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L’homme qui vomissait sur le drapeau français, l’immonde Juif Jean Zay, entrera au Panthéon
François Hollande annoncera vendredi, dans un discours au Mont Valérien en hommage à la « résistance », les noms des prochains « panthéonisés ». Plusieurs médiats ont annoncé que quatre noms ont été choisis. Des choix très politiques : tous ont été engagés politiquement, à gauche ou à l’extrême-gauche, ou dans de très autopromotionnels engagements « humanitaires ». Toutes sont liés à la « résistance ».
Le premier est Pierre Brossolette, militant d’extrême-gauche, franc-maçon, mais aussi cadre de la LICA, l’ancêtre de l’une des plus importantes associations de l’anti-France, la LICRA, quand l’association ne se cachait d’être un organe de combat des seuls Juifs. François Hollande a ensuite choisi Germaine Tillion et Geneviève De Gaulle, deux autres « figures » de la « résistance » non-patriote.
Le dernier est l’ignoble ministre juif de l’Éducation nationale sous la IIIe République, Jean Zay. L’entrée au Panthéon de cet homme qui haïssait la France est une vieille revendication de la secte maçonnique. Le Grand Orient de France (GODF) a multiplié ces dernières années les actions pour imposer cette pourriture au Panthéon. En 2007, le GODF avait publié une plaquette consacrée à ce sujet.
Récemment encore une loge juive exigeant que François Hollande cède. Cela n’a pas été longtemps.
Cet homme, qui déshonore par son nom de nombreux établissements scolaires en France, fut un ministre particulièrement haineux contre les valeurs patriotiques et traditionnelles. Il est resté toute sa vie fidèle à la haine de la France et des Français qu’il exprimait dans un « poème » dont il faut rappeler la teneur.
Il s’intitule Le Drapeau. Il traite du drapeau français. Pour ce Juif, le drapeau national français est décrit comme « cette saloperie-là », « cette saloperie tricolore », « cette loque », « cette immonde petite guenille », « cet ignoble symbole » « de la race vile des torche-culs ». Un drapeau que cette vermine avouait haïr « férocement » : « Oui, je te hais dans l’âme, je te hais pour toutes les misères que tu représentes […] Je hais tes sales couleurs, le rouge de leur sang, le sang bleu que tu voles au ciel le blanc livide de tes remords. »
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Au nom de mon père qui avait 16 ans à l’époque du front populaire, je suis révolté à l’idée de savoir que les cendres de cet infâme personnage serait prochainement transférées au Panthéon.
En effet ce n’est pas parce qu’il était ministre assassiné par les Allemands qu’il a droit de rentrer au Panthéon, il y en a de beaucoup plus méritants qui n’y sont pas.
En effet mon père m’a indiqué que ce mr. zay (il ne mérite pas de majuscule à son nom) traitait le drapeau Français en
termes que je n’oserai écrire alors que tant d’autres ont donné leur vie pour lui, cela avait fait scandale à cette époque.
N’en n’ayant pas entendu parler soit dans les journaux, radios ou télévisions, j’ai fait des recherches et j’ai trouvé ce site
‘jeune-nation’ corroborant les propos de mon père en des termes encore pire que ce que j’imaginais.
Donc au nom de tous ceux qui ont donné leur vie pour que ce drapeau représente encore aujourd’hui notre nation, je me permet d’indiquer que je me joins à tous les opposants pour le refus d’intégrer ce haut lieu de respect et de souvenir à ce mr zay.
Jean Zay, juif par son père, protestant par sa mère et par son baptême, n’a pas été assassiné par les Allemands mais par des Français, membre de la très officielle Milice instituée par le chef de l’Etat français, maréchal de France. Ces assassins vénéraient et arboraient constamment le drapeau tricolore. Je préfère évidemment l’assassiné aux assassins, meê si ces assassins ont de beau restes chez des Dupont et/ou Dupond, vieux ou jeune nation
En toute logique, vous préférez donc Robert Brasillach et les 100 000 autres épurés à leurs assassins résistants, juifs et communistes comme vous préférez les martyrs de Nuremberg aux criminels judéo-capitalistes et bolchéviques. Tout étranger que vous êtes, vous ne pouvez donc pas être totalement mauvais.
