Alors que depuis deux mois les forces de l’ordre sont les cibles des racailles de la CGT et de nuit debout, que près de deux cent policiers et CRS ont été blessés depuis le début du mois de mars, dont 78 et un se trouvant en état d’urgence absolue pour la seule journée du 28 avril, la préfecture de Paris, au lieu d’élargir les moyens et prérogatives de la police pour faire face efficacement aux exactions des nervis gauchistes, a publié une circulaire donnant l’ordre de ne plus utiliser de flash-ball.
Cela fait apparemment suite à un incident survenu jeudi dernier à Rennes, quand une racaille de 22 ans qui se mesurait aux forces de l’ordre avait reçu une balle perdue de flash-ball dans l’oeil.
« Comment osent-ils envoyer des collègues au casse-pipe sans moyen de se défendre ? Le collègue grièvement blessé ne leur a pas servi de leçon ?», s’interroge le syndicat SGP Police sur une affiche.
Ce mardi encore, un policier nantais a été sévèrement blessé à coups de pierres dans la tête.
Les forces de l’ordre qui avaient jusque-là la consigne de ne pas intervenir pour faire cesser les dégénérés anarchistes, n’ont désormais même plus le droit de se défendre face aux attaques violentes des racailles.
La police déjà très restreinte dans ses prérogatives et matériellement, particulièrement depuis le début du quinquennat Hollande (excepté lors des manifestations de français contre leur loi de destruction de la famille en 2012 et 2013), est maintenant dépouillée de la seule arme de dissuasion qui lui restait.
A tous les policiers qui croyaient encore que leur métier consistait à maintenir l’ordre et à protéger et défendre les français, ouvrez les yeux et démissionnez, car votre métier n’est qu’un leurre.