La récente adoption de l’article 4 a suscité de vives réactions, certains dénonçant une atteinte à la liberté d’expression et une nouvelle étape vers un État tyrannique et liberticide. Comparé à la loi Gayssot, qui réprime la contestation des crimes contre l’humanité, cet article vise à réprimer la provocation à l’abandon de soins. Il s’inscrit dans une tendance inquiétante de restriction des libertés individuelles.
Cette mesure a été adoptée après un débat houleux à l’Assemblée nationale, où certains députés ont exprimé leurs inquiétudes quant à son impact sur la liberté d’expression et sur le dialogue démocratique. Néanmoins, malgré les critiques, l’article a été voté avec une majorité de 182 voix pour et 137 voix contre.
Conformément à cette disposition, la provocation à l’abandon ou à l’abstention de soins sera passible d’une peine d’un an d’emprisonnement et d’une amende de 30 000 euros. Ces sanctions seront aggravées en cas de conséquences directes de la provocation, avec une peine pouvant atteindre trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende.
Les défenseurs de cette mesure, parmi lesquels la secrétaire d’État Sabrina Agresti Roubache, ont souligné la nécessité de lutter contre les dérives sectaires et complotistes, notamment sur internet, qui pourraient mettre en danger la santé publique.
Néanmoins, cette adoption suscite des inquiétudes quant à la liberté d’expression et à la possibilité pour les citoyens de remettre en question les politiques de santé publique. Certains y voient un précédent dangereux qui pourrait restreindre davantage les libertés individuelles dans le futur.
Cela rappelle l’opposition rencontrée lors de l’adoption de la loi Gayssot en 1990, qui avait fait l’objet de vifs débats et d’une opposition notable de la part de certains membres de la droite parlementaire, alors majoritaire au Sénat. Cette loi, portant sur la répression de la contestation des crimes contre l’humanité, avait été dénoncée comme une atteinte à la liberté d’expression.
Au Sénat, plusieurs votes de rejet avaient eu lieu les 11, 29 et 30 juin 1990, illustrant l’opposition ferme de certains membres de la classe politique à cette proposition législative. Parmi les personnalités politiques qui étaient opposées à la loi Gayssot, on comptait des figures influentes telles que Dominique Perben, Pascal Clément, François Fillon, Gilles de Robien, Jean-Louis Debré, Pierre Mazeaud, Jacques Chirac, Jean Foyer, Alain Peyrefitte et Simone Veil, ainsi que le député Jacques Toubon (« Je suis contre le délit de révisionnisme, parce que je suis pour le droit et pour l’histoire, et que le délit de révisionnisme fait reculer le droit et affaiblit l’histoire »). Cette opposition soulignait les préoccupations quant à l’impact de la loi sur la liberté d’expression et son influence sur le récit historique.
[NDLR : Mais une opposition qu’ils n’assument plus depuis, leurs majorités une fois au pouvoir n’ayant jamais remis en cause la loi Gayssot…
Et alors que cette « lex faurissonia » fut à l’époque adoptée à l’Assemblée nationale par 307 députés (26 communistes, 272 socialistes, 9 non-inscrits) dans une allégresse qui ressembla fortement à celle affichée ces jours derniers au Congrès de Versailles qui a introduit dans la Constitution de leur république cinquième du nom une « liberté d’avoir recours à une interruption volontaire de grossesse », la constitutionnalisation du meurtre des enfants à naître. Chacun a les réjouissances qu’il peut, et les républicains celles du bâillon scélérat et de l’avortoir constitutionnalisé…]
Après avoir restreint la liberté de recherche pour les historiens, le gouvernement semble désormais entraver la liberté d’expression des scientifiques. Cette tendance inquiétante pourrait conduire les citoyens à devoir se fier uniquement aux décisions politiques influencées par l’industrie pharmaceutique.
C’est comme si le silence depuis 1990 autour de la loi Gayssot avait donné le feu vert pour la mise en place de l’article 4. Cela montre clairement comment restreindre la liberté d’expression peut ouvrir la porte à davantage de mesures restrictives.
Cela nous montre l’importance cruciale de lutter contre toutes les injustices qui restreignent la liberté d’expression. En laissant une restriction passer sans réagir, nous risquons d’ouvrir la porte à d’autres formes d’oppression et de censure. Il est essentiel de défendre activement la liberté d’expression pour préserver nos droits fondamentaux et maintenir un dialogue ouvert et démocratique dans la société.
Source : Stratégika
Voir aussi :
Loi Gayssot ? Révisionnisme ?
Je ne cesserai de le répéter :
Plutôt que de persister à attaquer l’ennemi là où il nous attend, solidement retranché dans les casemates de ses lois liberticides blindées par ses jurisprudences…
Attaquons-le là où il ne nous attend pas et, de plus, en retournant contre lui ses propres armes qu’il a mis des décennies à affuter contre nous !