J’ai beau détester ce drapeau, symbole de la révolution bourgeoise de 1789; c’est effarant de faire entrer 1 sioniste détestant la France au Panthéon
Je ne pense pas que l’on puisse traiter la révolution de 1789 comme ayant été « bourgeoise », on peut certes regretter les horreurs qui en ont découlé mais malheureusement c’est le lot de tout grand bouleversement de régime qui se fait toujours dans la violence. Ensuite l’emblème de la république qui vaut notre stabilité aujourd’hui est acceptée et doit être respectée, cela fait partie de notre nation, n’oublions pas que si nous vivons depuis 70 ans en paix, c’est grâce à nos anciens qui l’ont défendu souvent au péril de leur vie et cela mérite le respect. Nous faisons partie des générations qui depuis des siècles n’ont pas vu leur enfance, jeunesse et vie d’adulte détruite dans sa chair par les guerres fratricides, donc c’est malsain de dire que l’on déteste son drapeau. D’ailleurs c’est bizarre nous sommes la seule nation qui, si elle montre fièrement son drapeau, se fait traiter d’extrémiste (sans nommer personne), alors qu’aux USA on voit fleurir le drapeau étoilé à tous les coins de rue, même les nouveaux arrivants sont fiers de l’arborer! ce qui donne une bonne cohésion entre les gens. Ce n’est pas ringard d’honorer son drapeau national.
70 ans en paix sous le Tricolore ?
Indochine à Dien Bien Phu.
Corée
Canal de Suez
Algérie
La kyrielle de guerres et guérillas d’Afrique
Nouvelle-Calédonie
Liban
Kowait/Iraq
Yougoslavie
Lybie
Et ensuite, on écrit que Hitler était un vilain voulant conquérir le Monde.
À voir tous ces étrangers installés en République de France, je me demande ce que va être la Prochaine Guerre.
C’est bien un comportement de faschiste d’effacer tous les commentaires critiques !
Nous avons vérifié : vous n’avez pas signé la pétition pour l’abrogation des loi Fabius-Gayssot, Pleven, et autres mesures liberticides ; vous n’avez jamais donné le moindre centime aux victimes de la répression de la pensée. Vous n’êtes donc qualifié ni pour commenter ce site, ni pour donner des leçons de libéralisme ou de défense de la liberté d’expression. Et comme vous soutenez un régime liberticide, vous comprendrez que dans cet espace national, nous nous employons à tenir cet endroit propre et exempt de toute insulte et souillure anti-nationale.
Cordialement,
La rédaction.
Vous pouvez interpréter mais il faut juste dire la vérité historique :
On connait un collège, une rue Jean Zay, mais guère plus. Jean Zay, assassiné à 40 ans, en 1944 par la milice de Vichy. Il fut le très jeune ministre de l’Education Nationale et des Beaux Arts du Front Populaire, en 1936, à 32 ans. En l’espace de trois ans (1936-1939) il allait non seulement créer le festival de Cannes, mais aussi le Musée de l’Homme, le Musée d’Art Moderne, il allait organiser l’exposition universelle de 1937, lancer la cinémathèque française, rénover la bibliothèque nationale, restaurer le château de Versailles et la cathédrale de Reims, fonder le CNRS et même l’ENA, instaurer l’obligation scolaire jusqu’à 14 ans, imposer l’éducation physique à l’école, la médecine préventive scolaire…
La presse de droite et d’extrême droite s’est acharnée sur « Zay le Franc-maçon » le « bolchévique » mais surtout sur « le juif Zay » à cause d’un poème qu’il a écrit à 20 ans, dégouté par l’horreur de la première guerre mondiale. Combattant héroïque puis résistant, en 1940 il est arrêté par Vichy, emprisonné jusqu’en 1944. Le 20 juin des miliciens viennent le chercher dans sa prison l’abattent et le jettent dans un ravin. Son corps ne sera identifié qu’en 1948.
Vérité historique ? Pour éclairer la tonalité de votre message à la lueur de la « vérité historique », précisons simplement pour votre premier argument cette liste absolument pas exhaustive sur Wikipédia :
Le 14 janvier 2012, la promotion 2012-2013 de l’École nationale d’administration (ENA) a choisi de lui rendre hommage en se baptisant « promotion Jean Zay »42.
