« Il est temps que l’éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle, peu enseignée dans les faits, soit « effective », a estimé le 26 septembre dernier Salima Saa, la nouvelle secrétaire d’État chargée de l’Égalité femmes-hommes . Les étrangers ont des comportements inappropriés et agressent les femmes et ce sont les enfants dans les écoles qui en payent les frais à coup de propagande qui n’a pas sa place dans un établissement scolaire (Les Caryatides).
Parler de sexualité trop tôt à un enfant, c’est prendre le risque :
- d’entraver son développement
- de provoquer un choc traumatique
Contrairement aux idées reçues, parler de sexualité aux enfants dans le cadre scolaire ne les protège pas de l’inceste ou d’abus sexuels. Notamment parce que l’agresseur agit souvent par un comportement séducteur qui n’est pas contré par l’éducation à la sexualité. Les mesures efficaces pour lutter contre ces crimes relèvent de la formation des enseignants, de la protection de l’enfance, et de la Justice.
En effet, selon une étude de l’association Mémoire et traumatologie, le fait d’avoir parlé n’a entraîné aucune conséquence : seules 8 % des petites victimes d’inceste et d’abus sexuels ont été protégées ; l’agresseur n’est éloigné de la victime que dans 6 % des cas.
De plus, selon le rapport de la Ciivise, 3% seulement des viols et agressions sexuelles commis chaque année sur des enfants font l’objet d’une condamnation des agresseurs. Et seulement 1% dans les cas d’inceste.
L’éducation à la sexualité n’a pas sa place à l’École, car c’est contraire à l’intérêt des enfants qui n’ont pas atteint la maturité suffisante pour aborder la sexualité des adultes.
L’École doit s’en tenir à son rôle d’instruction des fondamentaux et ne pas imposer aux enfants d’entrer dans le registre de la sexualité alors que leur développement physiologique, cognitif et affectif n’en est absolument pas à ce stade.
Que l’École apprenne déjà à chaque enfant à lire, à écrire, à compter, à réfléchir, à respecter l’autorité, et à accepter le fait que les autres peuvent penser autrement et être différents de lui.
Parents, enseignants, équipes éducatives, personnels de santé, médecins, pédiatres, psychologues, pédopsychiatres…
Ensemble, faisons primer l’intérêt supérieur des enfants.
La pétition est accessible en ligne sur : SOS Éducation
Pétition À l’attention de Madame Anne Genetet (Ministre de l’Éducation nationale) et Monsieur Michel Barnier (Premier ministre) :
À L’ÉCOLE, ENSEIGNEZ-MOI LES DIVISIONS, PAS L’ÉJACULATION !
JE SUIS UNE ENFANT :
- À 6 ans, lisez-moi des histoires d’amitié, pas de transidentité,
- À 7 ans, apprenez-moi les synonymes, pas les parties intimes,
- À 8 ans, expliquez-moi toutes les émotions, pas l’érection,
- À 9 ans, parlez-moi des bienfaits de l’alimentation, pas de la masturbation,
- À 10 ans, enseignez-moi les divisions, pas l’éjaculation.
JE SUIS UNE ENFANT. LAISSEZ-MOI GRANDIR !
NON, la sexualité, ce n’est pas comme les mathématiques !
NON, l’éducation à la sexualité à l’école n’est pas dans l’intérêt des enfants !
A propos d’enfants, l’assassin de la petite Léa âgée de 2 ans vient d’être libéré après 6 ans de prison . Le garçon avait 14 ans quand il a tué l’enfant , à Mairieux , de 22 coups de couteau en 2018 . Il était placé dans une famille d’accueil française et Léa était la petite -fille de la famille . Le nom et le visage du criminel sont bien cachés , au nom de la minorité lors des faits .
L’école ,ce lieu de tous les dangers Cette entreprise de destruction massive de l’Identité Européenne Ce lieu de formatage de la pensée .Cette fabrique de rebelles de carnaval et de futurs chomeurs . Cette usine à produire des inadaptés , des psys et des infirmes du savoir .L’école sombre comme le reste ,il faut bien qu’elle trouve quelque chose de raccoleur pour tenter de survivre , peu importe les ravages provoqués .,L’important c’est que tout le monde ait le BAC au final ,et tout le monde l’a ..On se demande pourquoi cet examen existe encore .