On nous parle de GENOCIDE ? Dénonçons CELUI DU XXIème SIECLE !
Celui perpétré sous nos yeux par l’oligarchie mondialiste apatride, réduisant, par déplacements de populations, métissage obligatoire et attaques contre la natalité, cette diversité ethnoculturelle qui fait toute la richesse de l’Humanité… et que nous sommes seuls à défendre.
LE CAMP DU BIEN… LE CAMP QUI S’INDIGNE ET QUI ACCUSE… C’EST NOUS !
Voici les attendus du procès intenté par les les associations libertophiles à M. Le Perlier.
Conclusions de la 17 ème chambre correctionnelle de Paris.
« Attendu que le prévenu, a manifesté à plusieurs reprises une volonté de minimiser grossièrement le génocide commis au 20 ème siècle, en l’espèce par une tentative d’en substituer l’unicité en évoquant un pseudo génocide basé sur des arguments falascieux de « déplacement de populations », attendu que le prévenu connu pour ses opinions visant à la haine n’a jamais reconnu publiquement le génocide du 20 ème siècle, il est donc reconnu coupable du délit réprimé par l’article 24 bis de la loi du 13 juillet 1990 et devra verser réparations aux associations…….. »
Je me demande « Professeur » si, compte tenu de votre connaissance manifeste de la 17ème Chambre correctionnelle, je ne vous ai pas identifié…
Ce qui, si c’est bien de vous qu’il s’agit, m’impose une certaine retenue.
Mais laissez-moi cependant vous dire que, de mon point de vue, tout militant qui n’a pas connu ou au minimum risqué la prison n’est pas un militant authentique.
Et plus que jamais compte tenu de l’emballement répressif actuel…
Nul ne peut se dire combattant s’il n’en accepte pas les risques !
Je les ai acceptés… J’ai payé le prix fort… Je suis prêt à payer encore…
On est d’accord, faire face aux forces de la répression républicaine, goutter aux gardes à vues, aux arrestations, aux palais de justice, à la prison, à la vindicte médiatique ….reforce le caractère MAIS rien ne sert de s’offrir bêtement ces délices. Face à un système maître du mensonge il faut aussi savoir utiliser la ruse, celle du renard, du voleur chinois, du héros Ulysse et l’invisibilité « casquée » de la déesse Athéna permettant au héros Persée de vaincre la gorgone. Bien à vous.
Autrement dit, à l’avenir, voter pour tel ou tel parti, ce sera voter pour telle ou telle vérité.
Sauf qu’à la base, aucun parti ne pourra porter une vérité contraire à la vérité du parti au pouvoir.
Nos députés sont des enc.
Et ce n’est pas fini, car des députés préparent une nouvelle loi visant à renforcer la répression de » l’antisémitisme ». Je ne dis pas renforcer la lutte contre » l’antisémitisme », car toutes ces lois régulièrement renforcées depuis des décennies, sembleraient avoir des effets contraires. Des pièges visant à faire tomber de nouvelles victimes. C’est le but de ces lois.
Mais comme il n’y a personne pour s’opposer à ces lois, ni pour mettre en garde les éventuelles victimes de leurs pièges, le métier à encore de beaux jours devant lui.
La Censure pour l’échafaud …
Zut alors ! C’est exactement le genre de jeu de mots qui aurait fait un titre à « MINUTE » ! ! !
Et je n’y avais pas pensé…
Chapeau !
La solution elle est de ne plus faire confiance à ceux qui nous dirigent. La très grande majorité des gens s’est fait « vacciner ». Il y a eu plus d’opposants en Guadeloupe et en Martinique et le pouvoir a été obligé de reculer. Il y a donc dans le petit peuple FDS encore beaucoup de croyants en la démocratie et en les valeurs de la République. La vérité elle est accessible à celui qui la cherche, on ne peut pas tout censurer, malheureusement, cette quête n’est actuellement que le fait d’une toute petite minorité. Que voulez vous faire, ce qui plait au plus grand nombre c’est le confort de l’aisance financière, point barre.
Ce matin une petite bonne nouvelle les Portugais se réveillent ,il y aurait un parti « d’Extrème Droite » qui risquerait de faire un tabac aux prochaines élections , le PS serait en fin de vie .
Si c’est pour finir comme le RN qu vote à l’assemblée la loi instaurant un délit d’expression dans un lieu privé sur simple dénonciation ou comme la Mélonie qui régularise 450 000 immigrés, franchement mieux vaut regarder ailleurs.
Monsieur Dieudonné a été reçu sur Tocsin par Clémence Houdiakova il y quelques jours . Il est attendrissant quand il dit qu’il se fait du souci pour ses sept enfants qui doivent encore porter des couches-culottes au moment où j’écris . Pour l’aider, il nous suffit d’acheter les peluches qu’il a montrées à l’écran. Les ananas surances sont passées de mode.