cet « engagement » dans une tribune publique un an plus tard. S’interrogeant sur « une manœuvre politique pour récupérer les votes des musulmans », le conseiller municipal annonçait claquer la porte de son camp pour rejoindre…le parti adverse, Génération.s. Celui de Bertrand Houillon [le maire actuel]. L’adresse de ce même Salem Labrag figurait jusqu’en décembre [2023] sur le site de la mairie comme lieu de domiciliation officiel de l’A2MH. Après les événements de décembre, l’adresse a été mystérieusement modifiée. »
En réponse aux questions formulées par les opposants, l’A2MH assure représenter un « islam modéré ». Pourtant, le collectif d’adversaires au projet a noté des accointances entre l’association et l’imam Mourad Dali, proche des milieux salafistes (voir cet article de Fdesouche) ce qui n’a pas empêché Macron de le recevoir à l’Elysée. Alors que l’association réfute tout lien, le collectif a repéré que la nouvelle adresse de l’A2MH est la même que celle de l’association CAM78 (collectif des associations des musulmans de Saint Quentin en Yvelines), présidée par Mourad Dali. Et cette adresse est aussi celle du président de l’A2MH.
En réalité, la distinction entre un islam « modéré » et un islam qui ne le serait pas est fictive. Le Coran promeut la conquête armée des territoires qui ne sont pas musulmans. Et c’est exactement ce que nous voyons se dérouler sous nos yeux. Avec la complicité de certains Français prêts à tout pour garder leur siège d’élus ou réaliser leur rêve maladif de société-monde, qui se révèle être un cauchemar éveillé. Il est à noter que le maire Bertrand Houillon est membre du parti de Benoît Hamon Génération.s (qui gagnerait pour plus de clarté à s’appeler Mosqué.e.s) et est un proche de Jean-Luc Mélenchon, deux politiciens bien connus pour leur clientélisme musulman et leur haine ouverte des Français conscients de leur identité et qui veulent la défendre. Ces traîtres ne méritent aucune mansuétude de notre part.
D’autres habitants ont été la cible de menaces. Carole, 51 ans, se sent en insécurité depuis qu’elle a défendu Pierre-Louis Brière sur Facebook, ce qui lui a valu d’être prise à parti comme lui. Peut-être n’aurait-elle pas dû voter pour Bertrand Houillon aux dernières élections ? Les enfants d’une élue d’opposition ont reçu des intimidations à l’école. Depuis, celle-ci a rompu tout contact avec la journaliste du Figaro.
Le journal indique avoir dû préserver l’anonymat de la plupart des ses interlocuteurs pour préserver leur sécurité. C’est dire l’omerta qui règne dans le village, et plus largement dans le pays. Dans un pays bien gouverné, cette affaire aurait dû se solder par une intervention énergique des pouvoirs publics, qui auraient démis le maire et stoppé le projet de mosquée. Mais Macron préfère fêter la victoire du PSG en écrivant « Champions mon frère ». Combien de temps avant qu’il ne l’écrive en arabe ?
A propos du président de l’A2MH : c’est un Français de souche, Vincent Théry, un natif de la commune converti à l’islam. Cela met en évidence non seulement l’incapacité de la France à valoriser son héritage religieux et culturel, mais aussi la manipulation de l’A2MH qui estime sans doute que mettre en avant un Blanc endormira la méfiance des riverains.
Le scandale de la mosquée de Magny-les-Hameaux est un condensé des maux que rencontre notre pays et plus largement le monde blanc :
- Grand remplacement
- Conquête de l’islam
- Effacement de l’identité française
- Persécution des opposants
- Complicité des élus locaux, de la gauche cosmopolite, de la droite affairiste et des gouvernements successifs
On aurait pu ajouter, pour d’autres affaires : occultation des faits par la presse, mais ce n’est même pas le cas pour celle-ci : il y a eu des articles factuels, même si on peut déplorer leur ton lénifiant, du Figaro, du Parisien, de BFM TV, du JDD, de Boulevard Voltaire et de la gazette locale. Les Français ne peuvent pas dire qu’ils ne savaient pas.
Cette affaire n’est pas un événement isolé. Des riverains opposés à la construction d’une mosquée à Saint Germain en Laye, toujours dans les Yvelines, ont dû aussi déménager sous les menaces. Cela n’a pas empêché, au contraire, la mosquée d’être inaugurée en grandes pompes en mars dernier sous le patronage intéressé du maire, Arnaud Péricard.
Les solutions à ces graves problèmes sont connues:
- Gel des constructions de mosquées
- Expulsion immédiate ou envoi en Guyane des auteurs de menaces de mort et de leur famille
- Remigration des populations extra-européennes
- Fin de la propagande cosmopolite et mise en valeur de l’identité française
- Poursuite des complices pour atteintes aux intérêts fondamentaux de la nation (article Article 410-1 du code pénal)
Ces mesures ne seront possibles que dans le cadre d’une révolution nationale. Il est urgent de convaincre nos concitoyens de son impérieuse nécessité. Camarade, engage-toi !