De nombreuses voies portent son nom, on peut notamment citer, la rue Jean-Zay dans le quatorzième arrondissement de Paris, à Orléans ou à Anizy-le-Château, la place Jean Zay à Levallois-Perret, …
Des établissements scolaires français lui rendent hommage en portant son nom : école maternelle et primaire à Torcy ou Beaumont (Puy-de-Dôme), collège à Rousset (Bouches-du-Rhône), à Verneuil-sur-Seine (Yvelines) et à Morsang-sur-Orge (Essonne), lycée à Orléans et Aulnay sous bois, mais aussi des résidences universitaires à Antony, à Dijon…
Pour éclairer d’un peu de « vérité historique » votre message, arrêtons-nous simplement sur ce premier « argument » mensonger qui suffira à qualifier l’ensemble de votre propagande, avec cet extrait de Wikipédia.
Faut-il préferer les assassins, Français et miliciens du régime de Vichy à celui que vous appelez « l’immonde Juif » ? Avec quels délires vivez-vous ? Je crois me souvenir que L F Céline employait le même terme ou presque à l’encontre de Jean Zay qu’il haïssait, « zayssait » disait-il plus ou moins. Ah ! le beau monde !
Vous imaginez bien qu’entre les nôtres et les tueurs de Staline, les cloportes qui se réjouissent le viol de millions d’Européennes par les troupes d’invasion américano-soviétiques et les assassins de Nagasaki, Hiroshima, Dresde, Nantes, Paris, Marseille, il y a longtemps que nous avons fait notre choix. Mais nous concevons que certains préfèrent, par lâcheté, par peur, par amour du mensonge et de la bassesse, comme vous, du côté des vainqueurs, des hommes sans morale et sans honneur.
L.F. Céline avait de bonnes raisons de détester la guerre, ayant eu à la faire personnellement. Il est bien confortable cent ans après la grande boucherie de dénigrer ceux qui se sont battus au nom de l
Il est bien aisé, cent ans après la grande boucherie, de dénigrer L.F. Céline qui, comme tant d’autres, a dû participer à cette horreur et en revint à jamais marqué. Qui sommes-nous après tout pour juger des prises de position de ceux qui ont souffert alors que nous tapotons dans le plus parfait confort sur notre clavier, loin des horreurs que ces hommes connurent? Céline, pour l’avoir vue de très près, nourrissait par-dessus tout une haine inextinguible de la guerre. Comment pouvait-il oublier les cohortes israélites qui s’étaient, dans le Paris clinquant, repues de plaisirs pendant que les fils de monsieur tout le monde crevaient sous les balles? Qui étaient les marchands de canons qui firent leur fortune sur les dépouilles de millions d’Européens, Français, Anglais, Italiens, Russes, Allemands ou Autrichiens??
LES NATIONS ET LEURS HEROS : le culte des héros n’a pas seulement un effet romantique propre à commémorer les personnages autour desquels l’histoire a créer le consensus sur le bien fondé de leurs actes ou de leurs vie proportionnellement à leur contribution dans un segment de prestige d’une nation … mais ce culte a aussi et surtout un effet didactique dont la valeur est certainement liée à l’aspiration de souveraineté à laquelle tout peuple désire aspirer .. ce que nous constatons en France , c’est plutôt cette forme d’usurpation unique dans le monde , qui se pratique sur ce culte et qui fait que la France a changé de héros et s’est mise à faire appel à des fictions sémitiques et à des impostures idéologiques qui érigent des autels soit à de sombres personnages sans teint et sans consensus soit à des figures cosmopolites dont la vie et l’œuvre est caractéristique de ce que l’on pourrait appeler l’anti- France … Ainsi après avoir évacué tous les noms qui ont fait la France historique pour le motif politique de « l’ancien régime » , on en est venu à effacer de stèles françaises tout personnage qui ne soit pas juif , pour des motifs purement ethniques … On dirait que dans le culte des héros , il est devenu suspect en France d’être un européen , un blanc , un celte , un aryen , un gaulois , un latin , un franc ,un chrétien ; c’est à dire un vrai français , un français de souche comme dirait l’autre !!!! Nous n’avons jamais connu une telle aliénation ni aucune subversion du sens , dans aucune nation dans le monde