Après le tabou sur l’efficacité de la vaccination non testée concernant la transmission inter-humaine puis celui sur le nombre et la gravité des effets indésirables, il faut s’attaquer à celui sur la durée d’immunité conférée par les pseudo-vaccins contre le SARS-COV-2.
En février 2022, paraissait une étude du Lancet sur l’efficacité des vaccins contre le Covid-19 et la diminution de l’immunité des personnes vaccinées au fil du temps. Menée en Suède auprès de 1,6 million d’individus pendant neuf mois, l’étude a montré que la protection conférée par le vaccin contre le Covid-19 symptomatique diminuait assez rapidement et qu’au bout de six mois, les personnes les plus vulnérables du groupe des vaccinés pourraient être plus exposées au virus que leurs homologues non vaccinés. À l’heure où la plupart des pays industrialisés viennent de lancer leur politique vaccinale de rappel, il nous a semblé utile de revenir sur ce document même s’il date déjà de quelques mois.
En février 2022, la revue The Lancet a fait paraître une publication intitulée « Risk of infection, hospitalisation, and death up to 9 months after a second dose of Covid-19 vaccine: a retrospective, total population cohort study in Sweden » dont l’objet d’étude est l’évaluation de l’efficacité des vaccins contre le Covid-19 au cours des neuf mois qui ont suivi la deuxième injection.
S’il existe quelques différences en fonction du vaccin choisi, les résultats de l’étude montrent une diminution progressive de l’efficacité vaccinale pour tous les vaccins quelle que soit la marque.
Immédiatement après la deuxième dose, les personnes vaccinées semblent être mieux protégées contre le Covid-19 que les personnes non-vaccinées. Cependant, au-delà de six mois et plus encore à partir de huit mois, les chiffres évoluent et peuvent montrer chez certaines personnes vulnérables une efficacité non significative, voire une efficacité négative. Les chiffres les plus alarmants se retrouvent chez les sujets les plus fragiles, à savoir les personnes de plus de 80 ans ou celles qui présentent des commorbidités.
Courbe d’efficacité des vaccins au cours des mois :
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Pour aller plus loin :
Pendant ce temps-là, on constate en France une épidémie d’angine et d’otite avec en face, une pénurie d’amoxicilline, l’antibiotique de base.
Voici la liste des 86 médicaments en rupture et des 110 en tension d’après ANSM, dont le Doliprane:
https://ansm.sante.fr/disponibilites-des-produits-de-sante/medicaments
Cette rubrique recense les médicaments d’intérêt thérapeutique majeur (MITM) faisant actuellement l’objet de difficultés d’approvisionnement et pour lesquels il n’y a pas ou pas suffisamment d’alternative thérapeutique disponible sur le marché français. Les MITM pour lesquels de telles difficultés ont pu être observées et dont la situation s’est normalisée ces derniers mois figurent également dans le tableau suivant.
L’action de l’ANSM est centrée sur la gestion des ruptures de stock et risques de rupture de stock de ces médicaments essentiels. En effet, une tension d’approvisionnement ou une rupture de stock d’un MITM peut entraîner un risque de santé publique.
Les risques de rupture de stock ou les ruptures avérées sont déclarés à l’ANSM par les laboratoires pharmaceutiques, qui sont responsables de la disponibilité des médicaments qu’ils commercialisent en France.
L’ANSM ne le dit pas, mais vous pouvez essayer le thé au miel ou au citron, le vin chaud, le grog, le chocolat chaud: ce n’est pas encore en rupture
Qu’on se rassure, pas de rupture de vaccin covid
Qu’est-ce que ce serait si nous n’avions pas le meilleur système de santé du monde ….
enfin, d’Afrique.