L’affaire a fait beaucoup de bruit au sein de la « Communauté », mais les différents acteurs souhaitaient conserver les faits secrets. Les goys ne devaient pas être au courant :
« Nous ne voulons pas que cette affaire serve à attiser l’antisémitisme et les clichés sur les juifs et l’argent »
a déclaré le frère de la victime, une femme qui souhaitait divorcer religieusement. Or, dans la religion judaïque, une femme ne peut divorcer que si le mari est d’accord. Après seulement 8 mois de mariage, cette femme a demandé le divorce. L’affaire dure depuis plus de cinq ans. Le mari a refusé tout compromis, jusqu’à l’organisation d’une « audience » devant un « tribunal juif » (le « beth din »), réunissant, outre le couple et le frère, trois rabbins du « service des divorces » du « Constitoire », dont le grand rabbin de Paris, Michel Gugenheim. D’abord, ils réclament à la jeune femme 30 000 euros en liquide : « C’est le prix de sa liberté » juge Gugenheim, qui exige aussi qu’elle mente à la justice française, revienne sur ses témoignages et retire ses plaintes. Le frère feint de ne pouvoir réunir une telle somme rapidement. Un autre rabbin, Betsalel Levy, lui dit alors qu’il peut faire un chèque de 90 000 euros directement à la secte juive Loubavitch, toute puissante à Paris. Ces Juifs extrémistes ont obtenu de multiples avantages des différentes autorités nationales et locales dans la capitale, malgré leur mise en cause dans de multiples affaires.
Yossef Itshak Pevzner, un témoin du mari présent à l’audience, dirige les institutions Sinaï, qui gèrent les fonds de la secte.
« Chacun pourra toucher sa part »
précise Betsalel Lévy, sans la moindre réaction de Michel Gugenheim.
La famille a alors signé le chèque, disposant en réalité de cette somme facilement. Mais habitués aux escroqueries des autorités de la « Communauté », toute la scène a été filmée par la femme et son frère. Ils ont exigé en vain peu après le remboursement de l’argent, menaçant de porter plainte pour extorsion de fonds. Des juifs « libéraux », mis au courant de l’affaire l’ont finalement porté sur la scène publique.
Michel Gugenheim est le grand rabbin de France par intérim, après la démission de Gilles Bernheim, un menteur pathologique, mythomane et faussaire, mis en cause dans d’innombrables affaires.
Ca vous excite donc tant que ça de parler des Juifs en grossissant les traits de l’information pour mieux calomnier ?
Que serait le monde sans les Juifs ?
Pas même un defouloir pour fachos !
Un monde sans juif ? Essayons donc pour voir. On en tirera les conclusions après. Calomnie, grossissement… ce ne serait pas de l’inversion accusatoire ça ?