Lors d’une conférence de presse hier, dans le cadre de la liste Vénissieux fait Front, Yvan Benedetti et Alexandre Gabriac ont dénoncé les méthodes de la dictature, et notamment des pressions sur les candidats de la liste patriote.
Ce n’est pas la première fois que les nationalistes constatent les activités illégales des agents de l’Intérieur, que ce soit directement les préfectures ou des services barbouzards policiers.
Ces derniers mois, les militants nationalistes ont été l’objet de multiples arrestations arbitraires, de gardes à vue illégales, de contrôles d’identité au faciès, de procès iniques qui se sont généralement terminés par des non-lieux (comme à Lyon, à Paris ou Toulon).
Les méthodes dictatoriales de la police de Manuel Valls contre les nationalistes avaient été mises à nue lors d’un récent camp de Jeune nation. Des militants ont retrouvé lors de ce camp, organisé en pleine forêt sur un terrain privé, des appareils installés par les autorités pour photographier les participants, obtenir des photos de visages mais aussi des plaques d’immatriculation. C’est d’ailleurs la fonction première de cet appareil, un Reconyx SM 750 d’un valeur d’environ 750 euros. Comme tous les produits de cette marque, l’appareil a été fabriqué à 100 % aux États-Unis. Une belle preuve d’anti-patriotisme économique du gouvernement qui fournit sa police, pour ses missions illégales, avec du matériel étranger.
Tel un moderne Moïsseï Ouritski, le métèque Manuel Valls a fait espionner des patriotes français dans le but évident de leur nuire, de leur créer des problèmes professionnels, judiciaires et autres.
Hélas pour cette fois, les apprentis tchékistes ont été démasqués. Pire encore : des photos de ces policiers véreux apparaissent sur des images. Ils avaient même laissé des photos de précédentes missions.
Une nouvelle affaire qui tombe mal pour Manuel Valls après les révélations d’une jeune étudiante russe, que d’autres policiers ripoux ont tenté de faire chanter pour espionner des militants de La Manif pour tous.
Une affaire sur laquelle l’étranger de l’Intérieur a refusé de s’exprimer, sinon par un laconique
« J’ai demandé une enquête qui est menée actuellement ».
Évoquant une autre affaire – l’affaire Buisson – celui qui poursuit 80 ans après la terrible guerre des Rouges espagnols contre la civilisation européenne – n’a pas craint d’affirmer, lui qui transforme des policiers français en auxiliaires des milices antifascistes : « le pays connait une crise d’identité, une forme de crise morale. Et je m’inquiète toujours quand la politique donne une mauvaise image ».
Face à ces multiples atteintes aux droits des Français et aux nombreuses violations de lois constatées, le directeur de Jeune nation Yvan Benedetti a annoncé le dépôt de plusieurs plaintes.
Soutien aux militants.