Lors d’une manifestation d’extrême gauche samedi à Paris, un journaliste indépendant de l’Agence info libre a été agressé par plusieurs dizaines de racailles communistes. Le journaliste a été dépouillé de son vélo et menacé verbalement et physiquement par des individus armés et masqués.
S’étonnant de l’impunité de ces racailles, le journaliste a pu avoir la confirmation d’un policier sur place que les forces de l’ordre ont des consignes claires pour laisser les ‘antifas’ commettre leurs agressions en toute liberté. C’est directement le ministère de l’Intérieur et Manuel Valls qui ordonne aux personnes chargées de l’ordre public de laisser des milices politiques agresser les Français, comme il avait déjà été révélé que c’est le cas pour les milices terroristes juives, et comme Manuel Valls s’accommode par ailleurs des mafias à l’œuvre dans les cités. Toute l’anti-France réunie.
Ces faits éclairent d’un jour nouveau la mort de la racaille bolchevik Clément Méric ; cette collusion entre le pouvoir et les gangs antifascistes explique pourquoi cet individu malade avait cru pouvoir attaquer de jeunes patriotes, persuadé qu’ils ne réagiraient pas, eux qui ne bénéficient pas de la complicité active du gouvernement d’occupation.
Nous avons extrait ci-dessous une partie du dialogue entre le journaliste et le policier.
-On est que deux mon pote. Tu vois des forces de CRS là ?
-Il y a 50 compagnies de CRS qui sont prévues demain [pour La Manif pour tous]…
-Ouais c’est pour demain, c’est pas pour aujourd’hui.
-Donc aujourd’hui il n’y a rien pour protéger les citoyens ?
-On est bien d’accord, ouais.
[…]
-Allez viens, je vais te ramener sur les CRS. En plus ils sont en train de te mater depuis tout à l’heure.
–Il n’y a aucun policier pour assurer la sécurité des manifestants ?
-Je sais… Mais tu crois que ça nous fait plaisir de n’être que deux, sans déconner ?
-Je dis pas que ça vous fait plaisir mais… Qu’est-ce qu’il fait Manuel [Valls] ?
-Eh bien, Manuel [Valls] il passe ses ordres, voilà…
[…]
-T’as du bol parce que là… Les mecs que t’as vu sont les copains de Clément Méric. Tu vois qui c’est, les antifas ? Bon ben voilà. Les antifas, c’est à géométrie variable tu sais [allusion peu claire : leur rapport avec les différents partis du système ? Leurs mœurs sexuelles ?] […] Les ordres… Ça vient d’en-haut. Par contre je serais toi, je resterais pas là. Et encore tu vois ils l’ont remis au collègue [le vélo volé] parce que nous on les connaît comme ils sont fichés. Quand tu les appelles par leur petit nom si tu veux la plupart du temps ils ne sont pas à l’aise. […] Ils ne peuvent pas vous blairer… Fais gaffe car s’ils vous identifient à la prochaine manif, ils vous éclatent. Parce que… Ils ont du matos [des armes] sur eux et on a interdiction de les arrêter, interdiction de les palper, rien du tout.
-Interdiction de les arrêter ? Vous êtes sérieux ?
-Je suis sérieux oui.
-T’as vu qui est au pouvoir ? Bah t’as compris.
-La dictature c’est maintenant. Voilà.
Les propos du policier pourraient surprendre en comparaison du zèle montré par certains policiers lors de la répression contre les nationalistes. Si la police se montre en grande partie complice du système, on peut se demander : jusqu’à quand ? La France compte environ 150 000 policiers et 100 000 gendarmes ; plusieurs milliers d’entre eux sont blessés chaque année, notamment par les mafias étrangères afro-maghrébines et plusieurs perdent la vie. Si certains, notamment parmi les gradés, habitués des loges maçonniques et soucieux de ne pas déplaire aux système, sont des esclaves volontaires du système qui détruit la France, la colère monte aussi parmi les forces de l’ordre.
Le Canard enchaîné a révélé une note de synthèse « confidentielle » fondée sur les rapports des préfets. Ils décrivent le « découragement » des policiers face à une justice d’extrême gauche qui privilégie les criminels aux victimes. « La révolte gronde dans les rangs policiers » écrit Le Figaro.
Preuve que les antifascistes ne sont pas les seuls délinquants et criminels à bénéficier de la protection de Manuel Valls, la note précise :
« Policiers et gendarmes pointent le fossé entre la fermeté des directives de leur hiérarchie et les suites pénales des interpellations effectuées »
Dès lors comment s’étonner des propos de Patrice Ribeiro, secrétaire général de Synergie-officiers :
«Nous assistons à une multiplication des quartiers en sécession»
quand l’homme chargé d’assurer la sécurité est le complice des voyous ?