Le crime atroce commis sur la jeune Lola par une clandestine algérienne, tolérée depuis des années sur le sol français sans réaction appropriée des pouvoirs publics, a ému les consciences bien au-delà de la France. Partout en Europe, des nationalistes ont manifesté leur émotion dignement.
Mais ils ne sont pas contentés de fleurs et de bougies : ils ont aussi rappelé les causes et nommé les responsables d’un tel énième drame qui n’est que la face immergée du génocide des Européens. Un génocide qui est le résultat pratique des politiques euro-libérales pour le remplacement des autochtones par un magma d’individus métissés, déracinés et déculturés.
En voici donc un exemple, parmi de nombreux autres en Europe (qu’ils en soient tous remerciés ici), avec l’action menée par des nationalistes bulgares devant l’ambassade de France à Sofia il y a deux jours, le dimanche 23 octobre.
Justice pour Lola !
Nous ne sommes pas seuls !
À la mémoire de Lola brutalement assassinée
Le 23 octobre, des militants de l’Union Nationale Bulgare, ainsi que des représentants d’organisations patriotiques en Bulgarie, ont organisé une action commémorative devant l’ambassade de France à Sofia, à la mémoire de Lola, une petite française de 12 ans brutalement assassinée par des migrants illégaux.
L’affaire qui a choqué toue la France n’a reçu quasiment aucune réponse de la part des médias, tant dans notre pays que dans la plupart des pays européens. La raison en est la censure du politiquement correct, qui ne permet pas de révéler la vérité sur des crimes particulièrement graves, lorsque leurs auteurs sont des immigrés clandestins et des étrangers d’origine non européenne, comme c’est le cas. L’enfant a été sauvagement assassiné et l’enquête a révélé des traces d’abus sexuels et de tortures avant le décès. Le principal auteur du crime est une Algérienne en séjour irrégulier en France – Dahbia B., et un autre Algérien est soupçonnés de complicité.
L’une des choses les plus dégoûtantes de la couverture médiatique en France (ainsi que de toutes les grandes agences mondiales qui ont décidé de commenter le crime de toute façon) est que l’accent principal n’est pas mis sur le meurtre brutal, mais sur le danger de la récupération par « l’extrême droite » en France et en Europe qui pourrait profiter de l’occasion pour exiger la fin des politiques insensées en matière d’immigration et de tolérance des autorités envers la criminalité ethnique dirigée contre la population indigène européenne. Cependant, d’énormes rassemblements et hommages réclamant justice ont parcouru la France et des actions de solidarité ont été organisées par de nombreux mouvements nationaux en Europe.
Les nationalistes bulgares ne sont pas non plus indifférents, et l’action devant l’ambassade de France le démontre. Bien que l’événement ait été spontanément organisé et médiatisé un jour plus tôt, il a rassemblé des personnes de différentes organisations. Les Français vivant dans notre pays se sont également impliqués. Peu après 16h00, une banderole sur laquelle était écrit « Justice pour Lola » a été déployée devant l’ambassade, et des participants ont brandi des photographies de l’enfant assassinée. Des bougies ont été allumées à la mémoire de la jeune fille et les personnes présentes ont offert des fleurs.
L’événement s’est terminé par de courts discours prononcés par les Français en visite. Ils ont exprimé à la fois leur profonde gratitude aux organisateurs bulgares et aux personnes présentes, ainsi que l’espoir que tous les Européens sains d’esprit, unis, sauront surmonter ces moments difficiles. Bien que la douleur de leurs paroles se soit fait sentir, ils ont terminé leur allocution par l’expression latine Ad Victoriam !
Plamen Dimitrov, responsable de l’Union Nationale Bulgare à Sofia, a pris la parole après eux, il a remercié toutes les personnes présentes et rappelé que ce qui est arrivé à Lola est une énième tragédie, conséquence de la politique ciblée des oligarchies qui gèrent l’Union européenne, détruisant la population indigène du continent. En pratique, une politique de génocide contre les Européens, dont les dimensions les plus visibles et choquantes sont précisément les crimes graves à motivation raciste anti-blancs commis par des étrangers sous le patronage d’extrémistes libéraux. Il a conclu en disant que dans cette bataille pour l’Europe et l’avenir de nos enfants, nous devons gagner car c’est la seule issue possible pour nous, l’autre alternative est notre destruction et notre disparition.
Source : bgns.net
La vérité est qu’il existe une Europe ethnique plus enracinée au plus profond de l’inconscient collectif des peuples que ne le sera jamais l’Europe des marchés financiers dont l’objectif, défini par Edmond de Rothschild en page 64 du n° 775 de la revue « Entreprise » du 18 juillet 1970 est on ne peut plus clair : « Le verrou qu’il faut faire sauter maintenant, c’est la Nation, et par là notre notion de la République ! »
Une République maçonnique non plus nationale – comme se prétendait celle de 1789 – mais au contraire mondiale, et qui, on l’aura compris, se veut métissée donc génocidaire.
Puisse cette Europe ethnique se réveiller et s’unir dans le combat pour sa survie avant qu’il ne soit trop tard…
Un grand merci à Plamen Dimitrov de l’Union National Bulgare pour avoir exprimé le soutien du peuple bulgare, dans cette tragédie inqualifiable… Merci à tous les peuples d’Europe qui en ont fait autant !
Que le souvenir de cette enfant martyre devienne le symbole d’un mouvement de résistance indéfectible contre les forces du Mal, incarné par tous ceux qui veulent nous museler et nous soumettre ! Ad Victoriam !