La Banque Alimentaire de Toulouse prépare, pour ses 100 associations partenaires, près de 100 tonnes par semaine de denrées alimentaires et d’hygiène, l’équivalent de 80 000 repas par semaine. En ces temps de crise sanitaire, de nombreuses enseignes de la région se sont mobilisés pour en fournir une partie importante.
Après le premier confinement, certains Français ont perdu leur travail presque du jour au lendemain. C’est notamment le cas de cet homme de 52 ans, cuisinier salarié, qui s’est retrouvé bien malgré lui SDF en seulement trois mois et désormais bénévole dans une ONG.
«Si il n’y avait pas eu ce Covid, je n’en serais pas là aujourd’hui, je ne serais pas tombé dans la rue».
Les demandes pour l’alimentaire explosent donc logiquement et de nouveaux bénéficiaires sont apparus.
La Banque Alimentaire de Toulouse fait donc office de grossiste pour les autres ONG. Ses stocks annuels ont été épuisés dès le mois de juin pour la première fois et s’est vu dans l’obligation d’acheter de la marchandise en passant de 12 000 à 20 000 bénéficiaires par semaine.
Afin de regonfler ses stocks, les Banques Alimentaires misent beaucoup sur la prochaine collecte des 27,28 et 29 novembre.
Ainsi va le monde globalisé. Les petits crèvent pour satisfaire l’agenda de nos… élites.
Le great reset est déjà synonyme de mort sociale pour les classes populaires, sacrifiées pour le grand projet totalitaire de l’après Covid.
Source : cnews.fr
Surtout qu’à Toulouse il n’y a jamais eu de Coronavirus, ni deuxième ni première vague.
pendant ce temps,les singes affluent ,essayant de profiter de l’état de faiblesse de la société