Deux adolescents disciples du hacker juif ultra-sioniste Ulcan recherchés pour avoir fait croire à un faux attentat à Paris
Le 17 septembre, un dispositif anti-terroriste d’envergure a été déployé vers 16 heures quadrillant tout le quartier des Halles (Ier arrondissement de Paris), après qu’une alerte attentat avec prise d’otages dans une église à proximité du métro Etienne Marcel ait été signalée, par un appel anonyme passé à la préfecture de police de Paris. L’appelant, qui se faisait passer pour le Père Mathis (inexistant), prétendait que dix maghrébins étaient entrés dans l’église Saint-Leu, et que l’un d’entre eux portait une ceinture avec une bombe.
A l’origine de cet appel, deux adolescents pro sionistes de 16 et 17 ans, et proches du criminel juif réfugié en Palestine occupée Grégory Chelli, alias Ulcan, qui, le mois dernier, a subtilisé le matricule d’un agent de Police de Bar-Le-Duc pour obtenir auprès d’une gendarmerie lorraine, des informations strictement confidentielles sur des militants nationalistes lorrains.
Il est également responsable de la mort du père d’un journaliste en 2014, à qui il avait fait croire, se faisant là aussi passer pour un policier, la mort de son fils [journaliste]. L’homme avait succombé à un infarctus provoqué par la fausse annonce. Le journaliste en question enquêtait sur les activités de l’intouchable juif Ulcan.
Les deux jeunes hackers, qui répondent aux pseudos de Tylers Swatting et Zakhaev Yamaha ont manifesté leur sentiment d’impunité sur les réseaux sociaux : « J’ai fait déplacé des hélico, le gouvernement, 50 voiture de flics j’suis passer en premier sur twitter, j’suis passer sur periscope, j’suis passer sur facebook, j’suis passer sur BFMTV et 10 journal hihi #églisefuck #flicKO », a posté l’un sur sa page Facebook.
Son comparse, Zakhaev Yamaha, se présente comme un « sergent de l’Armée de défense d’Israël ».
Interrogés par l’obs, ils ont confirmé leur absence de crainte envers la justice française : « On n’est pas traçable, on utilise des serveurs cryptés. On est à moins de deux heures de Paris, on a pas peur de la police ».
Mais lundi, le plus jeune des deux hackers en herbe a été arrêté à la sortie du lycée dans la Marne.
Le parquet de Paris a ouvert une enquête pour « dénonciation de crime imaginaire » et « divulgation de fausses informations afin de faire croire à une destruction dangereuse ». Les deux hackers encourent théoriquement deux ans de prison et 30 000 euros d’amende chacun.