La Haute Autorité de santé (HAS) propose un accès gratuit aux transitions de genre dès 16 ans qui fait suite à une demande du ministère des Solidarités et de la Santé en 2021. La Haute Autorité de santé (HAS) va incessamment se prononcer sur l’attitude que les professionnels de santé doivent avoir face aux personnes souhaitant entamer une transition de genre. Ce projet, actuellement en relecture, a pu être consulté le 12 décembre dernier par Le Figaro : promotion de l’idéologie néfaste, diabolisation de ceux qui résistent, tout y est.
La HAS veut rendre accessible et gratuite la transition de genre dès l’âge de 16 ans
Interrogée sur l’accompagnement des personnes en transition de genre, la HAS a dévoilé toute une gamme de « soins » à observer auprès d’elles. De la demande de transition, qui doit être uniquement accueillie avec bienveillance et compréhension, aux interventions chirurgicales qui doivent être acceptées dès 16 ans, tout y passe.
L’autorité recommande par ailleurs « que les personnes trans qui le demandent puissent accéder aux chirurgies d’affirmation de genre sans délai supplémentaire », avec néanmoins une légère réserve concernant les chirurgies génitales. La HAS veut en définitive démocratiser l’accès à la transition de genre en rendant gratuits tous les « soins » qui y sont associés telle la prise d’hormones, et surtout abaisser l’âge de la demande à 16 ans, soit pour des mineurs à peine sortis de la puberté, pour la plupart encore influençables et sans esprit critique face à la propagande LGBT.
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ATTENTION :
La haute autorité de santé demande la prise en charge des frais médicaux pour les mineurs, ce qu’il faut comprendre comme:
– la gratuité de l’ablation des parties intimes de vos enfants et,
– la déchéance de votre autorité parentale si vous vous y opposez ! pic.twitter.com/YbG80Qxl7M— Les Caryatides (@CaryatidesFr) December 14, 2024
Donc, les « transitions de genre », qui consistent à « reconfigurer » un homme en « femme » ou une femme en « homme » avec force traitements hormonaux et chirurgicaux mutilants et quasi-irreversibles, les progressistes n’y voient aucun problème. C’est même promu par l’État jusque dans l’Education nationale et bientôt totalement pris à charge à 100 % par la Sécurité sociale à la demande de la Haute-Autorité de Santé pour les moins de 16 ans…
En revanche, les « thérapies de conversion » qui, quoi qu’on en pense, ne cherchent qu’à atteindre l’orientation sexuelle, sans traitement ou intervention invasive et destructrice irréversibles, alors là, pour les progressistes, c’est le mal, c’est le « lavage de cerveaux », c’est sectaire et même puni pénalement par les articles 225-4-13 et suivants du Code pénal (LOI n° 2022-92 du 31 janvier 2022 interdisant les pratiques visant à modifier l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne).
Le progressisme n’est pas une opinion, c’est une schizophrénie.
Article 225-4-13 du Code pénal :
Les pratiques, les comportements ou les propos répétés visant à modifier ou à réprimer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre, vraie ou supposée, d’une personne et ayant pour effet une altération de sa santé physique ou mentale sont punis de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende.
Les faits mentionnés au premier alinéa sont punis de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende lorsqu’ils sont commis :
1° Au préjudice d’un mineur ou lorsqu’un mineur était présent au moment des faits et y a assisté ;
2° Par un ascendant ou toute personne ayant sur la victime une autorité de droit ou de fait ;
3° Sur une personne dont la particulière vulnérabilité ou dépendance, due à son âge, à une maladie, à une infirmité, à une déficience physique ou psychique, à un état de grossesse ou à la précarité de sa situation économique ou sociale, est apparente ou connue de leur auteur ;
3° bis Sur une personne dont l’état de sujétion psychologique ou physique, au sens de l’article 223-15-3, est connu de leur auteur ;
4° Par plusieurs personnes agissant en qualité d’auteurs ou de complices ;
5° Par l’utilisation d’un service de communication au public en ligne ou par le biais d’un support numérique ou électronique ;
6° Par le dirigeant de fait ou de droit d’un groupement qui poursuit des activités ayant pour but ou pour effet de créer, de maintenir ou d’exploiter la sujétion psychologique ou physique des personnes qui participent à ces activités.
Lorsque les faits mentionnés au premier alinéa du présent article sont commis en bande organisée par les membres d’un groupement qui poursuit des activités ayant pour but ou pour effet de créer, de maintenir ou d’exploiter la sujétion psychologique ou physique des personnes qui participent à ces activités, ils sont punis de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende.
Se borner à exprimer notre désapprobation n’est plus possible.
La société et la civilisation occidentale vont disparaître irrémédiablement et nous ne sommes plus qu’à quelques décennies de l’échéance finale.
Nous devons créer des groupes de résistants à qui il incombera de passer à l’action.
TRANSGENISME / Les dégénérés transexuels (ex. Michou) et sodomites (ex. Gabattalle) au château de Manu :
https://x.com/CottenPolvie/status/1868328148393406507